Kaya

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L’équation de Kaya

« Dans la quête aux réductions d’émissions de CO2, on parle régulièrement de différents leviers : démographie,
décroissance, sobriété, efficacité énergétique ou encore mix énergétique. Pour comprendre l’impact de chacun de
ces termes, il est commode de se servir de l’équation de Kaya. Cette équation, que l’on doit à l’économiste japonais
Yoichi Kaya, décompose les émissions de CO2 énergétiques (donc qui proviennent de la consommation d’énergie)
selon une formule mathématique qui n’est qu’une tautologie, mais qui donne un axe de lecture intéressant. Dans
« Environment, Energy, and Economy : strategies for sustainability« , il écrit en 1997 que la quantité de CO2
énergétique émise dans l’atmosphère est égale à l’intensité carbone de l’énergie, multipliée par l’intensité
énergétique du PIB, multipliée par le PIB par habitant, multiplié par la population. » … Simon Yaspo.

Des analystes avancent une hypothèse plausible expliquant pourquoi plusieurs milliardaires (dont Mark Zuckerberg) construisent des bunkers ultra-luxueux et entièrement autonomes.
Des robots tueurs pour mener la guerre? La perspective d’un déploiement de systèmes d’armes létales autonomes sur le champ de bataille devrait faire se retourner dans leurs tombes Henry Dunant et Gustave Moynier. En fondant la Croix-Rouge au XIXe siècle, ces derniers avaient jugé nécessaire d’atténuer les souffrances en limitant la capacité destructrice des belligérants et en protégeant les populations civiles.
Un rapport de l’ONU suggère que des drones kamikazes autonomes ont pu être utilisés par les forces gouvernementales libyennes en mars 2020, assure le site du New Scientist. Ce serait la première fois que ce type d’arme est utilisé sans aucune intervention humaine sur le champ de bataille. Mais des experts interrogés par France 24 mettent en garde contre des conclusions hâtives.
Dans son nouveau livre, «Countdown», l'épidémiologiste environnementale et reproductive Shanna Swan prédit que le nombre de spermatozoïdes pourrait atteindre zéro d'ici 2045 grâce à des produits chimiques perturbateurs hormonaux qui sont «partout»


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