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2024

Un cas de poliomyélite a été confirmé vendredi 16 août chez un bébé dans le centre de l’enclave palestinienne, où la guerre empêche la vaccination et a causé la dégradation catastrophique des conditions d’hygiène.
En seulement dix mois, le terrible bilan humain du conflit en fait déjà l’un des plus sanglants du siècle. Et l’ampleur des dégâts dans l’enclave palestinienne pourrait le rendre bien plus lourd.
Le sabotage du gazoduc russe Nord Stream en 2022 en mer Baltique a été validé au plus haut niveau à Kiev, affirme jeudi le Wall Street Journal, y compris au départ par le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Près de 400 combattants du Hezbollah ont été tués en marge de la guerre à Gaza, des pertes supérieures à celles du conflit de 2006.
La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont affirmé lundi « qu’il ne peut plus y avoir aucun délai supplémentaire » pour négocier un cessez-le-feu dans le territoire assiégé.
Les autorités du Hamas parlent d’une centaine de morts après une attaque samedi matin contre une école. Israël affirme qu’elle abritait un centre de commandement du mouvement armé palestinien.
Neuf employés de l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) "pourraient avoir été impliqués" dans les attaques du Hamas du 7 octobre en Israël, selon l'enquête interne des Nations unies qui portait sur 19 personnes accusées par Israël.
Voici une réaction à l'opinion "La victoire posthume d'Hitler" parue récemment dans "La Libre". Au regard du droit international, les accusations de génocide à Gaza ne sauraient être considérées comme absurdes ou infamantes à l'égard d'Israël. Elles sont au contraire alarmantes et méritent d'être prises au sérieux et examinées avec soin.
L’armée israélienne a annoncé ce jeudi 1er août la mort du commandant des brigades Al-Qassam. Il avait été visé par une frappe dans le sud de la bande de Gaza il y a deux semaines.
Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, alerte dans une tribune au « Monde » sur les risques d’épidémie à Gaza. Un cessez-le-feu et la circulation fluide de l’aide sont les seuls moyens concrets de protéger les populations.
Plus d'une centaine de milliers de Palestiniens ont de nouveau fui les bombardements à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, sans nulle part où aller, selon l'Onu. Des tirs d'artillerie et des frappes aériennes meurtrières ont visé la bande de Gaza, où l'armée israélienne a récupéré les corps de cinq Israéliens tués durant l'attaque du Hamas le 7 octobre et emmenés dans le territoire palestinien.
Cette frappe sur l’école, située dans la région de Deir Al-Balah, a également fait « plus de 100 blessés ». Selon le ministère, plus de 39 000 personnes ont été tuées à Gaza depuis le 7 octobre 2023.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS)a déclaré mardi être "très inquiète" face à de possibles épidémies dans la bande de Gaza, en particulier après avoir isolé dans des échantillons d'eaux usées le poliovirus de type 2 dérivé d'une souche vaccinale.
Des frappes israéliennes sur le camp de Nousseirat dans le centre de la bande de Gaza et dans Gaza-ville ont fait au moins 24 morts samedi, selon les responsables des services de santé. Parmi les victimes figure un journaliste et sa famille, portant à 161 le nombre de journalistes palestiniens tués par des tirs israéliens depuis le 7 octobre.
Plusieurs frappes meurtrières ont frappé Gaza mercredi, alors que le Premier ministre israélien a annoncé son intention "d'augmenter la pression" militaire sur le Hamas. Les États-Unis ont par ailleurs annoncé mercredi la fin de la mission de leur jetée flottante à Gaza.
Entre le 6 et le 9 juillet, l’armée israélienne a pris pour cible quatre écoles dans la bande de Gaza. Les bombardements de ces infrastructures civiles, qui servaient de camps de réfugiés, ont provoqué plusieurs dizaines de morts et de blessés. Bien que l'armée israélienne affirme avoir pris des mesures pour limiter les pertes civiles, des experts en munitions affirment que tout explosif largué sur ces zones densément peuplées risque de provoquer des pertes civiles importantes.
L'ONG Oxfam accuse Israël, dans un rapport publié jeudi, d'utiliser l'eau comme "arme de guerre" à Gaza alors que la quantité d'eau disponible dans l'enclave palestinienne a chuté de 94%, selon l'ONG.
L'Ukraine a annoncé jeudi avoir livré une première cargaison de 1.000 tonnes de farine de blé destinée à la population palestinienne, prise "au milieu du conflit entre Israël et le Hamas" à Gaza.
Le Parlement israélien a adopté dans la nuit de mercredi à jeudi une résolution s'opposant à "la création d'un État palestinien", à quelques jours d'une visite du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Washington. La France a exprimé "sa consternation", soulignant que cette décision était "en contradiction avec les résolutions adoptées au Conseil de sécurité des Nations unies".
La présence du virus responsable de la polio a été détectée dans plusieurs échantillons d'eaux usées de la bande de Gaza, a annoncé jeudi le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, dénonçant une "catastrophe sanitaire".
Alors que les combats entre l'armée israélienne et le Hamas sont poursuivies mardi dans plusieurs secteurs de la bande de Gaza, la Défense civile, organisme dépendant du Hamas, a annoncé mardi la mort de 57 personnes dans plusieurs frappes israéliennes.
L’accumulation des déchets, la stagnation d’eaux usées ou la prolifération d’insectes rendent la situation sanitaire intenable dans l’enclave palestinienne, où beaucoup craignent l’apparition d’épidémies.
Alors que cette semaine l’armée israélienne a lancé une nouvelle opération d’envergure sur la ville de Gaza, dix experts indépendants des Nations unies ont accusé Israël de « mener une campagne de famine ciblée à Gaza ». Francesca Albanese, rapporteuse spéciale de l'ONU sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens, est l’une des autrices de ce compte rendu. Elle a répondu aux questions de RFI.
Au dixième mois de guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, les ONG tirent une fois de plus la sonnette d’alarme. Les Palestiniens, déplacés à plusieurs reprises dans l’enclave sur ordre de l’armée israélienne, s’entassent dans des zones surpeuplées où l’aide humanitaire n’entre plus.
Le titre pourrait paraître incongru, mais il ne l'est pas au regard de la haine et des mensonges déversés sur Israël. Pas un jour sans un graffiti, une déclaration, un post accusant Israël de génocide contre le peuple palestinien. L'accusation de génocide est d'autant plus grave qu'elle est à la fois absurde aux termes de la réalité du concept et des faits, et qu'elle vise surtout à stigmatiser, de la manière la plus infamante qui soit, les fils et filles de la Shoah, le génocide emblématique du XXe siècle. Près de sept millions de vies juives arrachées de Varsovie (98 % des 450.000 habitants) à Anvers (65 %) pour la simple raison d'être nées sous une mauvaise étoile.
Les experts des droits de l'homme de l'ONU ont accusé mardi Israël de mener une "campagne de famine ciblée" qui a entraîné la mort d'enfants à Gaza. "Nous déclarons que la campagne de famine intentionnelle et ciblée d'Israël contre le peuple palestinien est une forme de violence génocidaire et a entraîné une famine dans toute la bande de Gaza", ont déclaré dix experts indépendants des Nations Unies dans un communiqué, évoquant trois enfants morts récemment "de malnutrition et de manque d'accès à des soins de santé adéquats".
L'Autriche a annoncé mardi la mise en place d'une commission pour se sevrer du gaz russe, qui représente toujours 90% de ses importations plus de deux ans après le début de l'invasion de l'Ukraine.Cette instance sera "chargée d'examiner le contrat de livraison entre Gazprom et le groupe autrichien OMV", prolongé il y a six ans jusqu'en 2040, et d'analyser "les possibilités et les risques" en cas de rétractation, a déclaré à la presse la ministre écologiste de l'Environnement Leonore Gewessler.
Les Israéliens se concentrent désormais sur la destruction des infrastructures du Hamas.
Israël continue de bombarder la bande de Gaza mardi, émettant des ordres d'évacuations qui ont contraint des centaines d'habitants à fuir à nouveau plusieurs secteurs du sud du territoire palestinien, déjà dévasté par près de neuf mois de guerre. L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) estime "qu'environ 250 000 personnes ont été touchées par ces ordres".
Une enquête publiée ce mardi 25 juin par le consortium «Forbidden Stories» révèle que plus de cent journalistes, essentiellement palestiniens, ont été tués. Tsahal a affirmé «ne pas blesser intentionnellement des journalistes».
La Russie a intensifié ses attaques à l'aide de gaz lacrymogène détourné de son utilisation première, a affirmé lundi l'armée ukrainienne, qui a recensé 715 attaques de ce type pour le seul mois de mai.
Huit mois de guerre ont détruit plus de 55 % des structures à Gaza, selon le dernier rapport du centre satellitaire de l'ONU. Les principales villes de l’enclave ont été dévastées par les bombardements israéliens, les rendant presque totalement inhabitables. Pour de nombreux chercheurs, la situation actuelle s'apparente à un urbicide, littéralement, le meurtre des villes.
Depuis son installation en mai, la jetée temporaire installée par les États-Unis sur la côte de la bande de Gaza pour faciliter l'acheminement d'aide humanitaire enchaîne les difficultés. Déplacée la semaine dernière vers un port israélien en raison de mauvaises conditions météo, elle est de nouveau opérationnelle et les livraisons d'aide ont repris dans la nuit de mercredi à jeudi.
Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme a publié, mercredi, une évaluation de six opérations menées l'année dernière par l'armée israélienne à Gaza qui soulève "de sérieuses inquiétudes au regard du droit de la guerre, aux principes de distinction, de proportionnalité et de précaution".
L’armée israélienne a annoncé dimanche 16 juin l’instauration d’une pause humanitaire de onze heures chaque jour pour permettre l’acheminement d’aide dans le sud de la bande de Gaza. Aucun membre du gouvernement n’en avait, semble-t-il, été informé.
Les accusations d’antisémitisme proférées par les autorités israéliennes font mouche dans la population, prise dans les méandres de la politique israélienne sur fond de bruits de canons.
Le «Wall Street Journal» a eu accès à la correspondance entre le chef du Hamas à Gaza et ses divers représentants à l’extérieur de l’enclave, dans le cadre des discussions pour arracher une trêve.
“The Wall Street Journal” a eu accès aux messages de Yahya Sinwar envoyés aux membres du Hamas participant aux négociations autour d’une trêve avec Israël. Abondamment repris dans la presse israélienne, ils révèlent le “froid mépris pour la vie humaine” du cerveau des massacres du 7 octobre.
Benny Gantz, membre du cabinet de guerre israélien dirigé par Benjamin Netanyahu, a quitté le gouvernement dimanche. Il était en désaccord avec le Premier ministre sur la conduite de la guerre à Gaza. Sa démission intervient après la libération de quatre otages lors d'un raid dans la bande de Gaza.
