Jean-Marc Jancovici

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2025

2025

Malgré un répit dans la série de records de chaleur, juillet 2025 s'est classé sur le podium des mois de juillet les plus chauds jamais mesurés sur la planète, a annoncé, jeudi, l'observatoire européen Copernicus. Le mois dernier, le thermomètre a dépassé 50°C non seulement dans le Golfe et en Irak, mais aussi en Turquie pour la première fois.
Malgré un répit dans la série de records, juillet 2025 se classe au troisième rang des mois de juillet les plus chauds jamais mesurés sur Terre, marqué par un changement climatique toujours à l'oeuvre, a annoncé jeudi l'observatoire européen Copernicus.
Sécheresses, canicules, inondations : juillet 2025 illustre la multiplication des extrêmes climatiques, malgré une pause temporaire dans la série de records mondiaux.
Les incendies de Los Angeles, qui ont ravagé la ville en début d’année, ont largement fait grimper la facture, pointe ce mercredi 6 août le géant des assurances Swiss Re.
Incendies géants, records de chaleurs, pluies diluviennes, inondations meurtrières… L'été 2025 bat déjà tous les records dans l'hémisphère nord. Des "mégafeux" au Canada à la mousson meurtrière au Pakistan, les scientifiques tirent la sonnette d'alarme face à ces évènements climatiques extrêmes.
À l’échelle mondiale, nous venons d’épuiser notre quota de ressources planétaires pour l’année 2025, alerte ce mercredi l’ONG Global footprint network, qui actualise chaque année la date de ce «dépassement». Cette fois, le couperet est tombé un jour plus tôt que l’an dernier, soit la date la plus précoce jamais annoncée par l’ONG.
Nous sommes à un moment unique de l’histoire. L’année 2025 pourrait bien être retenue par les générations futures comme un point de bascule entre deux époques radicalement différentes. D’un côté, un 20e siècle qui s’achève, marqué par des systèmes politiques, économiques et énergétiques rigides qui ont façonné notre monde pendant près d’un siècle. De l’autre, un 21e siècle naissant, porté par des technologies révolutionnaires qui promettent de redessiner notre manière de vivre, de travailler, et même de penser.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a légèrement revu en baisse vendredi sa prévision de croissance de la demande de pétrole pour l'année 2025, qui constituerait sa plus faible progression depuis 2009, en dehors de l'année hors norme du Covid en 2020. L'agence de l'énergie de l'OCDE réunissant principalement les pays développés table sur une hausse de la demande d'or noir de 700.000 barils par jour en 2025, ce qui constituerait "son taux le plus bas depuis 2009, à l'exception de l'année Covid 2020", selon son rapport mensuel de juillet. Ces prévisions sont légèrement inférieures aux estimations de l'AIE dans son rapport du mois dernier, ce qui s'explique en grande partie par des livraisons du deuxième trimestre qui ont été en deçà des attentes, avec une hausse de seulement 550.000 barils journaliers en glissement annuel, sous l'effet d'une consommation des marchés émergents "particulièrement morose", soit la moitié de la croissance de 1,1 million de barils par jour observée au 1er tri
En juin 2025, la température moyenne mondiale a été de +1,03 °C au-dessus de la moyenne 1951‑1980. Cela fait de juin 2025 le troisième juin le plus chaud jamais enregistré, derrière juin 2024 et juin 2023 .
C’est une hécatombe. Selon une analyse du Grantham Institute et de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, le changement climatique d’origine humaine a intensifié la récente vague de chaleur en Europe et augmenté le nombre de décès dus à la chaleur d’environ 1500 dans 12 villes européennes, sur 2300 morts au total. Sur la période du 23 juin au 2 juillet, le changement climatique aurait triplé le nombre de décès liés à la chaleur. La consommation d’énergies fossiles a augmenté les températures des vagues de chaleur jusqu’à 4°C dans les villes.
Si le record de 2019 n’a pas été battu, ce mois de juin, avec une température moyenne supérieure de 3,3 °C aux normales de saison, se rapproche du plafond de 2003.
La France vient de connaître son second mois de juin le plus chaud, a annoncé le 2 juillet le gouvernement. Depuis le début des mesures, en 1900, seul le mois de juin 2003 a été plus chaud. L’anomalie de température a atteint +3,3 °C contre +3,6 °C en juin 2003, a précisé à l’AFP le ministère de la Transition écologique. L’Hexagone avait déjà connu lundi 30 juin sa nuit puis sa journée les plus chaudes jamais enregistrées pour un mois de juin, avec une moyenne de 20,2 °C durant la nuit et de 28 °C durant la journée. Mardi 1er juillet, Météo-France a relevé 41,3 °C à Nîmes, 39,3 °C à Toulouse et 38,1 °C à Paris.
Le 30 juin 2025 a été la journée la plus chaude jamais enregistrée pour un mois de juin. En ces premiers jours de juillet, le pays continue de suffoquer. La vague de chaleur s’est avérée intense sur tout le territoire.
Energies, Economie, Pétrole et Peak Oil: Revue Mondiale Juin 2025
La France a proposé d'accueillir les chercheurs visés par les coupes budgétaires de l'administration Trump. Les premiers réfugiés scientifiques américains viennent ainsi d'arriver sur le territoire français.
La pression était trop forte. Le président de l’université de Virginie, dans l’est des Etats-Unis, a annoncé sa démission, vendredi 27 juin, alors qu’il doit faire face à l’ouverture d’une enquête par l’Etat fédéral sur les pratiques du campus pour favoriser la diversité. « Je suis disposé à me battre pour mes convictions et je crois profondément en cette université », a déclaré, dans un communiqué, James Ryan, qui dirige l’établissement depuis 2018. « Mais je ne peux pas décider unilatéralement de lutter contre le gouvernement fédéral pour sauver mon emploi », a-t-il ajouté pour expliquer sa décision.
This Contemplation is the result of my beginning to put together a different one that’s focussing upon an academic article I’ve been reading (Collapse, Environment, and Society) but that got me thinking about the academic ‘debate’ regarding what ‘societal collapse’ is, how it may–or may not–unfold for our current experiment in large, complex societies, and how things are perceived in the moment by those experiencing societal change. The ‘debate’ (centred more-or-less on the question: Do societies actually ‘collapse’ or are they ‘merely’ shifting/transforming/adapting to changing conditions?) is rather ‘academic’ in that in the grand scheme of things it’s intellectually interesting but doesn’t have much to do with the on-the-ground, real-life experiences and concerns of most humans in a society–especially if they are experiencing some of the more ‘problematic’ consequences of collapse/transformation.
Wat hadden de wereldleiders weer beloofd in 2015 in de Franse hoofdstad? Ze zouden de opwarming van de aarde veroorzaakt door onze uitstoot van broeikasgassen beperken. Tot twee graden en liefst tot anderhalve graad. Daarvoor moesten ze doortastende én rechtvaardige maatregelen nemen. Ze hebben dat niet gedaan. Dat zien we op onze tv-schermen. De bosbranden, overstromingen en hittegolven worden talrijker en heviger. Met veel menselijke slachtoffers en schade voor alle leven op de planeet.
En mars dernier, l’université d’Aix-Marseille a lancé un programme d’accueil de scientifiques américains victimes des attaques contre la recherche depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. Vert est allé à la rencontre de certain·es candidat·es, qui attendent une réponse définitive dans les prochaines semaines.
Dans le cadre de son programme d’accueil lancé face à la remise en cause de la liberté académique aux Etats-Unis, l’université française a reçu près de 300 candidatures, pour vingt places. Elle a commencé à accueillir jeudi les premiers universitaires américains.