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2024

Si le thermomètre était proche ou inférieur aux normales de saison en Europe de l’Ouest, notamment en France, une grande partie du monde a subi des températures supérieures aux normes, voire exceptionnelles.
La température moyenne au niveau mondial a battu des records chaque mois depuis juin 2023.

2023

En dépassant pour la première fois de 2°C la moyenne 1850-1900, la température moyenne de la Terre vient de battre un nouveau record.
Le phénomène El Niño combiné aux canicules marines qui touchent plusieurs points du globe engendre un cocktail explosif pour les océans. Le précédent record de température de surface des eaux mondiales de 21,1 °C, vient d'être dépassé.
Mardi 4 juillet fut la journée la plus chaude jamais enregistrée au niveau mondial, battant le précédent record qui datait de... la veille.
L'Organisation météorologique mondiale alerte : il est fort probable que la température moyenne de la Terre dépasse la limite de 1,5 °C.
Les climatologues ont peur de ce qu’ils ont découvert ces derniers jours. La température des océans a atteint un nouveau record. Les côtes de l’Amérique du Nord sont baignées d’une eau inhabituellement chaude, 13.8 degrés Celsius plus que la moyenne. Les températures élevées du Pacifique équatorial Est annoncent une année El Niño, mais d’autres océans subissent aussi [...]
La France n’a pas connu la pluie depuis le 21 janvier : un épisode à la longévité-record, qui amenuise les ressources en eau et laisse craindre une nouvelle année de sécheresse. Simon Mittelberger, climatologue chez Météo-France, fait le point sur la situation.

2022

Les températures en Europe ont subi une élévation considérable au cours de la période 1991-2021, avec un réchauffement d'environ +0,5 °C par décennie, révèle un rapport élaboré par l'Organisation météorologique mondiale (OMM) des Nations unies et le service européen sur le changement climatique Copernicus.
Souffler le chaud et le froid. C’est vrai qu’il fait frais. Une fluctuation très banale qui n’a rien d’historique et surtout pas de quoi y voir un signe que le changement climatique est annulé, comme le jurent encore les derniers climatosceptiques. Depuis le début du 20ème siècle, le nombre de jours où la température est supérieure à la moyenne augmente constamment, pendant que le nombre de jours où la température est inférieure à la moyenne diminue. « Chaque année depuis 40 ans, on gagne 1 à 2 jours de chaleur inhabituelle, et on perd en plus 1 à 2 jours de fraîcheur en France (par rapport à la moyenne 1981-2010) », explique le data scientist Guillaume Rozier, connu pour son suivi des chiffres du Covid, et auteur de cette infographie.
La température maximale moyenne en août 2022 sera la plus élevée jamais enregistrée à Uccle depuis le début des observations en 1892.
Les températures moyennes d’avril 2022 à la surface de la planète sont d’accord avec le dernier rapport du GIEC. Bon, ok, c’est un peu trop anthropomorphiste comme vision des choses naturelles. Alors disons que ces températures, qui n’ont pas d’idées ni d’intentions et ne lisent pas les rapports du GIEC, correspondent tout à fait avec ce que les experts y écrivent.
L'accord de Paris vise à contenir l'augmentation de la température moyenne mondiale nettement en dessous de 2 degrés Celsius par rapport aux niveaux préindustriels, et si possible à 1,5 degré.
Il y a une chance sur deux pour que la température mondiale annuelle moyenne dépasse temporairement 1,5 °C [1] au cours des cinq prochaines années. Telle est la conclusion du nouveau bulletin sur le climat publié le 9 mai par l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
Il y a une chance sur deux pour que la température mondiale annuelle moyenne soit temporairement supérieure de 1,5°C aux valeurs préindustrielles pendant l'une des cinq prochaines années au moins, a indiqué l'ONU mardi. Un franchissement temporaire de ce seuil sur une année n'est toutefois pas synonyme d'un dépassement durable de ce seuil, au sens où l'entend l'Accord de Paris sur le climat. Cet accord vise à contenir l'augmentation de la température moyenne mondiale nettement en dessous de 2 degrés Celsius par rapport aux niveaux préindustriels et si possible à 1,5 degré.
En fin de semaine dernière, les températures ont battu tous les records de chaleur aussi bien en Antarctique qu'en Arctique. Non loin du pôle Sud, elles étaient jusqu’à 40 °C supérieures aux moyennes saisonnières. Des hausses liées aux caprices des “rivières atmosphériques”.
Le monde marche "les yeux fermés vers la catastrophe climatique", a alerté lundi le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, déplorant qu'en dépit de "l'aggravation" de la situation, les grandes économies continuent de laisser leurs émissions de gaz à effet de serre augmenter. L'objectif de limitation de la hausse des températures à +1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle, objectif le plus ambitieux de l'accord de Paris, est en "soins critiques", a-t-il déclaré lors d'une conférence sur le développement durable organisée par The Economist à Londres. Selon l'ONU, il faudrait réduire de 45% les émissions d'ici 2030 pour espérer limiter la hausse des températures à +1,5°C. Mais les émissions sont toujours en hausse et la planète a gagné en moyenne environ +1,1°C depuis l'ère pré-industrielle, multipliant canicules, sécheresses, tempêtes ou inondations catastrophiques.
La calotte glaciaire orientale de l’Antarctique, l’un des endroits les plus froids sur Terre, a connu ces derniers jours un épisode de chaleur sans précédent. Le thermomètre affichait des températures de 40°C au-dessus de la moyenne.
La Grande Barrière de Corail est à nouveau touchée par un blanchissement "généralisé", ont annoncé vendredi les autorités, des températures océaniques supérieures à la moyenne au large du nord-est de l'Australie menaçant ce site du patrimoine mondial déjà en difficulté.
La Californie a connu plusieurs jours de forte chaleur, en plein mois de février. Au-delà de cet épisode de canicule, la température moyenne en février ne cesse d’augmenter avec le changement climatique.
La planète a connu une température moyenne supérieure de 1,1 à 1,2°C à celle de l’ère préindustrielle. Si 2020 et 2016 n’ont pas été détrônées de leur première place ex aequo, l’année écoulée vient confirmer le réchauffement continu de la Terre.