Samedi 8 juin, Tsahal a libéré 4 otages israéliens grâce à une opération spéciale dans le camp de Nuseirat, situé au centre de la bande de Gaza. Selon les chiffres fournis par le Hamas, ce raid aurait néanmoins causé la mort d’au moins 274 Palestiniens, ce qui a provoqué de fortes réactions au sein de la communauté internationale.
L'ambassadeur israélien aux Nations unies a annoncé vendredi avoir été notifié de l'ajout de l'armée israélienne à la "liste de la honte" de l'ONU, qui doit être publiée le 18 juin et recense les responsables de violations des droits des enfants dans des zones de conflit. Le Hamas aurait également été inclus, rapporte une source diplomatique.
Le président colombien Gustavo Petro a annoncé samedi la prochaine suspension des exportations de charbon de son pays vers Israël tant que la guerre dans la bande de Gaza se poursuivra."Nous suspendrons les exportations de charbon à Israël jusqu'à ce qu'il arrête le génocide", a écrit sur le réseau social X ce dirigeant de gauche.
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a appelé jeudi à la cessation des hostilités le long de la ligne de démarcation fixée par les Nations unies entre Israël et le Liban, s’inquiétant d’un risque de "conflit plus large aux conséquences dévastatrices pour la région".
Le bombardement par Tsahal d’un établissement scolaire géré par l’UNRWA à Nuseirat, soupçonné d’abriter une base du Hamas, a tué au moins 40 personnes. L’armée israélienne concentre ses forces sur le centre de l’enclave palestinienne, où sont massés des dizaines de milliers de déplacés fuyant les combats.
Alors que les médiateurs accentuent la pression pour qu'Israël et le Hamas acceptent un plan de Cessez-le-feu à Gaza, le ministre israélien de la Défense a affirmé que le mouvement islamiste palestinien ne pourrait gouverner Gaza et que l'État hébreu était en train de "préparer une alternative de gouvernement".
Plus de 20 experts indépendants de l’ONU demandent aux Etats qui ne l’ont pas encore fait, dont la Suisse, de reconnaître l’Etat de Palestine. Lundi à Genève, ils ont également appelé les gouvernements à utiliser toutes leurs ressources politiques pour aboutir à un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Environ 55% des bâtiments de la bande de Gaza, pour la plupart des logements, ont été endommagés ou détruits dans la...
La Défense civile de la bande de Gaza a annoncé mardi la mort de 21 personnes dans une frappe israélienne sur un camp de déplacés dans le sud du territoire palestinien, deux jours après un bombardement similaire à Rafah. La Maison-Blanche continue de juger qu’Israël n’a pas lancé contre cette ville du sud de la bande de Gaza une offensive “majeure”, susceptible de remettre en cause le soutien américain.
L'armée israélienne a annoncé mercredi avoir pris le contrôle d'une zone tampon entre la bande de Gaza et l'Égypte et a intensifié ses bombardements sur la ville frontalière de Rafah, devenue l'épicentre de la guerre contre le Hamas. Elle a également affirmé avoir découvert une vingtaine de tunnels dans le secteur frontalier.
L’Autorité palestinienne a accusé Israël d’avoir perpétré « un massacre » dimanche, en frappant un centre pour personnes déplacées à Rafah. L’attaque, qui a fait au moins 35 morts selon les autorités de Gaza, a été confirmée par l’armée israélienne, qui assure avoir visé « un quartier général du Hamas ».
En bombardant un camp de déplacés dans la grande ville du sud de Gaza, faisant plusieurs dizaines de morts, l’État hébreu répond avec horreur à la Cour internationale de justice, qui lui a ordonné de suspendre ses opérations militaires, estime le journal palestinien “Al-Quds”.
Après une frappe israélienne à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, qui a coûté la vie à 45 personnes, selon le ministère de la Santé à Gaza, l'État hébreu fait face à une vague de condamnations internationales.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a condamné lundi une frappe israélienne à Rafah qui a fait des dizaines de morts, soulignant que "ces horreurs doivent cesser".
La branche armée du Hamas palestinien a dit dimanche avoir visé Tel-Aviv avec un "important barrage de roquettes" dans un message publié sur le réseau social Telegram.
Le Premier ministre israélien s'est dit dimanche "fermement opposé" à la fin de la guerre à Gaza, au moment où s'intensifient les efforts diplomatiques en vue d'une reprise des négociations pour parvenir à une trêve dans le territoire palestinien.
La Cour internationale de justice a ordonné vendredi 24 mai à Israël d’arrêter son offensive militaire à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
Le ministère des Affaires étrangères du gouvernement espagnol du socialiste Pedro Sánchez a averti samedi Israël que les ordonnances émises par la Cour internationale de justice (CIJ) sont "contraignantes" et a exigé leur respect.
Suite à une saisine de la part de l’Afrique du Sud, la Cour internationale de justice (CIJ) a sommé, ce 24 mai, l’État hébreu de mettre fin à ses opérations militaires à Rafah, ville de la bande de Gaza. En cas de non-respect de cette décision, Israël risque des sanctions.
La plus haute juridiction de l’ONU appelle également ce vendredi 24 mai l’Etat hébreu à laisser entre l’aide humanitaire par le point de contrôle de Rafah.
L’installation de la jetée temporaire américaine sur la côte de Gaza a permis le débarquement en une semaine de 97...
Pollution des sols, sources d’eau contaminées, champs dévastés. En plus du lourd bilan humain, le préjudice écologique subi par les habitants de Gaza est immense. Des observateurs soulignent la nécessité de criminaliser la destruction de l’environnement à des fins militaires.
Un nouveau convoi de camions transportant de l’aide humanitaire pour #Gaza a été bloqué par des colons qui ont détruit les colis, le 13 mai, au point de passage de #Tarqumia, en Cisjordanie. Deux activistes israéliennes pour la paix ont tenté de s’interposer. Elles les ont confrontés, prenant des soldats de l’armée israélienne à témoin, et ont tout filmé.
Lundi 20 mai, Kharim Khan, le procureur de la Cour pénale internationale, a demandé que soient émis des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien, son ministre de la Défense, le chef du Hamas à Gaza et deux autres responsables du mouvement palestinien. Un coup dur pour les dirigeants de l’État hébreu qui redoutaient cette décision et qui avaient tenté de s’y opposer, commente la presse internationale.
Un groupe de militants pacifistes israéliens ont tenté de protéger dimanche un convoi humanitaire à destination de la bande de Gaza, pour empêcher qu'il soit attaqué par des activistes israéliens comme d'autres ces derniers jours, a constaté une correspondante de l'AFP.
La construction de cette jetée flottante avait été annoncée en mars dernier. Le 17 mai au matin, les premiers colis d’aide humanitaire à destination des Gazaouis ont commencé à être débarqués pour pouvoir être distribués.
Après des jours de blocage de l'aide humanitaire dans le territoire palestinien menacé de famine, les premiers chargements ont commencé à être débarqué vendredi par la jetée provisoire américaine arrimée la veille sur la côte de la bande de Gaza.
Les Etats-Unis se sont dits lundi "préoccupés" et ont appelé leur allié israélien à enquêter après un reportage de CNN sur les conditions dégradantes auxquelles seraient soumis certains prisonniers palestiniens en Israël. A partir d’informations fournies par des lanceurs d’alerte, la chaîne d’information a diffusé un reportage choc vendredi dernier, au sujet de la base militaire israélienne de Sde Teiman, située dans le désert du Néguev, dans le sud d’Israël.
Le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient a annoncé avoir arrimé jeudi une jetée provisoire sur la côte de Gaza, devant permettre d'y acheminer plus d'aide humanitaire. À terme, les États-Unis espèrent l'arrivée de l'équivalent de "150 camions par jour" dans le territoire palestinien, soumis à d'intenses bombardements israéliens, et dont les principaux points d'entrée sont bloqués depuis plus d'une semaine.
De violents combats ont eu lieu lundi entre les soldats israéliens et le Hamas à Rafah et à Jabaliya, dans le sud et dans le nord de la bande de Gaza. Des Palestiniens ont continué de fuir des secteurs de Rafah, mais certains disent ne pouvoir partir faute de moyens.
Le Caire va s’associer à la plainte sud-africaine accusant Israël de génocide dans la bande de Gaza. Une décision prise après l’entrée de l’armée israélienne, le 6 mai, dans le “corridor de Philadelphie”, à la frontière entre l’Égypte et l’enclave palestinienne. Les accords de paix entre les deux pays seraient-ils menacés ?
Soixante-seize ans après la création de l’Etat d’Israël et face au désastre en cours dans la bande de Gaza, la reconnaissance d’un Etat palestinien pourrait contribuer à abréger la souffrance des Palestiniens et protéger l’Etat hébreu contre lui-même.
«The New York Times» s’est procuré sept dossiers des services de renseignement du mouvement islamiste entre 2016 et 2023. Via un réseau d’informateurs, le Hamas y compilait des renseignements sur des milliers de Palestiniens.
Une offensive terrestre israélienne sur Rafah conduirait à une "catastrophe humanitaire colossale", a prévenu vendredi le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, au moment où les opérations militaires contre le Hamas dans cette ville surpeuplée paralysent l'entrée de l'aide dans la bande de Gaza.
Tsahal a appelé ce lundi 6 mai les Gazaouis présents dans l’est de la ville à rejoindre des «zones humanitaires», assurant débuter une «opération d’ampleur limitée» dans la ville du sud de la bande de Gaza.
Les 88 parlementaires, auteurs d’une lettre adressée au président, précisent cependant que doivent être exclus de cette possible suspension de l’aide américaine les systèmes israéliens de défense antimissile, comme le Dôme de fer.
Le Hamas doit donner sa réponse à la contre-proposition de pause des combats amendée par Israël. Sous couvert d’anonymat, un membre du mouvement islamiste palestinien a affirmé qu’il n’y avait «aucun problème majeur» dans le texte.
Une proposition de cessez-le-feu dans la bande de Gaza a été présentée au Hamas, prévoyant une cessation des hostilités pendant 40 jours associée à la libération d’otages et de prisonniers, a déclaré lundi à Ryad le ministre britannique des Affaires étrangères, David Cameron.
Un port temporaire et une jetée en mer vont bientôt voir le jour sur la bande de Gaza, afin de faciliter la livraison de cargaisons au peuple palestinien.
L'ONU a réclamé mardi une enquête internationale sur les fosses communes découvertes dans les deux principaux hôpitaux de la bande de Gaza, soulignant la nécessité d'une enquête indépendante face au "climat d'impunité" actuel.
La défense civile à Gaza poursuit ses recherches de corps et de restes humains enterrés dans un charnier découvert dans la ville de l’enclave palestinienne, d’où les troupes israéliennes se sont retirées le 7 avril. Il s’agit de la deuxième grande fosse commune découverte en une semaine.
