filtre:
sommet
2025
La baie des Anges se transforme en haut lieu diplomatique. Une cinquantaine de chefs d’Etat internationaux, dont le président brésilien Lula, de nombreux scientifiques et des représentants de la société civile sont attendus ce dimanche à Nice à la veille de la troisième conférence de l’Onu sur les océans (Unoc 3). Emmanuel Macron entend transformer ce rendez-vous – le troisième du genre après New York en 2017 et Lisbonne en 2022 − en sommet de «mobilisation».
Canicules marines, espèces en danger, pollution de l’eau… Une cinquantaine de chefs d’Etat vont tenter à partir de lundi d’élaborer un «plan d’actions» non contraignant juridiquement pour répondre aux différentes menaces qui pèsent sur le Grand Bleu.
Surpêche, pollution, réchauffement climatique… Face aux menaces qui pèsent sur les océans, il est nécessaire de prendre des mesures concrètes. Mais la rencontre qui s’ouvre lundi 9 juin à Nice, en l’absence de la première puissance maritime mondiale, ne semble guère en capacité de renverser la table.
Tuvalu, Fidji, Maldives, Bahamas… ces pays sont plus que jamais menacés par la hausse du niveau des mers. À quelques jours de la conférence mondiale sur l’océan (Unoc), ils appellent les dirigeants du monde entier à mettre les questions liées à l’océan au centre de leurs politiques climatiques.
A une semaine du sommet de l’ONU sur les océans, la ministre de la Transition écologique a écrit à ses homologues pour les inviter à faire pression sur deux compagnies d’extraction minière, The Metals Company et Allseas, qui veulent s’allier avec les Etats-Unis de Donald Trump.
Les Etats-Unis ont fustigé jeudi les politiques hostiles aux énergies fossiles, les qualifiant de "néfastes et dangereuses", au premier jour du sommet de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) sur la sécurité énergétique, à Londres, s'opposant fermement aux pays qui veulent tourner la page. "Certains veulent réglementer toutes les formes d'énergie, sauf les soi-disant renouvelables, jusqu'à leur disparition complète, au nom de la neutralité carbone. Nous nous opposons à ces politiques néfastes et dangereuses", a déclaré Tommy Joyce, secrétaire adjoint par intérim à l'Energie pour les affaires internationales.
Les Etats-Unis ont fustigé jeudi les politiques hostiles aux énergies fossiles, les qualifiant de "néfastes et dangereuses", au premier jour du sommet de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) sur la sécurité énergétique, à Londres, s'opposant fermement aux pays favorables aux renouvelables.
Les États-Unis ont fustigé jeudi les politiques hostiles aux énergies fossiles, les qualifiant de "néfastes et dangereuses", au premier jour du sommet de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) sur la sécurité énergétique, à Londres, s'opposant fermement aux pays favorables aux renouvelables. "Certains veulent réglementer toutes les formes d'énergie, sauf les soi-disant renouvelables, jusqu'à leur disparition complète, au nom de la neutralité carbone. Nous nous opposons à ces politiques néfastes et dangereuses", a déclaré Tommy Joyce, secrétaire adjoint par intérim à l'Energie pour les affaires internationales.
L’Europe, qui se réchauffe plus vite que le reste du monde, a connu son mois de mars le plus chaud jamais enregistré, s’accompagnant de précipitations extrêmes dans certaines régions tandis que d’autres se trouvaient dans la sécheresse.
L’entrée en vigueur de l’accord sur la gouvernance de la haute mer, l’arrêt de la surpêche mondiale et la défense de la science font partie des priorités énoncées, lundi, par le chef de l’Etat.