Kaya

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L’équation de Kaya

« Dans la quête aux réductions d’émissions de CO2, on parle régulièrement de différents leviers : démographie,
décroissance, sobriété, efficacité énergétique ou encore mix énergétique. Pour comprendre l’impact de chacun de
ces termes, il est commode de se servir de l’équation de Kaya. Cette équation, que l’on doit à l’économiste japonais
Yoichi Kaya, décompose les émissions de CO2 énergétiques (donc qui proviennent de la consommation d’énergie)
selon une formule mathématique qui n’est qu’une tautologie, mais qui donne un axe de lecture intéressant. Dans
« Environment, Energy, and Economy : strategies for sustainability« , il écrit en 1997 que la quantité de CO2
énergétique émise dans l’atmosphère est égale à l’intensité carbone de l’énergie, multipliée par l’intensité
énergétique du PIB, multipliée par le PIB par habitant, multiplié par la population. » … Simon Yaspo.

Avec la multiplication des sites d’orpaillage, le mercure, utilisé pour amalgamer l’or, est de plus en plus demandé dans le pays. Ce métal liquide est pourtant interdit en raison de ses effets sur l’environnement et sur la santé humaine. “Sidwaya” a enquêté sur les filières de contrebande, transfrontalières et circulaires, qui approvisionnent les mineurs.
Le quotidien burkinabè “Sidwaya” est parti à la rencontre de Djenma Héma, l’heureux propriétaire d’une exploitation verdoyante, dans laquelle l’agriculture est pensée comme parfaitement intégrée aux cycles naturels et à l’environnement humain.
La présence des déchets électroniques dans la nature présente un risque pour l’environnement au regard des substances chimiques toxiques qu’ils rejettent. Le sol, les eaux, la flore et l’atmosphère sont l’objet d’une pollution silencieuse si bien qu’il va falloir prendre des mesures pour règlementer l’utilisation de ces appareils qui font désormais partie des habitudes.
Le Burkina Faso connaît une ruée vers l’or effrénée, avec des mines sauvages qui apparaissent partout. Certains orpailleurs empiètent même sur des sites sacrés, au grand dam des chefs coutumiers, relate “Sidwaya”. Sur ces sites, les accidents se multiplient, au point que certains y voient la “manifestation du courroux des forces invisibles”.
dans les pays à faibles revenus, les actions d’adaptation au changement climatique sont « plus réactives que préventives », et sont basées sur des stratégies d’évitement, d’adaptation, de retrait, d’ajustement, d’acceptation, de répartition des risques ou de sécurisation des revenus ou des ressources.


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