2025
La collision qui s’est produite lundi entre un pétrolier et un porte-conteneurs représente une menace pour la faune et la flore exceptionnelles de la côte du Yorkshire. Que deviendront les oiseaux, les marsouins ou encore les phoques en cas de fuite majeure de kérosène ?
« Pêche durable ». Alors que ce concept devrait être simplissime — une pêche qui ne détruit ni la nature ni les humains — la réalité est bien plus sombre : la vaste majorité des logos vantant une « pêche durable » s’approvisionnent auprès des méthodes de pêche les plus destructrices.
En Amazonie, un phénomène inquiète depuis des années les scientifiques : pourquoi les oiseaux meurent-ils en nombre, y compris dans les zones les plus éloignées - et préservées - de la forêt ?
2024
Dix ans après la découverte de milliers d’oiseaux marins morts sur les plages du Pacifique Nord, des biologistes révèlent l’origine de cette extinction de masse, la plus importante jamais observée.
Entre pièges, traceurs sur l’insecte et destruction des nids, les Etats-Unis sont venus à bout, en moins de cinq ans, de l'énorme bestiole venue d’Asie. Une stratégie payante à recycler le jour où l’espèce arrivera en France.
Du 6 au 8 décembre à Rouen, devant un parterre de scientifiques, l’édition 2024 du forum « Naturellement ! » organisé par la fédération Biogée soulignera le rôle primordial des forêts.
Le principal objectif de la COP16 n’a pas été atteint : il n’y a pas eu d’accord sur les 200 milliards de dollars nécessaires à la conservation de la biodiversité. Malgré cet échec, la presse colombienne souligne des avancées pour les peuples autochtones et les Afrodescendants, ainsi que pour la préservation de certaines aires marines.
Un rapport des Nations unies publié pendant la COP16, organisée en Colombie, rappelle que la superficie des aires protégées doit doubler sur terre et tripler en mer au cours des six prochaines années.
Largement dédié à la promotion de la Colombie sous toutes ses formes, l’espace ouvert au public de la COP biodiversité rencontre un grand succès citoyen. Certains dénoncent pourtant son hypocrisie.
Le développement des concessions pétrolières et gazières dans le "Triangle du corail" de l'océan Pacifique, surnommé "l'Amazonie des mers", multiplie le trafic maritime et fait courir des risques de "marées noires", a dénoncé samedi un collectif d'ONG.Cette espace maritime de 10 millions de kilomètres carrés contient plus de 600 aires marines protégées (AMP), chevauchées sur 16% de leur surface par des blocs pétroliers et gaziers en grande majorité en phase d'exploration, alerte Earth Insight.