Les Etats-Unis pourraient imposer dans les jours à venir des sanctions au sulfureux bataillon Netzah Yehuda, accusé de violations des droits humains contre des civils palestiniens en Cisjordanie.
« Le Moyen-Orient est au bord du précipice. Les derniers jours ont vu une escalade dangereuse, par les mots et les actions », a déclaré jeudi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Il a dénoncé la situation des 2,4 millions de Palestiniens endurant « la mort, la destruction, le déni d’aide humanitaire vitale », et la faim.
Il reste encore 129 Israéliens entre les mains du Hamas, dont 34 sont morts selon Tel Aviv. L’organisation islamiste palestinienne dit avoir besoin de «temps et de sécurité» pour les retrouver, car ils se trouvent détenus par «différents gr
L’Union européenne a annoncé ce vendredi 12 avril avoir sanctionné les branches militaires du Hamas et du Jihad Islamique pour des pratiques «systématiques» lors de l’attaque terroriste du 7 octobre sur l’Etat hébreu.
Face aux destructions environnementales à Gaza et en Cisjordanie, le mouvement écologiste israélien est clivé. Alors que beaucoup soutiennent les efforts de guerre ou restent silencieux, certains luttent pour un futur partagé.
Ancien ministre au Liban, professeur en relations internationales, ex-émissaire de l’ONU et essayiste, Ghassan Salamé est un observateur avisé du Moyen-Orient qui côtoie les acteurs du conflit israélo-palestinien depuis des décennies. À l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, il a accordé un long entretien à France 24. Ce premier volet est consacré au conflit à Gaza et à ses conséquences à long terme pour la région.
Àla une de la presse ce vendredi matin, une nouvelle information sur la guerre à Gaza : Israël a utilisé l’intelligence artificielle pour localiser 37.000 cibles. Nom du système : Lavende. Difficile, selon le Washington Post, de trouver un sobriquet plus aérien que celui-là. À l’origine de l’information, six officiers des services de renseignements israéliens qui ont témoigné dans une enquête détaillée par deux médias israéliens.
À cause de la surpopulation et du très faible niveau d’hygiène, de plus en plus de cas d’infection au virus de l’hépatite A sont enregistrés dans le sud de la bande de Gaza, où sont entassés des centaines de milliers de déplacés. Et la situation risque de s’aggraver, raconte le site “Daraj”.
Le président américain Joe Biden a pressé jeudi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de "conclure sans délai un accord" pour un "cessez-le-feu immédiat" dans la bande de Gaza.
La communauté internationale demande des comptes aux autorités israéliennes, qui attribuent la mort des employés de World Central Kitchen à une “erreur d’identification”, alors que les premiers éléments de l’enquête semblent indiquer un raid délibéré.
L'armée israélienne a annoncé lundi que 600 de ses soldats ont été tués depuis le 7 octobre 2023, date du début de la guerre avec le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza.
La Cour internationale de justice (CIJ) a ordonné jeudi à Israël d'assurer "une aide humanitaire de toute urgence" à la bande de Gaza assiégée, où des combats opposent l'armée israélienne et le mouvement islamiste palestinien Hamas dans le secteur de plusieurs hôpitaux.
Après des semaines de négociations, la résolution, qui exige également la libération des otages, a été approuvée par 14 des 15 membres. En s’abstenant, les Etats-Unis ont permis l’adoption du texte.
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a salué lundi l’adoption par le Conseil de sécurité d’une résolution exigeant un cessez-le-feu "immédiat" à Gaza et la libération des otages, estimant que ne pas l’appliquer serait "impardonnable".
Le patron de l'ONU Antonio Guterres s'est rendu samedi aux portes de la bande de Gaza dévastée par la guerre et au bord de la famine, où il a appelé à un cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas pour mettre fin au "cauchemar".
Les Etats-Unis avaient déposé à l’ONU un projet appelant à un cessez-le-feu immédiat et durable, rappelant le risque de famine dans l’enclave palestinienne. Jusqu’ici, Washington, principal allié d’Israël, a mis son veto à plusieurs résolutions appelant à des cessez-le-feu.
L’armée israélienne mène depuis quatre jours une opération dans le complexe hospitalier Al-Chifa, dans la bande de Gaza, où elle a annoncé, jeudi, avoir déjà tué "plus de 140" combattants palestiniens.
Washington a confirmé lundi la mort du chef adjoint de la branche armée du groupe islamiste palestinien, Marwan Issa. C’est le responsable le plus haut placé tué sur ce territoire par l’armée israélienne depuis le début de la guerre.
Depuis plusieurs semaines, le risque de famine est évoqué dans la bande de Gaza, sans pour autant qu'elle ne soit décrétée. L'ONU a annoncé lundi que d'ici fin mai, en l'absence de mesures "urgentes", le nord de l'enclave basculerait au niveau le plus élevé d'insécurité alimentaire, tant en termes d'ampleur que de gravité. France 24 revient sur les critères stricts pour déclarer l'état de famine dans un territoire.
L’Organisation mondiale de la santé s’est, elle, dite « terriblement préoccupée » par les combats près de l’hôpital Al-Shifa. Le Hamas a dénoncé un « crime de guerre », affirmant que des milliers de personnes étaient réfugiées dans l’hôpital.
Le déchargement de 200 tonnes de vivres transportées par le navire Open Arms s’est achevé ce samedi 16 mars dans la bande de Gaza. C’est la première fois depuis le début de la guerre, que de l’aide humanitaire est acheminée par la mer.
Le mouvement islamiste avait critiqué la nomination de l’économiste Mohammad Mustafa au poste de premier ministre de l’Autorité palestinienne, susceptible d’« aggraver les divisions » entre Palestiniens.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a validé le plan d’invasion de Rafah. Son cabinet annonce vendredi que les préparatifs pour évacuer les civils peuvent débuter.
Un premier bateau chargé de vivres pour la population affamée par plus de cinq mois de guerre est arrivé vendredi au large de la bande de Gaza, au moment où les Palestiniens se rassemblaient sous tension pour la première grande prière depuis le début du ramadan.
Un premier bateau chargé de vivres est en route mercredi pour la bande de Gaza où la population est menacée par la famine, en plus des bombardements, après cinq mois de guerre entre Israël et le Hamas sans trêve à l'horizon.
Selon les chiffres du ministère de la santé de la bande de Gaza, administrée par le Hamas, plus de 12 300 enfants sont morts sur le territoire palestinien entre octobre et la fin du mois de février.
Israël doit faire de la protection des civils et de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza sa priorité "numéro un", a déclaré mercredi le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken. "Nous attendons du gouvernement israélien qu’il fasse de cette question une priorité. Protéger les civils, apporter aux gens l’aide dont ils ont besoin, voilà ce qui doit être la priorité numéro un, même s’ils font ce qui est nécessaire pour défendre le pays et faire face à la menace posée par le Hamas", a déclaré M. Blinken à la presse.
Une famine est "imminente" dans le nord de Gaza, prévient le PAM, le Programme alimentaire mondial. 2,2 millions de personnes, soit l’immense majorité de la population, sont menacées, selon l’ONU. Des personnes sont pourtant déjà mortes de faim. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a récemment déploré le décès de 10 enfants qui n’ont pas survécu, faute de nourriture, dans un hôpital gazaoui. Le ministère de la Santé de Gaza, contrôlé par le Hamas, décompte "27 personnes mortes de malnutrition et de déshydratation dans des hôpitaux du nord de Gaza". Pourquoi la famine n’est-elle, dès lors, qualifiée que "d’imminente"?
Le couloir maritime vers Gaza pourrait permettre d'assurer un approvisionnement en aide "durable, régulier et fiable", a déclaré mardi la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, alors qu'un premier navire a quitté Chypre vers l'enclave palestinienne. C'est la première fois depuis 2005 qu'un bateau est autorisé à approvisionner Gaza en aide, a souligné Mme von der Leyen, qualifiant la livraison de "soutien vital supplémentaire".
Le navire, qui s’apprête à quitter Chypre, appartient à l’organisation caritative espagnole Open Arms et transportera des denrées alimentaires fournies par l’organisation caritative américaine World Central Kitchen.
Bande de Gaza (Territoires palestiniens) (AFP) – L'Union européenne et les États-Unis ont annoncé, vendredi, l'ouverture prochaine d'un corridor maritime entre Chypre et Gaza pour acheminer l'aide humanitaire dans le territoire palestinien affamé et bombardé sans cesse par Israël, après cinq mois de guerre.
Une organisation caritative américaine a annoncé vendredi qu'elle chargeait de l'aide pour Gaza sur un bateau à Chypre. Il s'agirait de la première cargaison destinée à ce territoire dévasté par la guerre, via à un couloir maritime que la Commission européenne espère voir s'ouvrir ce weekend.
Engagée depuis des décennies pour protéger les civils des armes explosives, l’ONG Handicap International n'a de cesse de mettre en garde contre la contamination par les restes d’explosifs de guerre israéliens dans la bande de Gaza. Les conséquences sont très lourdes : pertes humaines, blessures complexes et invalidantes, traumatismes psychologiques, ou encore freins à l’acheminent de l’aide humanitaire et à la reconstruction...
Au moins 20 personnes sont mortes de malnutrition et de déshydratation à Gaza, a affirmé, mercredi, le Hamas. Depuis plusieurs mois, ONG et organisations internationales alertent sur les ravages de la malnutrition sur une population palestinienne privée d'accès aux soins. Jean-Raphaël Poitou, responsable Moyen-Orient à Action contre la Faim, s'inquiète d'une forte augmentation du nombre de décès si aucun accord de cessez-le-feu n'est rapidement trouvé entre Israël et le mouvement islamiste.
Ce port temporaire, qui prendrait la forme d’un ponton flottant, devrait permettre d’acheminer davantage d’aide humanitaire dans l’enclave, par voie maritime.
Selon le ministère de la santé du Hamas, 115 personnes ont été tuées, toutes par des tirs israéliens, dans le drame du 29 février, dont les circonstances restent encore loin d’être éclaircies.
Ce projet pour acheminer de l’aide humanitaire, annoncé par les Etats-Unis et l’UE, pourrait aboutir dès dimanche, selon la présidente de la Commission. Israël, qui assiège l’enclave et ne laisse entrer l’aide qu’au compte-gouttes depuis le 9 octobre, s’est « félicité » de ce projet.
Une trentaine d'artistes et universitaires belges ont lancé une pétition en ligne pour appeler au boycott d'Israël, alors que les bombardements et l'offensive terrestre menés par l'État hébreu ont fait plus de 30.000 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Le président américain doit annoncer dans son discours sur l’état de l’Union ce jeudi 7 mars que les Etats-Unis vont mettre en place un moyen de distribuer davantage d’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne guettée par la famine.
