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incendies
2025
Les évacuations d’habitants se poursuivent mercredi dans le centre du Canada touché par de grands incendies de forêt décrits comme des "monstres" par les pompiers qui s’activent autour de plusieurs villages menacés par les flammes.
De violents incendies ravagent le Canada depuis quelques jours, menaçant notamment les industries pétrolières du pays. Des industries qui ont largement contribué à alimenter la crise climatique, et en sont aujourd'hui les victimes.
L’état d’urgence a été déclaré dans les provinces de la Saskatchewan et du Manitoban dans le centre du pays. L’Alberta, dans l’Ouest, est également touché par ces mégafeux qui continuent de se propager. Des alertes à la qualité de l’air ont été émises dans plusieurs Etats des Etats-Unis.
Les feux de forêt progressent encore mardi au Canada. Des milliers de personnes ont dû évacuer et des sites pétroliers ont dû être mis à l'arrêt. Les fumées se répandent aux États-Unis mais aussi en Europe.
Deux provinces canadiennes ont déclaré l’état d’urgence en raison d’intenses feux de forêt, alimentés par un temps chaud et sec. Les évacuations, qui se multiplient, se comptent déjà par milliers.
De dangereux incendies de forêt continuent de se propager dans de vastes régions du Canada. Sur plus de 120 foyers d’incendie à travers le pays, près de la moitié sont hors de contrôle, selon le dernier rapport national publié samedi. Après le Manitoba et la Saskatchewan, les habitants des provinces les plus à l’ouest, l’Alberta et la Colombie-Britannique, ont été invités à évacuer les zones touchées pour des raisons de sécurité. Des incendies isolés se sont également déclarés dans la province de l’Ontario, dans le centre-est du pays.
Environ 4 000 habitants ont déjà été évacués dans la Saskatchewan et l’absence de pluie laisse craindre une aggravation de la situation. Les évacuations se poursuivent également dans le Manitoba.
Un avion militaire doit être déployé de manière « imminente » dans le Manitoba pour aider les habitants des zones les plus reculées à partir.Plus de 17 000 personnes étaient en cours d’évacuation, mercredi 28 mai, dans le Manitoba, dans le centre du Canada, au moment où cette province connaît l’un de ses pires débuts de saison des feux de forêt, selon les autorités.
En 2024, l'Europe a été frappée de plein fouet et ce n'est que le début… D'après le dernier rapport du service Copernicus (qui est un programme européen d’observation de la Terre) et de l'agence météorologique mondiale et bien.. l'Europe est le continent qui s'emballe le plus vite sur la planète. Et vous savez quoi ? Ce n'est pas un accident, c'est la triste réalité d'un système qui se réchauffe à une vitesse effrayante.
L'équivalent de 18 terrains de football par minute : la destruction des forêts vierges tropicales a atteint l'an dernier un niveau record depuis au moins vingt ans, en raison des incendies alimentés par le changement climatique et d'une situation qui se dégrade de nouveau au Brésil.
Au total, 6,7 millions d’hectares de forêt primaire ont été détruits l’an dernier, en partie dû aux incendies, eux-mêmes alimentés par le réchauffement climatique.
L’équivalent de 18 terrains de football par minute : la destruction des forêts vierges tropicales a atteint l’an dernier un niveau record depuis au moins vingt ans, en raison des incendies alimentés par le changement climatique et d’une situation qui se dégrade de nouveau au Brésil.
Une femme et un homme se sont retrouvés piégés par les flammes dans leur maison, selon la police locale, alors que la sécheresse aggrave la situation dans la région.
Les pompiers de Bruxelles appellent à la prudence face aux risques d'incendie, alors que la sécheresse s'installe dans le pays. "L'Institut royal météorologique (IRM) n'a jamais enregistré aussi peu de précipitations depuis le 1er mars, et ce en 132 ans", a relevé le professeur Patrick Willems, ingénieur hydraulique à la KU Leuven. Le nord et l'ouest du pays sont les plus touchés.
Les gigantesques feux de forêt qui ont ravagé l’Australie à la fin 2019 ont eu des répercussions jusqu’à l’autre bout de l’océan Austral, à des milliers de kilomètres plus à l’est. C’est la conclusion d’une étude inédite dirigée par l’université américaine Duke et publiée le 15 septembre dans la revue Nature.
Les nuages de fumée et de cendres des incendies sauvages qui ont ravagé l’Australie en 2019 et 2020 ont déclenché des efflorescences algales dans l’océan Austral à des milliers de kilomètres à l’est selon une nouvelle étude dirigée par l’Université de Duke et réalisée par une équipe internationale de scientifiques dont Nicolas Cassar, chercheur associé au Laboratoire des sciences de l’environnement marin (LEMAR) à l’IUEM.
En raison de la sécheresse, des feux de végétation se sont déclarés dans plusieurs régions depuis le début du printemps. Le pays prend conscience de sa vulnérabilité face aux effets du dérèglement climatique.
Les calamités volent en escadrille. Nous avions déjà la hausse des températures, l’acidification des océans, la pollution de l’air, l’intensification des catastrophes météorologiques, la multiplication des feux de forêt et l’érosion de la biodiversité, mais il manquait l’assaisonnement indispensable pour lier entre elles toutes les saveurs du chaos : la menace d’un nouveau conflit planétaire.
Face à des feux dévastateurs, principalement à l’ouest de la ville, le Premier ministre israélien évoque une «situation d’urgence nationale». Emmanuel Macron a affiché sa solidarité avec l’Etat hébreu. «Nous affrontons probablement le plus grand incendie en Israël depuis une décennie», a déclaré mercredi 30 avril lors d’un point presse le commandant israélien des pompiers, Eyal Caspi.
Comme une centaine de territoires volontaires, quelque 90 communes béarnaises lancent un projet pilote pour anticiper un climat réchauffé de 4°C. Première étape : faire un diagnostic des risques, qui mêlent pluies diluviennes, sécheresse et feux de forêt.