2025
Le thermomètre va chuter aux États-Unis.
Les événements météorologiques extrêmes sont plus fréquents et plus forts. Les vagues de chaleur qui se produisaient tous les cinquante ans frappent déjà tous les dix ans. Elles pourraient devenir quasiment permanentes dans de grandes parties du monde, et des records bien plus intenses se produiront alors.
2024
Depuis le 27 décembre, les littoraux équatoriens et péruviens font face à une série de vagues de forte intensité. Plusieurs infrastructures maritimes et touristiques ont été altérées par le phénomène.
Les centres commerciaux à Téhéran fermeront deux heures plus tôt à compter de mardi pour économiser l'énergie, au moment où l'Iran est confronté à une pénurie énergétique exacerbée par une vague de froid. "Si les centres commerciaux ne respectent pas cette décision, ils seront fermés et leur alimentation en gaz et électricité coupée", a mis en garde à la télévision d'Etat un responsable de la Chambre des métiers de Téhéran, Hamidreza Rastegar.
En ce début de l’été austral, le sud de l’Australie suffoque. Des températures de 5 à 12 °C au-dessus des moyennes sont enregistrées. Et les autorités craignent déjà de possibles feux de brousse.
Plusieurs centrales électriques en Iran ont été mises hors service en raison d'une pénurie de carburant aggravée par une vague de froid qui pèse sur l'approvisionnement énergétique, ont rapporté lundi des médias locaux.RationnementsL'Iran est un géant sur le plan énergétique, qui dispose des deuxièmes plus grandes réserves de gaz naturel au monde, selon l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), et était le septième producteur mondial de pétrole brut en 2022.
Une étude révèle qu’au cours des 65 dernières années, certaines régions du monde ont enregistré des vagues de chaleur extrêmes dont l’ampleur dépasse largement les prévisions des modèles climatiques.
Une terrible vague d'incendies pourrait se déclencher dans les régions nordiques d'ici la fin de ce siècle en raison du dégel du pergélisol.
Un rapport de l’observatoire européen, publié lundi, rapporte que plus d’un cinquième de la surface océanique mondiale a connu une vague de chaleur sévère en 2023. Ce réchauffement s’explique par le fait que les océans ont absorbé depuis 1970 « plus de 90 % de l’excès de chaleur du système climatique ».
Nicolas Ghilain est climatologue à l’université de Liège et à l’IRM, où il crée et améliore des outils de modélisation du climat régional, afin de répondre à la question cruciale : à quoi ressemblera le climat belge dans le futur ? En particulier, il essaie de déterminer si nous devrons faire face plus fréquemment à des événements extrêmes (pluies intenses, vagues de chaleur et sécheresses), et de quelle intensité. Il étudie également l’influence de l’aménagement du territoire et de la végétation sur le climat, un sujet d’étude encore récent.