Ils sont une "toute petite minorité", leur voix est quasiment inaudible, et ils le savent. Mais quelques dizaines de jeunes activistes israéliens ont malgré tout organisé jeudi un très symbolique convoi d’aide alimentaire vers la bande de Gaza, vite refoulé par la police.
Depuis le début de l’offensive israélienne, les États-Unis ont procédé à plus de 100 livraisons d’armes à leurs alliés israéliens, malgré les inquiétudes croissantes sur les tactiques militaires employées à Gaza, souligne le “Washington Post”.
Cinq mois après le début de la riposte israélienne à Gaza en réponse aux massacres du Hamas, le 7 octobre 2023, l’étroite bande de terre palestinienne a été rendue en bonne partie inhabitable. Il est inutile d’invoquer la solution des deux Etats si ce territoire martyrisé reste un champ de ruines.
Tout comme le «oui mais» après le 7 octobre nous a meurtris, rien ne justifie une telle accumulation de morts civils, rien ne justifie de laisser la famine gagner la bande de Gaza,
Symbole d'unité nationale dans le conflit face au Hamas, le cabinet de guerre israélien est secoué par la rivalité politique entre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et le centriste Benny Gantz, en tête des intentions de vote.
Les rebelles yéménites ont attaqué le navire dans le golfe d’Aden ce mercredi 6 mars. Un responsable américain annonce deux morts et six blessés.
Critiquées régulièrement par Israël en raison de leur supposé silence sur le sujet, les Nations Unies documentent dans un rapport publié lundi 4 mars des violences sexuelles commises par le mouvement terroriste palestinien.
La vice-présidente américaine Kamala Harris a appelé dimanche à un "cessez-le-feu immédiat" pour "au moins six semaines" dans la bande de Gaza. "Etant donné l'ampleur des souffrances à Gaza, il doit y avoir un cessez-le-feu immédiat pour au moins les six prochaines semaines, ce qui est actuellement sur la table des négociations" entre Israël et le Hamas, a déclaré Mme Harris lors d'un discours commémorant une marche pour les droits civiques à Selma, dans l'Alabama.
Les tensions sont encore montées lundi entre Israël, qui a accusé l'UNRWA d'employer "plus de 450 terroristes" à Gaza, et l'agence onusienne qui a rapporté des "tortures" subies par ses employés arrêtés dans le territoire palestinien.
Le chef de l'UNRWA tire la sonnette d'alarme.
Des milliers de personnes sont à nouveau descendues dans les rues de nombreuses villes israéliennes samedi soir pour manifester contre le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu et pour exiger la libération des otages restant encore détenus par le groupe islamiste palestinien Hamas.
Après une annonce vendredi de Joe Biden, les Etats-Unis ont réalisé leurs premiers largages de nourriture par les airs. Mais ces ravitaillements aériens, risqués et plus coûteux que par la route, ne seraient «utiles qu’à la marge».
Un haut responsable américain a assuré samedi qu’Israël avait “plus ou moins” donné son accord pour une trêve dans la guerre à Gaza et que désormais “la balle était dans le camp du Hamas” pour qu’elle entre en vigueur.
Le ministère de la Santé du Hamas a annoncé jeudi que le nombre de morts dans la bande de Gaza était de "plus de 30.000" depuis le début du conflit avec Israël le 7 octobre. "Le nombre de martyrs (tués, ndlr) est de plus de 30.000", a indiqué le ministère dans un communiqué, en faisant état d’au moins 79 nouvelles morts dans des frappes israéliennes nocturnes.
Le ministère du territoire administré par le Hamas fait état d’au moins 104 morts et 760 blessés dans la ville de Gaza, accusant l’armée israélienne de « massacre ». Cette dernière dit que « des dizaines de Gazaouis ont été blessés par des bousculades et des piétinements ».
Des soldats de Tsahal ont tiré à balles réelles sur des Palestiniens qui se ruaient sur des camions d’aide humanitaire à Gaza. Des sources israéliennes, qui ont confirmé ces tirs, ont indiqué que les soldats se sont sentis «menacés».
L'Égypte, le Qatar, les États-Unis, la France et d'autres pays tentent de négocier depuis plusieurs semaines un nouveau cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Une délégation israélienne menée par le chef du Mossad, les services de renseignement extérieurs, était à Paris le week-end dernier pour des discussions sur un possible accord de trêve à Gaza, incluant la libération d'otages sur les 130 toujours entre les mains du Hamas.
Plusieurs responsables de l’ONU ont déploré ce mardi 27 février devant le Conseil de sécurité la propagation de la famine dans l’enclave palestinienne, assiégée et bombardée par Israël. Le nord du territoire est particulièrement menacé.
Des correspondants et présentateurs travaillant pour des médias britanniques et américains dénoncent l’interdiction qui leur est faite de se rendre dans l’enclave, où ne sont présents qu’une poignée de médias étrangers.
Dans l’enclave palestinienne menacée par la famine et pilonnée sans relâche, le bilan de la riposte israélienne ­à l’attaque terroriste du Hamas du 7 octobre a franchi la barre des 30 000 morts. En grande majorité des femmes et des enfants.
Greenpeace Belgique, Vredesactie et Bond Beter Leefmilieu appellent les villes et communes belges - principaux actionnaires de Fluxys - à s'opposer au transit par la Belgique de gaz naturel liquéfié (GNL) russe. Selon ces ONG environnementales, 72% des transbordements du GNL russe dans l'UE sont effectués à Zeebrugge, par l'opérateur gazier belge. Son commerce via la Belgique a rapporté à la Russie un milliard d'euros de taxes rien que l'année dernière, déplorent les trois organisations.
L'armée israélienne a présenté un plan d'"évacuation" des civils des "zones de combat" dans la bande de Gaza, ont annoncé lundi les services de Benjamin Netanyahu, toujours déterminé à lancer une offensive militaire contre la ville surpeuplée de Rafah.
La démission du Premier ministre Mohammed Shtayyeh doit permettre la constitution d’un gouvernement rassembleur à la tête de l’Autorité palestinienne, assure la presse internationale. Mais la tâche s’annonce ardue, en raison des mésententes palestiniennes.
Répondant à la publication du premier plan israélien pour l’après-guerre avec le Hamas, le chef de la diplomatie américain a réaffirmé son opposition à la réoccupation militaire de Gaza, et en a profité pour dénoncer les colonies en Cisjordanie.
Les guerres et tensions géopolitiques en cours correspondent à l’un des pires scénarios du Giec sur l’avenir du climat. Ce modèle a ses limites et n’a pas de valeur prédictive à long-terme, modèrent toutefois des scientifiques.
L’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a atteint un "point de rupture", a mis en garde jeudi son patron Philippe Lazzarini dans une lettre au président de l’Assemblée générale de l’ONU.
Christopher Lockyear, secretary general of Doctors Without Borders/Médecins Sans Frontières (MSF), called today on the United Nations Security Council (UNSC) to demand an immediate and sustained ceasefire in Gaza. Addressing the Council at its monthly meeting on Gaza, Lockyear also called for the unequivocal protection of medical facilities, staff, and patients. “Meeting after meeting, resolution after resolution, this body has failed to effectively address this conflict,” Lockyear said. “We have watched members of this Council deliberate and delay while civilians die. This death, destruction, and forced displacement are the result of military and political choices that blatantly disregard civilian lives. These choices could have been—and still can be—made very differently.” After more than four months of war, nearly 30,000 Palestinians have been killed in Gaza amid Israel’s constant bombing and attacks. Approximately 1.7 million people—nearly 75 percent of the population—are estimated to be forcibly displace
Ces violences ont été perpétrées par le Hamas « délibérément contre les civils israéliens », note document, fondé sur les récits de témoins.
L'ONG Médecins sans frontières (MSF) a dénoncé mercredi "avec la plus grande fermeté" une frappe israélienne contre une de ses résidences dans le sud de la bande de Gaza, fatale à deux membres de la famille d'un de ses employés.
« Nous avons besoin d’un cessez-le-feu maintenant ! Les otages doivent être libérés, les bombes doivent cesser de tomber et l’accès à l’aide humanitaire doit être libre. L’humanité doit prévaloir », a insisté Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Trois agences des Nations Unies, ont publié un rapport sur le risque croissant de décès d’enfants dans la bande de Gaza. Il dénonce une situation «sans précédent dans le monde».
De nouvelles frappes israéliennes ont visé mardi la bande de Gaza, où la situation humanitaire reste catastrophique notamment dans la ville de Rafah, menacée d'une offensive terrestre par Israël, au moment où une nouvelle impasse se profile au Conseil de sécurité de l'ONU quant à un possible cessez-le-feu.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies a annoncé suspendre de nouveau la distribution de l’aide dans le nord de la bande de Gaza
L'armée israélienne mène depuis jeudi une opération dans l'hôpital Nasser de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, où, selon des "renseignements crédibles", auraient été retenus des otages du Hamas. Elle a affirmé vendredi avoir arrêté 20 personnes en lien avec l'attaque du 7 octobre. Le ministère de la Santé du mouvement islamiste palestinien fait état, pour sa part, de plusieurs patients morts dans l'établissement hospitalier. Médecins sans frontières parle de son côté d'une "situation chaotique" sur place.
Des négociations se tiennent actuellement au Caire.
Alors qu'il est question d'une offensive de l'armée israélienne contre Rafah dans le sud de l'enclave palestinienne de Gaza, le gouvernement israélien a proposé d'évacuer la population vers des campements de tentes à la frontière avec l'Égypte, selon des informations de presse.
Le "corridor de Philadelphie" est une zone tampon entre la bande de Gaza et l’Égypte. Ce couloir de 100 mètres de large et de 14 km de long pourrait représenter la seule voie de passage pour des centaines de milliers de Palestiniens en cas d’offensive majeure de l’armée israélienne à Rafah. Benjamin Netanyahu affirme depuis des semaines vouloir prendre le contrôle de ce couloir, une menace qui inquiète les autorités égyptiennes. Décryptage.
Imane Maarifi, infirmière, et Raphaël Pitti, médecin anesthésiste-réanimateur, sont rentrés mardi 6 février d'une mission de deux semaines à l'hôpital européen de Khan Younès, ville du sud de la bande de Gaza. Pour France 24, ils racontent le quotidien de l'établissement transformé en camp de déplacés, surpeuplé, et où une règle s'impose : "Faire l'économie de tout". Un symbole de la catastrophe humanitaire en cours dans l'ensemble de l'enclave palestinienne.
L'armée et l'agence de la sécurité intérieure israéliennes ont affirmé samedi avoir découvert un tunnel du mouvement islamiste Hamas sous le quartier général de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) dans la ville de Gaza.
La perspective d’une trêve entre Israël et le Hamas s’éloigne. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a balayé mercredi d’un revers de la main les minces espoirs apparus ces derniers jours alors que les efforts diplomatiques semblaient tendre vers une désescalade. Décryptage.
