2025
Le Royaume-Uni et la Norvège, deux pays aux liens énergétiques très étroits, vont, face à la menace russe, accroître leur coopération dans la protection des infrastructures sous-marines, a annoncé jeudi le ministre norvégien de la Défense.Cette annonce est survenue dans le cadre d'une visite de deux jours du ministre britannique de la Défense, John Healey, dans le nord de la Norvège, à l'heure où les propos de Donald Trump font craindre un désengagement militaire américain d'Europe.
La justice norvégienne a débouté ce jeudi 13 février la plainte de l’ONG, qui estime que le gouvernement du pays n’a pas assez mesuré l’ampleur des conséquences environnementales de l’ouverture des fonds marins à l’exploration minière.
Deux organisations engagent ce 11 février une action en justice pour interdire du chalutage de fond dans deux sanctuaires marins. Elles dénoncent un «excès de pouvoir» de l’Etat qui ne respecterait ni le droit français ni le droit européen.
Planche de chalut. Ce mardi, deux organisations de défense de l’environnement engagent une action en justice pour obtenir la fin des techniques de pêche destructrices dans les aires marines protégées. Alors que la loi impose à l’État de veiller à la conservation de la biodiversité dans ces zones, ce type de chalutage y a toujours cours.
Dans cette discussion passionnante, nous explorons avec Marine de Gulliel-Mauvébert et Rémi Noyon le monde complexe de la géo-ingénierie. Comment ces technologies, autrefois vues comme de la science-fiction, deviennent-elles une réponse envisagée à la crise climatique ?
2024
La professeure de droit Marie-Angèle Hermitte et l’avocate Marine Yzquierdo analysent, dans une tribune au « Monde », la décision du Tribunal constitutionnel espagnol, qui, le 20 novembre, a confirmé la constitutionnalité de la loi accordant une personnalité juridique à la lagune de Mar Menor, dévastée par la pollution.
À l’heure où nous vous parlons, des navires gigantesques sont en train de ravager des millions d’animaux marins dans… les aires marines « protégées » ! Nous les avons pris en flagrant délit, et nous avons tout filmé. Aujourd’hui, nous publions notre enquête inédite. Nous ne sommes pas revenus de ce que nous avons découvert. Il faut voir les images pour le croire. C’est tout simplement sidérant. Visionnez notre enquête et partagez notre alerte à tout votre entourage.
C’était il y a 25 ans. Le 12 décembre 1999, le pétrolier Erika, transportant 30.000 tonnes de pétrole, faisait naufrage au large des côtes françaises. Le navire, en piteux état, battait pavillon maltait et était affrété par le géant Total. Les conséquences de la marée noire furent dévastatrices : près de 400 kilomètres de côtes françaises souillées, entre 150.000 et 300.000 oiseaux tués. Encore aujourd’hui, ce naufrage est considéré comme l’un des pires drames écologiques d’Europe.
Comment imaginer la forêt du futur et à partir de quelles espèces ? Le point avec Brigitte Musch, chercheuse à l’ONF et responsable du Conservatoire génétique des arbres forestiers.
La Norvège ne délivrera finalement pas de permis de prospection minière sous-marine dans ses eaux en 2025, a annoncé dimanche le parti de la Gauche socialiste. Ce parti a indiqué avoir arraché cette concession dans le cadre de négociations avec le gouvernement, minoritaire au Parlement, pour l’aider à faire adopter son projet de budget 2025.
La nature doit être protégée par des droits fondamentaux, comme les humains, plaide la juriste en droit de l'environnement Marine Calmet. En ce sens, inspirons-nous des peuples autochtones, appelle-t-elle.
Fabien Balaguer, directeur de l’association française d’agroforesterie nous raconte pourquoi replacer l’arbre dans les pratiques agricoles.
Des forêts plus vulnérables, malades et sèches. Dans son laboratoire (LSCE – IPSL), Nicolas Viovy modélise l’impact des changements climatiques sur les massifs forestiers.
Le courlis à bec grêle, un oiseau migrateur qui se reproduisait autrefois en Sibérie et hivernait autour de la Méditerranées, est aujourd’hui éteint, selon une étude publiée cette semaine et relayée par l’association BirdLife International. Il s’agit de la première extinction connue d’oiseau d’Europe occidentale.
Dans un ouvrage fouillé, la chercheuse Marine de Guglielmo Weber et le journaliste Rémi Noyon analysent les recherches et les risques dans le domaine de la modification artificielle du climat.
Le réchauffement des océans et des mers est un enjeu majeur dans le contexte du changement climatique actuel. Les conséquences seront nombreuses d'ici à la fin du siècle : orages violents, nuits tropicales, canicules marines… Quelles répercussions auront ces phénomènes sur notre quotidien et notre santé ?
Les banques françaises, malgré leurs promesses vertes, continuent de financer les énergies fossiles tandis que des alternatives existent.
Et si, après avoir déréglé le climat, nous décidions de le contrôler ? Depuis les années 1970, les scientifiques explorent de nouvelles perspectives pour poursuivre notre « aménagement » du système Terre : arbres artificiels, voile solaire, nuages blanchis… Ces approches, bien que différentes, sont regroupées sous le terme de géo-ingénierie. Jadis perçues comme des idées dangereuses, elles sont de plus en plus acceptées. Certains y voient un moyen de ralentir le réchauffement sans toucher aux bases du capitalisme tandis que d’autres les considèrent comme un ultime recours pour éviter des catastrophes irréversibles. Dans ce livre-enquête, Marine de Guglielmo Weber et Rémi Noyon retracent l’histoire de la géo-ingénierie, explorent les cultures scientifiques et philosophiques qui la sous-tendent, et examinent ses implications en matière de gouvernance, de conflits géopolitiques et de justice climatique. Avec une préoccupation majeure : qu’un climat d’urgence nous mène à des interventions dangereuses sur l’atmosp
Une étude menée sur des tomates et des vignes montre que ces algues, déjà connues pour leur richesse en agar-agar, ont une capacité de biocontrôle prometteuse.