2025
Alors que les scientifiques américains manifestent ce 7 mars face aux attaques de l'administration Trump contre la science, focus sur l'impact mondial de ces coupes budgétaires sur la science météo et climatique.
A l’ouverture des échanges sur le continent ce lundi 3 mars au matin, les actions de Dassault Aviation et Thalès flambaient de près de 15%. Idem pour le Britannique BAE Systems, l’Allemand Thyssenkrupp ou encore le Suédois Saab.
Entre 2000 et 2023, les glaciers de la planète ont perdu 5% de leur volume, selon une étude dirigée par l'Université de Zurich (UZH). Fait marquant: le processus s’est très nettement accéléré depuis 2012.
Des chercheurs ont développé Torque Clustering, un algorithme d’IA doté d’une capacité inégalée à apprendre à partir de vastes ensembles de données, sans intervention humaine.
Une étude à paraître, mandatée par la Confédération, révèle la présence de résidus issus de l'abrasion de pneus dans les légumes consommés en Suisse. Près du tiers des légumes analysés contenaient des additifs chimiques utilisés dans la fabrication de pneumatiques.
Selon une nouvelle étude américano-suisse, le "courant méridienne de retournement atlantique" — ou AMOC — n'a montré aucun signe de déclin au cours des 60 dernières années. Ce courant océanique est essentiel au climat doux qui règne en Europe de l'Ouest et du Nord. Mais sa stabilité ne signifie pas que les craintes de son effondrement soient infondées.
La planète a déjà connu, en 2024, une année au-dessus de 1,5 degré de réchauffement. Mais ce seuil fixé par l'accord de Paris va-t-il pour autant être franchi durablement? C'est probable car les températures récentes s'inscrivent dans une tendance de long terme, selon deux études publiées lundi.
Une dizaine de pays seulement a respecté la date fixée à lundi par l'ONU pour soumettre leur nouveau plan de lutte contre le réchauffement climatique. Parmi les retardataires, la plupart des grandes économies mondiales, pressées de présenter des stratégies exemplaires après le retrait des Etats-Unis.
Janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud jamais mesuré dans le monde, a annoncé jeudi l'observatoire européen Copernicus. Il a battu le record établi en 2024, malgré la fin du phénomène El Niño qui a accentué le réchauffement climatique en 2023 et 2024.
Les scientifiques s'accordent sur l'élévation du niveau de la mer, mais les estimations varient. Une équipe de chercheurs de Singapour et des Pays-Bas a développé une méthode innovante pour affiner ces prévisions. Leurs résultats, publiés dans Earth's Future, suggèrent une hausse bien plus importante que celle envisagée par le Giec.