Otage du Hamas, Agam Goldstein, jeune femme de 18 ans, a été libérée il y a deux mois et demi. Elle témoigne cette semaine dans Paris Match, avec d’autres, des abus sexuels subis par celles qui ont partagé le même sort et sont toujours à Gaza.
Les Pays-Bas ont pour la première fois largué des produits de secours dans l'enclave palestinienne de Gaza. La défense néerlandaise a mené l'opération avec la Jordanie, avec un avion C-130. Il s'agit avant tout de produits médicaux, qui ont été largués à proximité d'un hôpital de campagne opéré par la Jordanie à Gaza. L'opération a couté environ 1 million d'euros. La Défense néerlandaise a publié sur son site internet des images de la cargaison, avec des drapeaux néerlandais et jordaniens.
Une lettre ouverte signée par plus de 800 cadres américains et européens dénonce le soutien accordé par leurs gouvernements à Israël, dans le cadre du conflit avec le Hamas. La presse américaine y voit le signe de divisions de plus en plus marquées autour des relations avec l’État hébreu.
Dans l’enclave palestinienne, où les civils n’en finissent pas de payer les massacres commis par les terroristes du Hamas, Israël empêche tout accès aux médias, menant ainsi une guerre loin des regards.
La ministre des Affaires étrangères Hadja Lahbib et la ministre de la Coopération Caroline Gennez ont convoqué ce...
La suspension par plusieurs pays de leurs financements à l'Unrwa, l'agence des Nations Unies pour les réfugiés...
Alors que la catastrophe humanitaire se poursuit dans la bande de Gaza, plusieurs pays ont suspendu leur aide à l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens après les accusations d’Israël d’implication avec le Hamas.
Le 28 janvier, plusieurs ministres du gouvernement Nétanyahou ont participé à une conférence organisée par l’extrême droite prônant la réinstallation des Israéliens à Gaza et le départ “volontaire” des Palestiniens de la bande de Gaza. Les images de l’ambiance festive régnant dans la salle ont suscité l’émoi sur les réseaux sociaux.
La Cour internationale de justice a demandé vendredi à Israël de faire tout son possible pour protéger la population de Gaza des risques de génocide. L’instance onusienne n’a pas ordonné un cessez-le-feu, mais réclame le respect du droit international humanitaire. Une décision contraignante dont elle ne peut cependant pas contrôler l'application.
L’agence de l’ONU a annoncé le licenciement de plusieurs de ses employés, soupçonnés d’avoir pris part à l’attaque du 7 octobre, et l’ouverture d’une enquête. Les Etats-Unis, l’Australie, le Canada et l’Italie suspendent leurs financements.
Depuis près de quatre mois, l'armée israélienne et le Hamas s’affrontent dans la bande de Gaza. Des combats à la surface, mais également dans les tunnels de l’enclave, un véritable dédale souterrain qui ne cesse de révéler ses surprises.
Réunis à Bruxelles, les Vingt-Sept ont tenté de s’accorder sur un plan de paix visant la création d’un État palestinien, malgré l’hostilité affichée des Israéliens pour cette option.
Le Kremlin a accusé lundi l'Ukraine d'avoir frappé la veille le terminal gazier du port d'Oust-Louga, près de Saint-Pétersbourg, sur la rive russe de la mer Baltique, soit à quelque 900 km de la frontière ukrainienne."Le régime de Kiev continue de montrer son visage bestial en frappant des sites d'infrastructure civile", a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, interrogé sur un important incendie qui s'est déclaré dimanche dans le terminal gazier géré par l'entreprise Novatek.
Israël doit accepter une solution à deux Etats pour mettre fin à la guerre et garantir sa sécurité, ont souligné des ministres des Affaires étrangères de l'UE avant une réunion où ils doivent rencontrer séparément leurs homologues israélien et palestinien.
Le mouvement islamiste demande également « l’arrêt immédiat de l’agression israélienne de Gaza, des meurtres et du nettoyage ethnique commis contre l’ensemble de la population de Gaza ».
Les services médicaux ne sont pour l’instant pas en mesure de savoir d’où provient le champignon qui aurait tué un soldat.
S’exprimant à l’université de Valladolid, le responsable de la politique étrangère de l’Union européenne a déclaré que le mouvement islamiste palestinien, créé en 1987, avait été « financé par le gouvernement israélien pour tenter d’affaiblir l’Autorité palestinienne du Fatah ».
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a publiquement affirmé, jeudi, son opposition à l'existence d'une "souveraineté palestinienne". Mais les États-Unis, soutien majeur d’Israël dans opération contre le Hamas, ne cessent de présenter la création d'un État palestinien comme la condition d’une "véritable sécurité". Jusqu'où l'État hébreu peut-il faire fi des volontés de son allié historique ? Décryptage.
Passage en revue des actualités autour de la guerre au Proche-Orient ce samedi 20 janvier. Pour retrouver le résumé de la journée de vendredi, c’est ici. Une frappe attribuée à Israël élimine un chef des Gardiens de la révolution iraniens à Damas.
C’est une déclaration qui fait du bruit, vendredi soir, lors d’une conférence dans une université espagnole, Josep Borrel, le chef de la diplomatie européenne a accusé Israël d’avoir "créé" et "financé" le mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir à Gaza et à l’origine de l’attaque sans précédent du 7 octobre en sol israélien. "Le Hamas a été financé par le gouvernement israélien pour tenter d’affaiblir l’Autorité palestinienne du Fatah. Mais si nous n’intervenons pas fermement, la spirale de la haine et de la violence se poursuivra de génération en génération, de funérailles en funérailles", a-t-il déclaré. Mais est-ce la réalité ? Est-ce qu'historiquement, le Hamas a été soutenu par le gouvernement israélien? Nous avons posé la question à Michel Liégeois, professeur de Relations internationales à l’UCLouvain : "Le problème n’est pas tellement que ce que monsieur Borrell dit est inexact ou faux, mais c’est que ce n’est pas suffisamment contextualisé et détaillé", explique l’expert.
Des dizaines de Palestiniens ont été tués dans des frappes israéliennes jeudi dans la bande de Gaza, où l'armée a annoncé une progression de ses soldats dans la ville méridionale de Khan Younès et de violents combats contre le Hamas.
Le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, a averti mercredi qu’une "confrontation totale" entre Israël et le Liban serait un "désastre complet", sur fond de craintes d’un embrasement dans la région. S’adressant au Forum économique mondial dans la station alpine suisse de Davos, Antonio Guterres a réitéré son appel à un "cessez-le-feu humanitaire immédiat" à Gaza. Les combats ont ravagé Gaza depuis les attaques sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre. Depuis lors, la frontière libano-israélienne est le théâtre d’échanges de tirs quasi quotidiens entre l’armée israélienne et le mouvement chiite libanais Hezbollah, allié du Hamas. "Les retombées qui se produisent déjà, le risque d’une véritable confrontation au Liban, ce serait un désastre total. Nous devons l’éviter à tout prix", a déclaré António Guterres.
Trois mois après l’incursion terrestre de l’armée israélienne dans l’enclave palestinienne ayant fait des milliers de morts, l’Etat hébreu estime que la phase intensive des opérations «se terminera bientôt».
La guerre entre Israël et le Hamas est entrée dimanche dans son centième jour en dépit des appels internationaux à une trêve dans le conflit qui a plongé la bande de Gaza dans une crise humanitaire majeure.
Les ministres des Affaires étrangères égyptien et chinois ont plaidé dimanche ensemble au Caire pour un cessez-le-feu au 100e jour de la guerre à Gaza et pour la création d'un "État de Palestine" membre de plein droit de l'Onu.
Les tensions observées en mer Rouge, alors que les Etats-Unis, avec le soutien du Royaume-Uni, ont riposté aux attaques de rebelles houthistes agissant contre des navires commerciaux au nom de la solidarité avec la cause palestinienne, mettent en évidence une instabilité régionale.
Depuis le 7 octobre, Israël a détruit ou endommagé 70% des 439.000 habitations et environ la moitié des bâtiments de...
Les États-Unis et le Royaume-Uni ont mené dans la nuit de jeudi à vendredi plus de 70 frappes sur des sites militaires de la capitale du Yémen, Sanaa, et d'autres villes du pays contrôlées par les rebelles houthis, faisant au moins cinq morts. Dans le même temps, la coalition occidentale a rappelé que le "but reste la désescalade des tensions" et "restaurer la stabilité en mer Rouge".
L’Afrique du Sud et Israël s'affrontent jeudi devant la Cour internationale de justice (CIJ) alors que Pretoria accuse l'État hébreu d'"actes génocidaires" à Gaza. Des accusations "atroces" et "absurdes", selon le président israélien, Isaac Herzog.
A la suite d’un dépôt de plainte pour génocide contre Israël, la Cour internationale de justice de la Haye doit se prononcer cette semaine sur des «mesures conservatoires» requises par l’Afrique du Sud pour protéger rapidement les Gazouis.
L'annonce de l'armée israélienne ajoute qu'un tunnel sous la ville retenait auparavant des otages israéliens, mais l'armée ne donne pas plus de détails.
Le secrétaire d’État américain a rencontré Mahmoud Abbas à Ramallah ce mercredi. Plus la guerre entre Israël et le Hamas se poursuit, plus le risque d’assister à un embrasement régional du conflit se concrétise. Un haut responsable militaire du Hezbollah a été tué ce lundi au Liban dans une frappe israélienne. Quelques jours plus tôt, le numéro deux du Hamas – Saleh al Arouri – était abattu dans la banlieue sud de Beyrouth, poussant le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, à promettre une réponse “inéluctable” à l’État hébreu.
La guerre à Gaza est une catastrophe pour l’humanité. Elle fait également des ravages sur le plan environnemental, révèle une étude menée par des chercheurs issus notamment des universités de Lancaster et Queen Mary de Londres, relayée par The Guardian et Libération.
Alors que la guerre contre le Hamas se poursuit à Gaza, l'armée israélienne a annoncé, début janvier, passer à la troisième phase de son opération avec des actions plus ciblées, sensées réduire l'intensité des combats dans l'enclave palestinienne. Yohanan Tzoreff, chercheur à l'Institut d'études de sécurité nationale à Tel-Aviv, livre son analyse sur ces trois premiers mois du conflit.
Exclusive: First months of conflict produced more planet-warming gases than 20 climate-vulnerable nations do in a year, study shows
L'armée israélienne a dévoilé lundi dans le centre de la bande de Gaza un complexe de tunnels et d'ateliers présenté à des journalistes comme "le plus grand site de fabrications d'armes" du Hamas découvert "depuis le début de la guerre".
Depuis le début de l'intervention terrestre israélienne, de nombreuses infrastructures vitales ont été détruites, entrainant une dégradation des conditions de vie dans la bande de Gaza et de graves dommages environnementaux.