2021

Le Groenland a enregistré ces derniers jours des températures 20 voire 30 degrés au-delà des moyennes saisonnières, avec des températures positives à de nombreux endroits de l'immense territoire arctique, a indiqué mercredi l'institut météorologique danois, DMI.
Après un été bouillant, voilà que l’hiver aussi se réchauffe au cercle polaire. Si les records de chaleur ne sont pas battus, le dérèglement climatique continue de faire grimper le mercure en flèche.
La Nina est de retour et durera jusqu'au début 2022, selon l'Organisation météorologique mondiale (OMM), mais l'effet de refroidissement de ce phénomène météorologique n'empêchera pas les températures d'être au-dessus de la moyenne sur une bonne partie de la planète.
Plusieurs études ont montré cet automne que ces engagements étaient insuffisants. En particulier, l’analyse du secrétariat de l’Accord de Paris(1) a montré qu’ils conduisaient à 2,7 °C d’augmentation moyenne des températures d’ici la fin du siècle. C’est mieux que les 3 ou 3,5° qu’annonçaient les contributions initiales des États en 2015, mais c’est bien loin des objectifs posés dans l’Accord de Paris !
En Belgique, grâce aux relevés effectués à Uccle, la station de référence de l’IRM, on peut suivre l’évolution de la température sur une longue période. Le graphique ci-dessous reprend la courbe de tendance et montre clairement la croissance de la température moyenne annuelle. Et depuis 1954, cette croissance connaît une nette accélération.
En 2015, les pays signataires de l’accord de Paris se sont engagés à contenir “l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels et en poursuivant l’action menée pour limiter l’élévation de la température à 1,5 °C” au cours de ce siècle.
Loin d’être épargnée par le réchauffement climatique, l’Europe devrait voir ses températures moyennes augmenter plus vite que la moyenne mondiale, indique le rapport du groupe d’experts international sur l’évolution du climat (GIEC) paru le 9 août, qui détaille les évolutions par région.
Déjà, la température moyenne annuelle de cette région parmi les plus froides sur Terre a grimpé de 3°C, quand la planète dans son ensemble à vu sa température augmenter de 1°C depuis le début du XXe siècle. L’été 2021 a vu plusieurs journées records à 39°C.



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