Jean-Pascal Van Ypersele

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2025

La planète se rapproche inexorablement d’un réchauffement de 1,5 °C, avertit l’Organisation météorologique mondiale ce mercredi 28 mai, augmentant le risque de phénomènes météorologiques extrêmes.
Dans les cinq prochaines années, les températures mondiales devraient rester à des niveaux records ou très élevés, avertit l’Organisation météorologique mondiale mercredi, estimant ainsi qu'il y a un fort risque que la température mondiale moyenne sur la période 2025-2029 dépasse +1,5 °C de réchauffement.
ONU, Banque mondiale, OCDE : les instances internationales travaillent de plus en plus sur des indicateurs économiques alternatifs au PIB. Une conversion lente, qui n'a toujours pas permis de détrôner l'indicateur roi.
Entre 2021 et 2023, l'Antarctique a gagné de la glace, malgré l'augmentation des températures. Mais comment expliquer cette anomalie ?
Une nouvelle étude du Laboratoire sur les inégalités mondiales propose une projection des inégalités mondiales jusqu’en 2050. Et en conclut qu’une réduction importante est envisageable à condition de travailler sur l’éducation, la santé ou le salaire minimum.
Une jeune coopérative française se prépare à révolutionner le secteur maritime avec un porte-conteneurs à voile propulsé par l’énergie éolienne. L’un des objectifs est de contribuer à réduire l’empreinte carbone du transport maritime, un secteur responsable de près de 3% des émissions mondiales de CO2.
Les dépenses militaires mondiales ont connu en 2024 la plus importante hausse depuis la fin de la Guerre froide, estime l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri) dans un rapport publié lundi. Elles atteignent 2 700 milliards de dollars, avec des augmentations particulièrement marquées en Europe et au Moyen-Orient.
Si la majeure partie de la surface terrestre est couverte d’eau, seulement un faible pourcentage concerne l’eau douce. Cependant, les pays ne sont pas égaux face à cette ressource vitale, comme l’indique une récente infographie très parlante.
Le mois de mars n’a pas dérogé à la tendance : les températures mondiales sont restées exceptionnellement élevées, dans la continuité de près de deux ans de chaleur anormale, et atteignant des niveaux proches du pire scénario envisagé par les scientifiques sur le réchauffement climatique.
L’Europe, qui se réchauffe plus vite que le reste du monde, a connu son mois de mars le plus chaud jamais enregistré, s’accompagnant de précipitations extrêmes dans certaines régions tandis que d’autres se trouvaient dans la sécheresse.