En tournée au Moyen-Orient pour tenter d’éviter un embrasement de la région, le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a lancé cet avertissement dimanche depuis le Qatar.
«Nous allons faire ça autrement», a affirmé le porte-parole de l’armée israélienne samedi 6 janvier, après que le Premier ministre Nétanyahou a rappelé sa volonté de poursuivre la guerre jusqu’à ce que «Gaza ne soit plus une menace».
Les chefs de la diplomatie américaine et européenne se sont rendus ce week-end au Moyen-Orient pour tenter d’éteindre l’incendie qui menace d’enflammer toute la région.
Des manifestants anti-gouvernementaux israéliens se sont rassemblés samedi soir sur la place Habima de Tel-Aviv, appelant à des élections anticipées et à la démission du gouvernement, dans le cadre de la guerre en cours avec le Hamas dans la bande de Gaza.
L'ONG Médecins sans frontières (MSF) a annoncé dans la nuit avoir évacué son personnel d'un hôpital du centre de Gaza, après trois mois de guerre d'Israël contre le groupe terroriste palestinien Hamas dans l'enclave.
Le 26 décembre, le premier objecteur de conscience qui a refusé de faire son service militaire depuis le début de la guerre avec le Hamas a été emprisonné en Israël. Ces voix minoritaires qui refusent de participer à "l'oppression des Palestiniens", tentent de changer la donne par leur engagement politique.
Trente-cinq personnes sont mortes, vendredi, à Deir Al-Balah, alors que les bombardements se poursuivent à Rafah et dans le nord de Gaza.
L'armée israélienne a annoncé samedi soir avoir "achevé le démantèlement de la structure militaire du mouvement islamiste palestinien Hamas dans le nord de la bande de Gaza" et se concentrer désormais sur "le centre et le sud" de ce territoire.
Le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a présenté jeudi soir son premier plan de "l'après-guerre" dans la bande de Gaza selon lequel il n'y aurait "ni Hamas" ni "administration civile israélienne" en place dans le territoire palestinien au terme des combats.
Trois mois après le massacre du Hamas le 7 octobre, les dirigeants israéliens n’entendent pas mettre un terme aux opérations militaires à Gaza. Le conflit apparaît en effet comme une opportunité pour un Benyamin Nétanyahou ébranlé.
Le ministre israélien de la Sécurité nationale a préconisé un départ des Palestiniens malgré les critiques américaines.
Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux. Dans ce premier numéro de l’année, nous revenons sur la guerre entre Israël et le Hamas et l’effroyable bilan au sein de la population civile dans l’enclave palestinienne assiégée : plus de 21 000 morts, deux millions de déplacés et des dégâts majeurs, partout. Une catastrophe humanitaire. Le gouvernement israélien pousse les Gazaouis à l’exode, faisant craindre une deuxième Nakba. Le cri d’alarme de la presse étrangère.
La plus haute juridiction de l'ONU, entendra la semaine prochaine les arguments de l'Afrique du Sud et d'Israël, après le dépôt par Pretoria d'une requête contre Israël pour "génocide" dans la bande de Gaza.
La plus haute juridiction de l'ONU, entendra la semaine prochaine les arguments de l'Afrique du Sud et d'Israël, après le...
Les deux ministres, également chefs de partis d’extrême droite, avaient appelé à un retour des colons juifs dans la bande de Gaza à la fin du conflit armé.
Les deux ministres, également chefs de partis d’extrême droite, avaient appelé à un retour des colons juifs dans la bande de Gaza à la fin du conflit armé.

2023

"L'armée israélienne a déjà éliminé plus de 8.000 terroristes dans la bande de Gaza", a assuré le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.
La guerre entre Israël et le Hamas palestinien à Gaza, entrée dans sa treizième semaine, 'va se poursuivre pendant de...
Au moins 65 journalistes ont été tués dans la guerre à Gaza depuis le début des attaques israéliennes, rapporte l'Institut international de la presse (International Press Institute, IPI).
L'Afrique du Sud a déposé vendredi une requête contre Israël devant la Cour internationale de justice (CIJ) pour "génocide" contre le peuple palestinien à Gaza, des accusations aussitôt balayées "avec dégoût" par le gouvernement de Benjamin Netanyahu.
Le chef de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) s'est déclaré vendredi "très préoccupé" par la menace croissante posée par les maladies infectieuses dans la bande de Gaza, depuis l'offensive israélienne en réponse à l'attaque du 7 octobre du Hamas.
Ce sigle effrayant, pour “Wounded child, no surviving family”, utilisé par les travailleurs humanitaires reflète la réalité d’un conflit dans lequel 40 % des victimes seraient des mineurs, rappelle “The Guardian”. Et la situation ne peut qu’empirer.
«Libération» publie la lettre du premier objecteur de conscience israélien. Tal Mitnick, 18 ans, refuse de participer à ce qu’il dit être un «bain de sang» et appelle à un changement politique profond.
Sous les bombes depuis près de trois mois l’enclave palestinienne est aussi frappée par les maladies. Un soldat israélien aux contacts des eaux usées est mort, infecté par un champignon.
Avec la disparition de son patrimoine matériel, de ses universitaires, de ses artistes et même de ses cimetières, c’est toute une nation, avec sa population, sa culture et son identité propres, qui est en train d’être effacée dans l’enclave palestinienne, écrit la chroniqueuse Nesrine Malik dans ce texte émouvant.
Ce projet doit contribuer à faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire pour la population gazaouie, qui fait face à un manque cruel de produits de première nécessité, et à un risque de famine.
Aki Kaurismaki, André Téchiné, Kiyoshi Kurosawa ou encore Rithy Panh exigent l’arrêt des bombardements sur Gaza, la mise en place des couloirs humanitaires et la libération des otages.
Plus de deux mois après l'attaque sanglante du Hamas palestinien sur le sol israélien, les témoignages sur des viols et violences sexuelles se multiplient. Mais le peu de récits de survivants et l'absence d'expertise médico-légale compliquent l'évaluation de leur ampleur.
L'armée israélienne a poursuivi mercredi ses bombardements contre le Hamas dans la bande de Gaza assiégée, malgré les pertes civiles qui s'alourdissent de jour en jour et les cris d'alarme face au désastre humanitaire qui frappe le territoire palestinien.
Dans une tribune publiée dans le « Wall Street Journal » le lundi 25 décembre, le Premier ministre israélien explique, qu’à ses yeux, une paix ne pourra intervenir que si le Hamas est «détruit», et Gaza «démilitarisée».
L'ONU s'est dite mardi "profondément inquiète" de la poursuite des bombardements israéliens sur le centre de la bande de Gaza et a exhorté les forces israéliennes à prendre toutes les mesures possibles pour protéger les civils.
Une enquête du “New York Times”, basée sur des images satellite, montre que le sud de la bande de Gaza a été régulièrement visé par des bombes très puissantes. Et ce alors qu’Israël avait demandé aux civils de s’y rendre.
Avec la fuite en avant du gouvernement israélien, le mouvement islamiste semble en passer d’atteindre l’un de ses objectifs : étendre son influence en Cisjordanie et au Liban, quitte à sacrifier la population de Gaza.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) s'est alarmée du nombre de patients affamés que ses équipes ont rencontrés dans plusieurs hôpitaux de Gaza au cours du week-end.
L'armée israélienne a annoncé dimanche que 152 soldats avaient été tués dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre avec le mouvement islamiste palestinien Hamas.
L'Égypte a proposé un accord pour mettre un terme aux combats entre Israël et le Hamas et libérer plus d'otages, détenus par le groupe palestinien, a indiqué dimanche une télévision régionale.
Des Palestiniens libérés après avoir été arrêtés par l'armée israélienne dans la bande de Gaza ont affirmé à l'AFP dimanche avoir été torturés en détention, ce que dément l'armée.
L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) à Gaza a affirmé samedi qu'un ordre d'évacuation de l'armée israélienne à l'intention d'habitants du centre de la bande de Gaza les déplacerait vers des zones où des frappes aériennes sont en cours.
« La manière dont Israël mène son offensive crée d’énormes obstacles pour la distribution d’aide humanitaire à Gaza », dénonce Antonio Guterres.
Alors que Nétanyahou avait demandé aux Palestiniens d ‘évacuer vers le sud du territoire au début du conflit, l’armée demande désormais une évacuation avant de possibles frappes. Retrouvez les principaux faits de ce jeudi 21 décembre.
Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme réclame l'ouverture d'une enquête par Israël sur "la possible commission d'un crime de guerre" par ses forces armées à Gaza.
Se taire devant le massacre perpétré par l’État d’Israël n’est plus possible, écrit Hervé Kempf dans cet édito. La violence occulte le principal défi de l’avenir : des conditions d’existence dignes pour toute la région.
Les enfants de Gaza ayant à peine accès à l'eau potable, l'Unicef alerte aujourd'hui sur les risques d'épidémies de diarrhée chronique et de choléra dans l'enclave palestinienne. Dans le sud de Gaza, les enfants n'ont accès qu'à un à deux litres d'eau par jour, très loin des 15 litres nécessaires au minimum en situation d'urgence, s'inquiète l'agence pour l'enfance des Nations Unies.
Plus de deux mois après le massacre, des discours de réfutation, ou de minimisation, des crimes prospèrent. Ce déni ne résiste pas aux nombreuses prises de vue qui témoignent du massacre, et sur lesquelles «CheckNews» a décidé de revenir.
Depuis la reprise de l'offensive israélienne sur le nord et le sud de la bande de Gaza, le 1er décembre, les forces armées larguent régulièrement des tracts et contactent les civils palestiniens, appelant ces derniers à évacuer vers ce qu’elles appellent des "zones sûres" dans le sud de la bande de Gaza. Mais des images filmées sur le terrain montrent que certaines de ces zones ont été bombardées à plusieurs reprises.
L'hôpital al-Ahli Arab, l'un des derniers qui étaient encore en service dans le nord de la bande de Gaza, a cessé de fonctionner mardi après avoir été pris d'assaut par l'armée israélienne, a indiqué son directeur.
Le groupe islamiste a beaucoup évolué depuis sa création en 1987, et a tenu des discours parfois très contradictoires.
Le géant britannique des hydrocarbures BP a annoncé lundi suspendre lui aussi tout transit en mer Rouge, dans la foulée de plusieurs géants du transport maritime mondial vendredi et samedi, après des attaques perpétrées par des rebelles Houthis du Yémen. Une annonce qui a provoqué un frémissement sur le marché européen du gaz, où le TTF de la bourse d'Amsterdam, est passé de 33 à 37 euros le MWh en quelques heures seulement, alors que sa tendance était à la baisse depuis le début du mois. Et ce malgré un hiver doux, et des stocks européens bien remplis.
Les géants mondiaux du transport maritime, échaudés par les attaques répétées des rebelles houthistes au Yémen, ont annoncé la suspension des traversées sur la mer Rouge “jusqu’à nouvel ordre”. Une décision qui va fortement perturber le commerce international.
