Jean-Pascal Van Ypersele

OA - Liste

2025

Les services secrets ukrainiens ont piégé des milliers de lunettes destinées aux opérateurs contrôlant les drones de combat russes, rapporte le New York Times. Une opération qui n’est pas sans rappeler le sabotage des bipeurs du Hezbollah par le Mossad en septembre 2024.
Huit dirigeants arabes se réunissent, vendredi, en Arabie saoudite, pour discuter d'un projet alternatif à celui exposé par Donald Trump sur l'avenir de Gaza. Un plan égyptien en trois phases est à l'étude.
Le Hamas est prêt à libérer tous les otages restants dans la bande de Gaza, lors de la deuxième phase de la trêve entre le mouvement islamiste palestinien et Israël après 15 mois de guerre, a déclaré mercredi l'un de ses responsables.
Un État israélo-palestinien unique représente une possibilité crédible, à condition que des concessions importantes soient faites de part et d’autre.
Le 4 février, le président américain, Donald Trump, annonçait vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza et “transférer” sa population palestinienne en Jordanie et en Égypte. La proposition a fait l’effet d’une bombe, mais elle n’est pas nouvelle, rappelle le quotidien israélien “Ha’Aretz”.
Le président américain a promis lundi un “enfer” si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d’ici à samedi, après la menace du mouvement islamiste palestinien de reporter la prochaine libération prévue par le cessez-le-feu en vigueur à Gaza.
Le président américain exige qu’Israël annule l’accord de cessez-le-feu si les otages ne sont pas « tous ramenés avant samedi midi ». Une réclamation qui va plus loin que l’accord de trêve qui se déroule depuis le 19 janvier.
Joseph Pelzman a envoyé un rapport de 49 pages à Donald Trump pour essayer de trouver des solutions. Objectif : transformer Gaza comme la Côte d'Azur du Moyen-Orient. Un pari aussi fou que contraire au droit international.
Le président des Etats-Unis affirme que les palestiniens déportés dans le cadre de son projet pour reconstruire la bande de Gaza n’auront pas le droit de revenir sur leurs terres, apprend-on ce lundi 10 février.
Dans un extrait d’une interview qui doit être diffusée sur Fox News lundi 10 février au soir, le président américain a déclaré vouloir attribuer aux Gazaouis un “endroit permanent” autre que la bande de Gaza, ravagée par la guerre entre Israël et le Hamas.
Cette mesure, annoncée alors que le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, se trouve à Washington, impose des restrictions financières et de visas aux personnels de la CPI qui aident aux enquêtes de la cour sur les citoyens américains ou leurs alliés.
Le président américain a signé jeudi un décret prévoyant des sanctions contre la CPI, accusée d’avoir «engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël».
La porte-parole de la Maison-Blanche a tenté mercredi de clarifier les annonces faites la veille par Donald Trump sur la présence américaine dans l’enclave palestinienne.
L’administration américaine s’est efforcée mercredi de nuancer la proposition du président Donald Trump de prendre le contrôle de Gaza, et le chef de l’ONU a mis en garde contre un «nettoyage ethnique» dans le territoire palestinien.
Les déclarations du président américain du mardi 4 février sur sa volonté de faire de Gaza la «Côte d’Azur du Moyen-Orient» se heurtent, en réalité, à bien plus d’obstacles que ne le laisse entendre le milliardaire républicain.
Donald Trump a fait une annonce extraordinaire mardi, disant vouloir prendre "le contrôle" de la bande de Gaza dévastée par la guerre, une proposition qui pourrait "changer l'Histoire" selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Le président républicain a affirmé mardi que les États-Unis souhaitaient développer le territoire palestinien et a répété que ses habitants pourraient être transférés vers la Jordanie ou l’Égypte. Une annonce extraordinaire qui, si elle était appliquée, pourrait avoir des “implications considérables” pour le Moyen-Orient, note la presse américaine.
En prônant une prise de contrôle durable de la bande de Gaza par les Etats-Unis après en avoir chassé les Palestiniens, le président américain fait sienne la vision de l’extrême droite raciste et suprémaciste israélienne et annonce un crime de guerre.
La déclaration choc du président américain, mardi, d’expulser tous les Palestiniens de l’enclave pourrait mettre à mal le troisième échange d’otages prévu ce week-end et anéantir tous les plans de paix possibles.
Après les déclarations polémiques mardi soir du président américain, Paris a affirmé ce mercredi 5 février que «l’avenir de Gaza doit s’inscrire […] dans le cadre d’un futur Etat palestinien.»