2025
En cours depuis plus de trois ans, la guerre en Ukraine ravage l'environnement, en plus d'un bilan humain évidemment très lourd.
Climate change will fuel contests—and maybe wars—for land and resources.
La fin de la guerre en Ukraine permettrait à la Russie de déployer ses activités hostiles ailleurs en Europe, préviennent mardi les services de renseignement finlandais (Supo).
Un État israélo-palestinien unique représente une possibilité crédible, à condition que des concessions importantes soient faites de part et d’autre.
Le 4 février, le président américain, Donald Trump, annonçait vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza et “transférer” sa population palestinienne en Jordanie et en Égypte. La proposition a fait l’effet d’une bombe, mais elle n’est pas nouvelle, rappelle le quotidien israélien “Ha’Aretz”.
On a souvent en tête la crise des missiles de Cuba de 1963 comme un moment où l’on a été proche d’une guerre nucléaire entre les USA et l’URSS. Mais on le sait peu, en 1983, le sort du monde n’a pas tenu à grand-chose. La nuit du 25 septembre, quand le système d’alerte au missile nucléaire retentit, Stanislav Petrov est de garde sur la base de Kourilovo. L’officier soviétique, qui n’a que quelques minutes pour décider du sort de l’humanité, conclut qu’il s’agit d’une fausse alerte, évitant une apocalypse nucléaire.
La probable future ambassadrice américaine à l'ONU Elise Stefanik a raillé mardi la "gangrène antisémite" qui affecterait selon elle l'organisation internationale et a réaffirmé son indéfectible soutien à Israël dans son conflit avec les Palestiniens.
Le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, a proposé mardi d'envoyer une force internationale de sécurité à Gaza et de placer le territoire palestinien sous la responsabilité de l'ONU, à l'issue de la guerre avec le Hamas.
2024
"Tout est cher". A Dedovsk, une petite ville à 40 km au nord-ouest de Moscou, certains dépriment face à une hausse des prix largement alimentée par l'assaut en Ukraine, près de trois ans après son déclenchement par le Kremlin.
Dans le nord de la Syrie, les rebelles ont pris la ville de Hama ce jeudi 5 décembre, poursuivant leur offensive fulgurante contre les forces de Bachar El-Assad. Cherchant les raisons de cette efficacité, la presse internationale s’intéresse à leurs drones de reconnaissance et de combat, qui surprennent par “leur sophistication et leur précision”.