L'armée israélienne a affirmé dimanche avoir découvert au cours de son offensive "le plus grand tunnel" que le Hamas ait creusé sous la bande de Gaza et débouchant à seulement quelques centaines de mètres de son territoire.
Après dix semaines de campagne militaire israélienne, la bande de Gaza, bombardée et affamée, est devenue un terrain fertile pour les maladies épidémiques. Premières victimes : les enfants, rapporte le “Washington Post”.
La société suisse MSC Mediterranean Shipping Co, plus grande compagnie de transport maritime par conteneurs au monde, a annoncé samedi qu'elle allait cesser d'utiliser le canal de Suez après une attaque contre l'un de ses navires. L'armateur français CMA CGM a également ordonné à ses équipages d'éviter cette voie. Des décisions qui font suite à plusieurs attaques menées par les Houthis du Yémen, qui ont promis de poursuivre jusqu'à ce qu'Israël mette fin à son offensive à Gaza.
En Jordanie, des dizaines de milliers de personnes manifestent contre la guerre qu’Israël mène à Gaza et l’accusent de voler l’eau du Jourdain. Le fleuve sacré est devenu un ruisseau pollué, dans un pays qui se désertifie.
Le ministre israélien de la Défense a prévenu jeudi que la guerre contre le Hamas à Gaza durerait “plus que quelques mois”, à l’arrivée d’un émissaire américain venu exprimer les inquiétudes de son pays face aux lourdes pertes civiles dans le territoire palestinien assiégé.
Les Etats-Unis souhaitent que la guerre entre Israël et le Hamas "cesse dès que possible", a assuré jeudi un porte-parole de la Maison Blanche, après que le ministre israélien de la Défense a prévenu que la guerre durerait "plus que quelques mois".
La paix et la sécurité internationales sont aussi en danger en Europe. Le Secrétaire Général de l’Onu doit utiliser une nouvelle fois l’article 99 de la Charte des Nations Unie pour faire pression sur le Russie qui brandit de façon irresponsable la menace du feu nucléaire.
Prenant le relais d’un Conseil de sécurité paralysé, l’Assemblée générale de l’ONU a adopté une résolution réclamant un cessez-le-feu. Mais le texte, non-contraignant, ne condamne pas le Hamas. Israël et les Etats-Unis ont voté contre.
Dix soldats israéliens ont été tués mardi 12 décembre dans des affrontements avec des combattants du Hamas dans le nord de la bande de Gaza. Il s’agit d’un des bilans quotidiens les plus lourds depuis le début de la guerre, et porte désormais à 115 le nombre total de morts dans les rangs de Tsahal. Certains ont perdu la vie à cause de “tirs amis”.
Selon “The Wall Street Journal”, l’armée israélienne a commencé à déverser de l’eau de mer dans les tunnels sous la bande de Gaza. Une opération visant à porter un coup fatal aux infrastructures souterraines du Hamas.
Selon les informations du Wall Street Journal, Israël a mis en place un système permettant d’inonder les tunnels du Hamas.
Le patron de l’agence de l’ONU pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), Philippe Lazzarini, tire la sonnette d’alarme après une visite de l’enclave palestinienne assiégée et bombardée.
Les banques européennes ont investi 308,9 milliards de dollars dans des entreprises opérant dans les colonies israéliennes illégales, révèle mardi une enquête internationale à laquelle ont pris part la coupole d'ONG flamande 11.11.11 et FairFin.
L’armée israélienne intensifie les opérations contre le mouvement islamiste palestinien, alors que l’Assemblée générale de l’ONU doit se prononcer dans l’après-midi sur l’appel ou non à «un cessez-le-feu humanitaire» dans la bande de Gaza.
Israël et les États-Unis sont en désaccord concernant l'avenir de la bande de Gaza après la guerre en cours, a confié mardi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
L'Assemblée générale de l'ONU a réclamé ce mardi un "cessez-le-feu humanitaire immédiat" à Gaza.
L'intervention israélienne dans la bande de Gaza a entraîné la destruction de nombreux terrains agricoles. Compte tenu de la dureté des combats, les images satellite sont le seul moyen d’observer les dégâts. Selon un analyste, 22 % des terres arables ont déjà été détruites et les combats laisseront une empreinte durable sur l'enclave palestinienne.
Les terroristes auraient notamment été retrouvés dans des maisons, écoles ou abris civils.
L'armée israélienne affirme avoir attaqué environ 250 cibles dans la bande de Gaza au cours des dernières 24 heures. Il s'agirait de caches d'armes, de tunnels et d'autres sites.
Le Conseil exécutif de l'Organisation mondiale de la santé a adopté dimanche par consensus une résolution réclamant une aide humanitaire immédiate pour Gaza, où les médecins sont confrontés à des conditions de travail "inimaginables" selon le chef de l'OMS.
Les États-Unis ont opposé une fois de plus leur veto vendredi à une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies appelant à un cessez-le-feu humanitaire immédiat dans le conflit entre Israël et le Hamas.
Les violences du Hamas ne justifient "en aucun cas la punition collective" des Palestiniens, a jugé vendredi le secrétaire général de l'ONU, mettant la pression sur le Conseil de sécurité pour déclarer un "cessez-le-feu humanitaire immédiat", que les Etats-Unis ne soutiennent pas.
Depuis Rafah, une travailleuse humanitaire raconte à «Libération» les immenses difficultés pour fournir un abri, des vêtements, de la nourriture ou de l’eau aux centaines de milliers de déplacés qui fuient les bombardements israéliens.
Le système de santé à Gaza est à genoux et ne peut pas se permettre de perdre une seule ambulance ou un lit d'hôpital de plus, a averti vendredi l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), demandant l'instauration d'un cessez-le-feu "maintenant".
Le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a adressé mercredi une lettre au Conseil de sécurité, fustigée par la diplomatie israélienne.
De violents combats font rage jeudi dans et autour des plus grandes villes de la bande Gaza, dans la guerre opposant l'armée israélienne et le mouvement islamiste palestinien Hamas entrée dans son troisième mois.
Dans un entretien accordé à France 24, le haut-commissaire des Nations unies aux droits de l'Homme se déclare profondément préoccupé par la situation dans la bande de Gaza, qu'il qualifie de "catastrophe humanitaire apocalyptique". Volker Türk dénonce de "graves violations du droit international humanitaire", citant le blocus israélien du territoire et l'utilisation d'explosifs dans des zones densément peuplées.
Ce qui se passe à Gaza depuis 7 octobre est-il un génocide ? Plusieurs personnes le pensent sur les réseaux sociaux...
Rarement depuis le début de ce siècle un territoire n’a subi tel déluge de bombes. L’objectif de Tsahal, anéantir le Hamas, est soutenu par des moyens colossaux, qui soumettent la population civile de l’enclave côtière à un cauchemar.
Un exode régional des Palestiniens de Gaza serait "catastrophique", a affirmé le chef de l'agence de l'ONU pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi, dans un entretien mercredi à l'AFP, soulignant que la priorité était le retour de la trêve.
L'armée israélienne a intensifié mardi ses opérations contre des combattants du mouvement islamiste palestinien Hamas...
De nombreuses personnes auraient été tuées dans des frappes israéliennes sur deux écoles de l'Organisation des Nations unies (Onu) dans la ville de Gaza, où se réfugient un grand nombre de Palestiniens déplacés, ont indiqué plusieurs médias.
Alors que les frappes d’Israël ont repris après la fin d’une courte trêve de sept jours, la situation dramatique dans les établissements hospitaliers de l’enclave n’en finit pas d’empirer.
Huit otages, dont une Franco-Israélienne, ont été libérés jeudi 30 novembre en échange de 30 prisonniers palestiniens. Mais ce 1ᵉʳ décembre, la trêve a pris fin : l’armée israélienne annonce avoir intercepté une roquette et repris les combats contre le Hamas.
Après la trève, les combats ont repris.
La trêve entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas a été prolongée in extremis jeudi pour un septième...
Depuis un mois et demi, l’ONG britannique travaille méthodiquement à l’identification des victimes civiles des frappes sur Gaza. Sur 60 «incidents» documentés pour l’heure, plus de 45 % des victimes sont des mineurs.
Malgré la "lueur d'espoir" apportée par la trêve entre Israël et le Hamas, les habitants de la bande de Gaza vivent "une catastrophe humanitaire monumentale", a dénoncé mercredi le secrétaire général de l'Onu, réclamant un "véritable cessez-le-feu humanitaire".
Il est connu depuis des années que la rénovation de l’hôpital par l’Etat hébreu dans les années 1980 a conduit à la réalisation de structures souterraines. Ce qui ne veut pas dire que les tunnels dévoilés par Tsahal sont le fait d'Israël.
Parmi ces groupes figure notamment le Jihad islamique.
Un nouveau groupe d’otages a été relâché ce mardi 28 novembre, en échange de la libération de 30 Palestiniens emprisonnés par Israël, après la prolongation pour 48 heures de la trêve entre le Hamas et l’armée israélienne.
Treize otages sont arrivés en Israël, a annoncé dimanche soir l'armée, précisant que quatre autres étaient en chemin,...
Des discussions sont en cours entre Israël et le Hamas, menées par le Qatar et l’Égypte, en vue de prolonger la trêve actuelle de quatre jours à Gaza.
L’Onu a annoncé samedi qu’un total de 248 camions d’aide humanitaire sont arrivés dans la bande de Gaza depuis l’entrée en vigueur la veille de la trêve et sur ce nombre, 61 véhicules ont acheminé du matériel médical, de la nourriture et de l’eau dans le Nord de l’enclave.
Comme convenu dans le cadre de l’accord passé entre Israël et le Hamas, un premier groupe de treize otages a été libéré ce vendredi autour de 15 heures. Ils ont été récupérés par l’armée israélienne à la frontière avec l’Egypte.
CheckNews a reconstitué la carte des galeries mises au jour, prouvant selon Tsahal que l’hôpital servait bien de «base opérationnelle» au Hamas. L’armée israélienne a annoncé vendredi matin que des tunnels avaient été détruits.
Leur mission consiste à surveiller les activités suspectes à la frontière avec la bande de Gaza. Rapports après rapports, les «tatzpitanit», guetteuses de Tsahal, ont alerté leur hiérarchie pendant des mois. Dans le vide, selon Haaretz.
Un sondage réalisé en Cisjordanie et à Gaza indique que 3 Palestiniens sur 4 soutiennent pleinement les massacres inédits commis par le Hamas.
Le gouvernement israélien a donné son feu vert mercredi à un accord visant à obtenir la libération de 50 otages aux mains du Hamas en échange de prisonniers palestiniens et d'une trêve de quatre jours dans la bande de Gaza, premier signe tangible de répit après des semaines de guerre.
