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ambitions
2025
Le gouvernement français a revu en baisse mercredi ses objectifs de capacité de production d'hydrogène bas carbone, avec désormais comme objectif "jusqu'à 4,5 gigawatts" installés en France en 2030 et 8 GW en 2035, contre respectivement 6,5 GW et 10 GW visés jusqu'à présent.
A la tête d’une commission pour «l’efficacité gouvernementale», le patron de Tesla avait à l’origine annoncé qu’il réduirait les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars. Il s’est finalement satisfait de 150 milliards, jeudi 10 avril.
Au Groenland, les annonces de Trump et les convoitises sur les ressources minérales inquiètent les écologistes. Ils redoutent, en cas de nouvelles mines, une pollution massive qui ravagerait le développement agricole de l'île.
Des images satellite obtenues par Reuters montrent pour la première fois ce qui ressemble à un gigantesque laboratoire chinois de recherche nucléaire. Sa spécialité : permettre à la fois de rechercher le "Saint Graal" des énergies renouvelables et aider à faire des simulations d’essais sur les armes nucléaires.
Les négociateurs du nouveau gouvernement fédéral peuvent faire une croix sur leurs projets de prolongation de réacteurs...
Le chancelier allemand a souligné mercredi l’importance du principe d’inviolabilité des frontières face aux ambitions affichées récemment par le prochain président américain au sujet du Groenland, du canal de Panama ou encore du Canada.
2024
La COP29 s'est terminée sur un goût amer, les pays en développement n'ayant pas obtenu un montant d'aide climatique au niveau espéré. Une déception qui risque de réduire leurs ambitions futures en matière de réduction de gaz à effet de serre, estiment plusieurs experts.Selon l'accord de Paris, les Etats doivent présenter tous les cinq ans leur plans d'actions climatiques au travers des "contributions déterminées au niveau national" (NDC). La troisième salve de révision, avec des objectifs à 2035, doit être publiée d'ici février.
Les pays riverains de la mer du Nord se donnent rendez-vous jeudi au Danemark pour concrétiser leurs engagements en matière d'éolien en mer, un secteur à l'épreuve de la forte concurrence en provenance de Chine.20 000 éoliennes en plus en mer du Nord d'ici 2050Lors du sommet, huit pays - Danemark, Belgique, Pays-Bas, France, Allemagne, Luxembourg, Norvège, Irlande - et la Commission européenne doivent s'entendre sur les modalités d'installation de quelque 20 000 éoliennes offshore en mer du Nord d'ici 2050.
Les économistes Jérôme Creel et Mathilde Viennot proposent, dans une tribune au « Monde », qu’un fonds communautaire doté de 65 milliards d’euros par an finance la transition climatique.
Au moment où le Royaume-Uni fait preuve d’une détermination exemplaire pour mettre en œuvre les recommandations scientifiques et les engagements internationaux en matière de protection de l’océan et où le gouvernement britannique commence à interdire le chalutage de fond dans quelques zones restreintes de ses aires marines protégées, un axe anti-écologique formé par la droite et l’extrême droite françaises refait surface pour tenter de faire plier Londres et la Commission européenne et empêcher une réelle protection des eaux britanniques. Comble de l’ironie, le pays qui a quitté l’UE est le seul à appliquer sérieusement les règles européennes en matière de protection des océans, des écosystèmes et du climat.
Près de trois mois après l'accord adopté à la COP28 pour tenter de limiter le réchauffement climatique, les pays participant doivent se concentrer sur le renforcement de leur plan de réduction des émissions et sur le financement de la transition, affirme à l'AFP le ministre danois du Climat Dan Jørgensen.
2023
Le géant russe de l'énergie atomique Rosatom a dévoilé mardi un nouveau réacteur destiné à équiper son futur brise-glace à propulsion nucléaire, crucial pour les ambitions polaires de Moscou, qui veut faire des eaux de l'Arctique une route commerciale vers l'Asie. Le réacteur RITM-200 "fera partie du système énergétique de tous les brise-glace modernes", a prédit Vladislav Païkov, directeur général adjoint de ZiO-Podolsk, qui fait partie de la branche ingénierie de Rosatom, lors d'une présentation à Podolsk, au sud de Moscou.
Le ministre Maron renvoie les discussions sur la politique climatique belge au Comité de concertation.
Les grandes sociétés pétro-gazières mondiales sont loin de consentir aux efforts nécessaires pour limiter le réchauffement planétaire, et ont parfois fait reculer leurs engagements, estime jeudi un rapport de Carbon Tracker, qui note toutefois mieux les groupes européens."Les progrès des sociétés pétrolières et gazières pour renforcer leurs engagements en matière d'émissions sont au point mort, la plupart restant dans la même fourchette que l'année dernière", souligne le centre de réflexion Carbon Tracker, dans un communiqué.
Cet été, le ministère de l’Éducation nationale a annoncé une série de mesures pour développer l’enseignement de la transition écologique à l'école. Les enseignant·es dénoncent un plan de communication sans ambition.
Royaume-Uni Le Premier ministre relance l’exploitation fossile en mer du Nord.
La CSRD, dont les standards sont en discussion en ce moment dans les instances européennes, pourrait être finalement vidée de sa substance et de son ambition. Le texte, qui représentait un progrès significatif en matière d’obligations RSE et notamment d’obligation de reporting, est en ce moment l’objet d’une opposition vigoureuse des groupes d’intérêt et des lobbies, qui tentent d’affaiblir le texte. Alors, est-ce la fin annoncée de ce texte pourtant fondateur pour la responsabilité des entreprises opérant en Europe ? Revenons sur les dernières évolutions des discussions autour de la CSRD.
Le dirigeant de Dubaï a communiqué concernant l'établissement d'un nouveau calendrier économie.
2022
Du 7 au 19 décembre 2022, se tient à Montréal la COP15 sur la biodiversité. Au cœur des discussions, la question du financement est scrutée de près.
Les Pays-Bas vont sortir de la Charte de l'énergie, un traité vieux de 30 ans accusé d'entraver ses ambitions climatiques car trop protecteur des énergies fossiles, a déclaré mercredi le ministère néerlandais de l'Environnement et de l'Energie. L'Union européenne (UE) a obtenu en juin que soit réformé le méconnu Traité sur la Charte de l'énergie (TCE), mais le compromis est jugé insuffisant par les ONG, qui demandent aux Européens de s'en retirer. Le ministre de l'Environnement et de l'Energie Rob Jetten estime que même réformé, le traité "ne peut pas être concilié avec l'accord de Paris" sur le climat, a déclaré son ministère auprès de l'AFP. "Pour cette raison, les Pays-Bas, de préférence avec l'ensemble de l'UE, quitteront le TCE", a-t-il affirmé, précisant que la date de sortie officielle des Pays-Bas restait à déterminer. Le traité a été signé en 1994, au sortir de la Guerre froide, pour offrir des garanties aux investisseurs dans les pays d'Europe de l'Est et de l'ex-URSS.