Jean-Marc Jancovici

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conflits

2025

Alors que le président des Etats-Unis effectuera, du 13 au 16 mai, la première visite officielle de son second mandat en Arabie saoudite, au Qatar et aux Emirats arabes unis, ses fils y font fructifier les entreprises familiales sans se soucier des conflits d’intérêts.
Après avoir lancé sa propre cryptomonnaie quelques jours avant son investiture, en janvier, le Président en assure toujours la promotion – et la gestion – par le biais de ses fils, au mépris des conflits d’intérêts.
Un fonds souverain qui fait un investissement dans une plateforme d’échange de cryptomonnaies en utilisant un stablecoin, un cryptoactif dont la valeur est indexée sur un autre produit : jusque-là, rien que de très courant. Mais l’annonce, jeudi 1er mai, d’un investissement de 2 milliards de dollars (1,77 milliard d’euros au cours actuel) dans Binance par le fonds MGX, soutenu par Abu Dhabi, soulève de vives questions : MGX va, en effet, effectuer cette transaction en utilisant le stablecoin USD1, géré par World Liberty Financial (WLF), l’entreprise de cryptomonnaies contrôlée par la famille Trump.
Dans cette vidéo de LIMIT, nous abordons la question cruciale de l'eau, une ressource devenue rare et vitale. Charlène Descolonges, ingénieure hydrologue, nous éclaire sur les enjeux de la gestion de l'eau face aux crises climatiques. Nous discutons des risques de sécheresse, de la réutilisation des eaux usées, des conflits géopolitiques liés à l'eau, et des solutions possibles pour agir à l'échelle individuelle et collective. Un appel à prendre conscience de notre empreinte eau et à revoir notre gestion de cette ressource vitale, en particulier face à l'impact du changement climatique.
Le département de l’efficacité gouvernementale intervient actuellement dans les affaires d’agences régulant les entreprises du milliardaire, de X à Tesla, en passant par SpaceX.
Le 4 février, le président américain, Donald Trump, annonçait vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza et “transférer” sa population palestinienne en Jordanie et en Égypte. La proposition a fait l’effet d’une bombe, mais elle n’est pas nouvelle, rappelle le quotidien israélien “Ha’Aretz”.

2024

Il est très difficile, sinon impossible, d'établir un lien direct entre le changement climatique et l'instabilité. Ce qui est clair, en revanche, précise le Dr Eleonora Milazzo, c'est qu'il agit comme un accélérateur de risque.
La situation est disparate, mais l'objectif d'un monde sans faim en 2030, adopté par les Nations unies en 2015, s'éloigne encore plus.
L'ambassadeur israélien aux Nations unies a annoncé vendredi avoir été notifié de l'ajout de l'armée israélienne à la "liste de la honte" de l'ONU, qui doit être publiée le 18 juin et recense les responsables de violations des droits des enfants dans des zones de conflit. Le Hamas aurait également été inclus, rapporte une source diplomatique.
Invasion de l’Ukraine par la Russie, conflit entre Israël et le Hamas, guerre au Soudan, mais aussi tensions majeures en mer de Chine, au Cachemire ou dans l’Arctique… Les lignes de fracture qui déchirent le globe aujourd’hui remettent en question l’ordre du monde hérité de la Seconde Guerre mondiale.
Des affrontements entre forces de l’ordre et habitants ont eu lieu à Palo Quemado, une commune rurale équatorienne située à une centaine de kilomètres au sud-est de Quito. En cause, la résistance des habitants à un projet de concession minière accordé à une entreprise canadienne, et qui pourrait menacer la culture de canne à sucre, labellisée bio et rémunératrice pour les communautés locales.
Il reste encore 129 Israéliens entre les mains du Hamas, dont 34 sont morts selon Tel Aviv. L’organisation islamiste palestinienne dit avoir besoin de «temps et de sécurité» pour les retrouver, car ils se trouvent détenus par «différents gr
Selon les chiffres du ministère de la santé de la bande de Gaza, administrée par le Hamas, plus de 12 300 enfants sont morts sur le territoire palestinien entre octobre et la fin du mois de février.

2023

Le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, s'est défendu mercredi d'avoir voulu user de sa position de président de la conférence de l'ONU sur le climat pour promouvoir des projets pétroliers et énergétiques des Emirats dans plusieurs pays, comme des documents révélés cette semaine l'ont évoqué.
Le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, s'est défendu mercredi d'avoir voulu user de sa position de président de la conférence de l'ONU sur le climat pour promouvoir des projets pétroliers et énergétiques des Emirats dans plusieurs pays, comme des documents révélés cette semaine l'ont évoqué.
Pour la chercheuse de l’Inrae Juliette Young, comprendre les désaccords entre écolos et agriculteurs passe par l’analyse des freins structurels et culturels.
Au Moyen-Orient, le taux de réchauffement climatique est actuellement deux fois supérieur à la moyenne mondiale. Les effets dévastateurs de l’élévation des températures et des phénomènes climatiques extrêmes accroissent les tensions et conflits de l’ensemble de la région et accentuent les fragilités dont souffrent déjà de nombreuses populations.
Leurs décisions ne reposent plus essentiellement sur des mécanismes privés, dictés par les marchés, c’est-à-dire par les choix des consommateurs et des entreprises. Nous assistons à une transition vers des décisions d’ordre géostratégique pilotées par les États.
Les Nations unies ont annoncé, mercredi, que plus de 114 millions de personnes sont actuellement déplacées de force dans le monde. Un nombre record qu'on doit aux multiples conflits, aux crises humanitaires ou aux épisodes de sécheresse.
Cette note sur les conséquences des changements climatiques sur les foyers de conflit dans le monde analyse quatre régions : l’Afrique centrale, de l’Ouest et de l’Est ; le Moyen-Orient et le nord de l’Afrique ; l’Asie du Sud-Est et le Pacifique Ouest et, enfin, l’Amérique latine. Elles ont été déterminées sur la base d’un indicateur climat-conflit créé par l’Observatoire Défense et Climat (voir carte), qui a mis en évidence leur vulnérabilité particulière à une exacerbation de la conflictualité sous l’effet des changements climatiques. Chacune de ces régions a donné lieu à : une analyse des enjeux climat-conflit à l’échelle régionale ; un focus permettant d’analyser la situation particulière d’un État ou d’une sous-région ; un scénario de prospective sur un État ou une sous-région.