2025
Le royaume a deux mois supplémentaires pour faire ses devoirs, prévient l'exécutif européen dans un communiqué.
La Commission européenne a rappelé la Belgique à l’ordre mercredi pour ne pas avoir rendu la version définitive de son Plan national Energie-Climat (PNEC). Les plans nationaux définitifs devaient initialement être remis le 30 juin 2024. Ils décrivent la manière dont les Etats membres comptent contribuer aux objectifs climatiques et énergétiques fixés pour 2030. A cette échéance, l’Union européenne s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55% par rapport aux niveaux de 1990. Pour y parvenir, la Belgique doit réduire de 47% les émissions dans des domaines comme les transports, les bâtiments et l’agriculture.
Le plan d'action pour l'automobile de la Commission européenne prévoit des mesures pour relancer les ventes de voitures électriques.
2024
La Commission européenne a annoncé mercredi ouvrir une enquête sur une aide d'État de la Pologne pour construire la première centrale nucléaire du pays, craignant que celle-ci ne fausse la concurrence sur le marché de l'électricité.Une mise en service envisagée en 2030La Pologne, qui produit une grande part de son électricité avec des centrales à charbon, a décidé de lancer la construction de sa première centrale nucléaire à Lubiatowo-Kopalino, dans le nord du pays, avec l'objectif d'une entrée en service en 2030.
L'ancien coprésident du groupe des Verts au Parlement européen travaillera étroitement avec l'Allemande mais aussi les commissaires concernés, pour amener l'UE à atteindre ses objectifs climatiques pour 2030. Il sera chargé de "bâtir des ponts" entre les différents acteurs (industrie, société civile, politiques, administrations) et d'expliquer les enjeux de la transition
L'emploi par la Russie d'un missile balistique intercontinental, s'il est confirmé, marque une "nouvelle escalade manifeste", a déclaré jeudi un porte-parole de la Commission européenne. L'armée ukrainienne a affirmé plus tôt que la Russie avait tiré un tel missile sur la ville de Dnipro.
Dans un rapport d’enquête préliminaire publié lundi, le médiateur européen estime que « le manquement persistant de la Commission européenne à respecter les délais légaux » dans la mise en place de restrictions des substances chimiques dangereuses constitue « un cas de mauvaise administration ».
Le Médiateur de l'UE a estimé lundi que la Commission européenne faisait preuve de "mauvaise administration" dans sa préparation des décisions d'autorisation d'utiliser des substances chimiques dangereuses. L'exécutif européen dépasse allègrement les délais prévus avant de trancher, et ne veille pas suffisamment à la transparence du processus, indique l'institution.
La socialiste espagnole œuvre depuis vingt ans à la mise en place de politiques vertes. Première vice-présidence exécutive de la Commission européenne, chargée d’une « transition propre, juste et compétitive », elle aura fort à faire pour maintenir le cap de la neutralité carbone dans une période défavorable aux enjeux environnementaux.
La Commission européenne a annoncé jeudi restreindre l'utilisation d'un "sous-groupe" de "polluants éternels" (PFAS), afin "de protéger la santé humaine et l'environnement" de ces substances chimiques persistantes, présentes dans de nombreux objets de la vie quotidienne.