2025
L'étendue cumulée de la banquise autour des deux pôles a atteint un nouveau minimum historique en février 2025, un phénomène particulièrement marqué dans l'Arctique, alerte jeudi le réseau européen Copernicus. Ce recul est observé alors que la planète entame une troisième année d'affilée avec des records de températures.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut: après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l'hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète en poursuivant plus de deux ans d'observations de chaleurs à des niveaux historiques.
Le mois qui vient de s’écouler «s’inscrit dans la lignée des températures records ou quasi records» depuis deux ans, pointe le bulletin mensuel publié ce jeudi 6 mars par l’observatoire européen Copernicus.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut : après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l’hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète.
Depuis 2023, les océans ont littéralement suffoqué en raison de températures extrêmes pendant plus d'une année. Mais que s'y passe-t-il ?
Les scientifiques constatent que les températures au pôle Nord ont augmenté de plus de 20 °C au-dessus de la moyenne dimanche,
Janvier 2025 devient le mois de janvier le plus chaud jamais enregistré, à la surprise des scientifiques qui prévoyaient un refroidissement avec La Niña. Pourtant, la planète continue de se réchauffer à un rythme alarmant.
Face à une accélération sans précédent du réchauffement des océans, symbole alarmant du changement climatique, les scientifiques tirent la sonnette d'alarme sur les conséquences pour notre planète.
Si le thermomètre affiche une hausse de 1,5 °C sur un an, on ne peut affirmer que la cible de l’accord de Paris a été dépassée. Comprendre les causes de ce pic de température reste pourtant précieux.
Les températures records mesurées en 2024 ne s’expliquent que partiellement par les activités humaines émettrices de gaz à effet de serre. Celles-ci surprennent jusqu’aux scientifiques.