Les Soulèvements de la Terre

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Multiplication des guerres, réchauffement climatique, essor des régimes autoritaires : le monde court au désastre, mais il nous faut résister à la haine, estime, dans une tribune au « Monde », le sociologue et philosophe.
La suspension du conglomérat Evergrande à la bourse de Hongkong ce jeudi marque un pas de plus dans la crise économique que traverse le pays, signe de l’incapacité du régime à relancer la croissance et inspirer confiance à la population.
Un terme a aujourd’hui une certaine vogue, celui de «polycrise» utilisé, entre autres, par l’historien économique américain Adam Tooze pour caractériser la situation actuelle où plusieurs crises, actuelles ou potentielles, interagissent. «Une polycrise n’est pas seulement une situation où l’on est confronté à des crises multiples. Il s’agit d’une situation […] où le tout est encore plus dangereux que la somme des parties.»[1]
Il est désormais clair que si nous ne transformons pas nos économies, elles seront les victimes d’événements climatiques extrêmes. Les règles européennes gouvernant la coordination des politiques économiques nationales doivent donc être adaptées à cette nouvelle donne, souligne Isabelle Brachet dans une tribune sur EURACTIV.
Entrevue avec l’écologiste Hugo Séguin.
Les Nations Unies (ONU) ont récemment lancé une campagne autour d'une légumineuse qui pourrait en théorie régler bien des problèmes.
L’économiste Nouriel Roubini, qui avait prédit la crise des subprimes en 2006, publie aujourd’hui «Mégamenaces». Catastrophes naturelles, menaces climatiques, crise économique, endettement... Il nous a accordé une interview exclusive sur sa vision du monde en 2022.
Depuis plusieurs semaines, le pays, ravagé par la guerre et la crise économique, est confronté à de graves pénuries de carburant qui affectent l’alimentation en électricité et les moyens de se chauffer. Et ce alors que la saison hivernale a commencé.
Face à l’état catastrophique de la planète, la jeunesse devrait se tourner vers l’écologie politique. Elle ne le fait pas, car ce courant n’assume pas clairement la rupture avec le dogme de la croissance, regrette, dans une tribune au « Monde », la députée Génération écologie des Deux-Sèvres Delphine Batho.
La crise économique et l’inflation déclenchent la vague d’émigration la plus importante jamais enregistrée en Argentine. Dans les bars à vin des quartiers aisés de Buenos Aires, les fêtes d’adieu sont désormais plus fréquentes que les fêtes d’anniversaire, rapporte le “Financial Times”.
La crise énergétique plombe la première économie de la zone euro. Une récession de 0,4% est attendue en 2023.
L’effondrement socio-économique en cours au Liban a mis sur la paille des pans entiers de la population et fragilisé encore plus les segments défavorisés du pays. En l’absence d’un système de protection sociale et d’accès au logement, certains se retrouvent à la rue, raconte le site “Raseef22”.
n Équateur, la mobilisation indigène contre le gouvernement est entrée ce vendredi 24 juin dans son douzième jour. La veille, signe d’un durcissement des manifestations qui ont fait un total de six morts dans le pays, les manifestants ont tenté de prendre d’assaut le Parlement pour protester contre l’augmentation du coût de la vie.
Le Sri Lanka, frappé par la pire crise économique de son histoire, a pris livraison samedi de pétrole brut russe pour relancer son unique raffinerie, a déclaré le ministre de l'énergie.
Depuis lundi, les violences accompagnant les manifestations antigouvernementales ont fait neuf morts et plus de 225 blessés, selon la police, dans cette île de 22 millions d'habitants engluée dans la pire crise économique de son histoire.
Avant même la guerre en Ukraine, l'insécurité alimentaire aiguë a frappé près de 40 millions de personnes supplémentaires en 2021, pour atteindre près de 200 millions, en raison des conflits et des crises climatiques et économiques, prévient l'ONU mercredi dans son rapport sur les crises alimentaires.
Le Sri Lanka, en défaut de paiement, a annoncé vendredi imposer des restrictions sur le carburant, au moment où son président est confronté à une vive contestation populaire dûe à la pire crise économique de l'histoire de l'île. L'entreprise publique Ceylon Petroleum Corporation (CPC), qui représente les deux tiers du marché de détail du carburant au Sri Lanka, a annoncé qu'elle allait limiter les quantités que les automobilistes peuvent acheter et interdire aux particuliers le remplissage de bidons à des fins de stockage.
Les forces de sécurité ont été déployées dans toute la capitale sri-lankaise vendredi, après que des manifestants, en colère contre la pire crise économique que connaît le pays depuis son indépendance, ont tenté de prendre d'assaut la résidence du président.
Le ciel et la mer au large de la côte sri-lankaise sont sans nuage, mais l'aggravation de la crise économique retient les bateaux de pêche au port de Negombo, sans essence pour sortir en mer. Les fonds marins généreux regorgent des crevettes et maquereaux qui composent traditionnellement les currys, la base de la nourriture quotidienne au Sri Lanka. Mais avec la crise, il n'y a plus assez d'essence pour aller pêcher. Un phénomène qui se répercute directement sur les besoins alimentaires du pays.
Bruxelles annonce la création d’un pôle d’achats pour regrouper ses commandes gazières. Au Qatar, la visite du ministre allemand de l'Economie et de la Protection du climat, le vert allemand, (ça ne s’invente pas) Robert Habeck a grillé la politesse à tout le monde pour aller se servir en premier. Le voyage a crispé et c’est peu dire. Pour éviter, ce type de comportement prédateur, Bruxelles a dû réagir. Cependant, la crise énergétique dans laquelle se trouve l’Europe est en grande partie son œuvre. Rien n’a été fait dans la demi-mesure. En effet, dans un dogmatisme libéral économique des années 90 poussée à l’extrême, la Commission a forcé les grands acteurs de l’énergie européens à supprimer les achats à long terme de gaz et de pétrole pour se rabattre sur le court terme.


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