Le gouvernement israélien a approuvé tard mardi 21 novembre la signature d’un accord permettant la libération de 50 otages détenus depuis le 7 octobre au échange de quatre jours de cessez-le-feu et de 150 prisonniers palestiniens.
Benyamin Nétanyahou a annoncé la signature d’un accord avec le Hamas en vue de la libération de plusieurs otages israéliens. De nombreux chefs d’Etat internationaux ont félicité cet accord, tout en appelant à accélérer le processus de paix.
Mentionnée en 2008 par un général israélien, la "doctrine Dahiya" théorise un usage disproportionné de la force pour affaiblir les ennemis de l'État hébreu et les dissuader de lancer de futures attaques. Un concept sécuritaire dont les civils payent le prix fort et qui pourrait être aujourd'hui à l'œuvre, selon plusieurs experts. Ce que dément l’armée israélienne.
Cinquante-trois journalistes et employés de médias ont été tués depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas le 7 octobre, selon le dernier décompte du Comité pour la protection des journalistes (CPJ), publié mardi.
Trois docteurs de Médecins Sans Frontières (MSF) ont été tués lors d'une frappe sur l'hôpital Al Awda, a annoncé mardi soir l'ONG médicale. L'attaque a également été fatale à un autre médecin travaillant dans cet établissement hospitalier, l'un des derniers encore fonctionnels dans le nord de la bande de Gaza, selon MSF.
On ignore encore leur nombre exact et leur état de santé. Mais après quarante-cinq jours de détention, un accord semble proche pour la remise en liberté de personnes enlevées le 7 octobre par le Hamas.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré mardi à son gouvernement que l'accord en cours de négociation avec le Hamas palestinien sur les otages retenus à Gaza depuis le 7 octobre était "la bonne décision" à prendre.
Un accord entre Israël et le Hamas semblait imminent ce mardi au soir. Des otages israéliens pourraient être libérés lors d’une trêve qui durerait quatre ou cinq jours, en échange de la libération de prisonniers palestiniens.
Des centaines de personnes sont descendues dans les rues de Tel Aviv en Israël samedi pour protester contre la guerre dans la bande de Gaza. Il s’agit de la première manifestation de ce type depuis le début des combats, le 7 octobre.
La plus importante structure sanitaire de la bande de Gaza a été en grande partie vidée par les 2 300 personnes qui s’y trouvaient ce samedi 18 novembre, sauf une centaine de patients et de bébés prématurés. On ignore encore la raison.
Le président américain Joe Biden estime que l'Autorité palestinienne devrait à terme diriger Gaza et la Cisjordanie après la guerre entre Israël et le Hamas, appuyant l'idée d'une solution à deux Etats.
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a appelé jeudi Israël à prendre des mesures "urgentes" pour mettre fin aux violences des colons contre les Palestiniens en Cisjordanie. M. Blinken, qui se trouve à San Francisco pour un sommet Asie-Pacifique, a lancé cet appel lors d'une conversation téléphonique avec Benny Gantz, un dirigeant de l'opposition israélienne qui a rejoint le cabinet de guerre du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Sortant du silence pour la première fois depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, le Conseil de sécurité...
Le Hamas a annoncé lundi que tous les hôpitaux du nord de la bande de Gaza, où se concentrent les frappes aériennes et les combats avec l’armée israélienne, étaient désormais "hors service". France 24 a joint au téléphone Mohammed Abou Salmiya, directeur de l'hôpital al-Chifa, le plus grand centre hospitalier de l’enclave palestinienne, pour faire le point sur la situation.
L'armée israélienne a déclaré lundi avoir des "indices" montrant que les combattants du Hamas ont détenu dans un hôpital pour enfants de la bande de Gaza des otages qu'ils avaient enlevés lors de leur attaque dans le sud d'Israël, le 7 octobre.
Vingt des 36 hôpitaux de l’enclave palestinienne seraient «hors service», dont le plus important d’entre eux, Al-Shifa, avec lequel l’OMS dit avoir perdu le contact.
Longtemps considérés comme des lieux de refuge pour les civils, les hôpitaux de la ville de Gaza semblent devenus des cibles, explique “The New York Times”. Au sein des établissements, soignants et patients se préparent au pire.
Un commandant des forces spéciales ukrainiennes a joué un rôle clé dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en septembre 2022 en mer Baltique, selon une enquête conjointe du Washington Post et du Spiegel diffusée samedi.Roman Tchervinski, 48 ans, qui a servi dans les Forces d'opérations spéciales ukrainiennes, a été le "coordinateur" du sabotage, selon le quotidien américain et le magazine allemand.Ils citent des responsables en Ukraine et ailleurs en Europe, ainsi que d'autres personnes ayant connaissance de l'opération, qui ont parlé sous couvert de l'anonymat.
La destruction des hôpitaux à Gaza doit cesser, a demandé le CICR vendredi, soulignant que le système de santé avait désormais atteint un "point de non-retour" mettant en danger la vie de milliers de personnes. "La destruction des hôpitaux à Gaza devient insupportable et doit cesser. La vie de milliers de civils, de patients et de membres du personnel médical est en danger", a déclaré dans un communiqué William Schomburg, chef de la sous-délégation du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à Gaza.
Le président français Emmanuel Macron "exhorte Israël à cesser" les bombardements tuant des civils à Gaza, dans un entretien accordé à la BBC diffusé vendredi soir.
Au Moyen-Orient, le taux de réchauffement climatique est actuellement deux fois supérieur à la moyenne mondiale. Les effets dévastateurs de l’élévation des températures et des phénomènes climatiques extrêmes accroissent les tensions et conflits de l’ensemble de la région et accentuent les fragilités dont souffrent déjà de nombreuses populations.
Une moyenne de 160 personnes par toilettes et de 700 personnes par douche. C'est ce à quoi sont confrontés les réfugiés dans le sud de la bande de Gaza, selon un état des lieux jeudi de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA).
Le Premier ministre israélien a par ailleurs dit, lors d’une interview télévisée lundi, refuser un “cessez-le-feu général”, mais être ouvert à de “petites pauses” dans les combats.
Quelques centaines de militants juifs américains progressistes ont occupé dans le calme lundi la Statue de la Liberté à New York pour exiger d'Israël un cessez-le-feu et la fin du "bombardement génocidaire de civils palestiniens à Gaza".
“Dans deux mois, les Palestiniens auront compensé” les pertes humaines liées aux bombes israéliennes “grâce aux 50 000 femmes enceintes” de la bande de Gaza, affirme le chef d’un journal libanais pro-Hamas. La journaliste et écrivaine libanaise Najwa Barakat dénonce un “mépris pour la vie humaine”.
L’armée israélienne a encerclé la bande de Gaza et se tient prête à agir dans le nord du pays tandis que le secrétaire d’État américain tente de calmer les tensions.
Ce membre du gouvernement chargé du patrimoine, élu d’extrême droite, a été suspendu «jusqu’à nouvel ordre» de toute réunion gouvernementale par Nétanyahou, selon la presse israélienne.
Un Un ministre ultranationaliste israélien a été sanctionné dimanche par le chef du gouvernement Benjamin Netanyahu après avoir affirmé qu'un recours à la bombe nucléaire à Gaza, dans la guerre contre le Hamas palestinien, était "une option".ultranationaliste israélien a été sanctionné dimanche par le chef du gouvernement Benjamin Netanyahu, après avoir affirmé qu'un recours par Israël à la bombe nucléaire contre la bande de Gaza dans la guerre en cours contre le Hamas palestinien était "une option".
Les représailles israéliennes massives menées par l’armée israélienne contre le Hamas dans la bande de Gaza s’apparentent-elles à un génocide ? Plusieurs intellectuels et chercheurs juifs et israéliens se posent la question. Et les avis divergent.
Craig Mokhiber, directeur du bureau de New York du Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme, a remis sa démission fin octobre pour dénoncer les bombardements israéliens sur Gaza, qualifiés de "génocide", ainsi que la "complicité" des gouvernements occidentaux.
Il y a quelques jours, le Hamas a proposé d'échanger les 230 otages retenus dans la bande de Gaza contre "tous les prisonniers palestiniens en Israël". Parmi eux, Marwan Barghouti, condamné à perpétuité en 2004 pour des attentats en Israël et souvent présenté comme l'homme de l'unité politique palestinienne.
L’État hébreu a annoncé jeudi avoir encerclé la ville de Gaza, après une semaine de combats au sol et des frappes meurtrières sur le territoire palestinien.
C'est un flot ininterrompu d'hommes exténués. Ils arrivent par petits groupes, hagards. Certains tombent à genoux de fatigue et tous veulent montrer les stigmates de leur détention en Israël: poignets suppliciés, numéro attaché à la cheville.
Des experts de l’ONU, dont la rapporteuse spéciale sur la situation des droits humains dans les territoires palestiniens occupés, ont estimé jeudi que le peuple palestinien "court un grave risque de génocide".
Un haut responsable du Hamas, Ghazi Hamad, a reconnu que le groupe islamiste palestinien 'payait un lourd tribut' après son...
Un collectif de 85 personnalités juives dénonce l’opération militaire en cours à Gaza et l’instrumentalisation de l’émotion légitime suscitée par les attaques du 7 octobre.
'Honte à vous tous', 'cessez-le-feu maintenant': des manifestants ont interrompu mardi une audition devant le Congrès...
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres s’est dit 'profondément inquiet' mardi de 'l’intensification du...
Intimidations, menaces, vols, meurtres, villages vidés de leurs habitants... Le nombre d'incidents impliquant des colons israéliens s'envole en Cisjordanie occupée depuis l'attaque du Hamas du 7 octobre tandis que l'armée multiplie les frappes meurtrières sur la bande de Gaza.
"Cessez-le-feu ! Cessez-le-feu !" En Israël aussi, des voix s'élèvent pour dénoncer la guerre et ses milliers de victimes civiles dans la bande de Gaza. Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées devant le quartier général de l'armée à Tel-Aviv dimanche 29 octobre pour exiger la fin de l'offensive israélienne dans l'enclave palestinienne.
En une heure, un hameau de Cisjordanie occupée s'est complètement vidé de ses habitants. Ils sont partis à pied, avec...
Le dirigeant de l’agence onusienne réagit au cap franchi dans la violence des bombardements israéliens contre les habitants de la bande de Gaza et dénonce l’assimilation dangereuse de la population palestinienne de l’enclave avec le Hamas.
Tandis que Tsahal pilonne sans relâche la bande de Gaza depuis vendredi soir et que ses soldats sont présents dans l’enclave palestinienne, des milliers de personnes ont manifesté dans plusieurs capitales, demandant un cessez-le-feu.
Les États-Unis vont déployer 900 soldats supplémentaires au Moyen-Orient pour renforcer leurs troupes dans le contexte du conflit à Gaza, a déclaré le porte-parole du ministère américain de la Défense, Pat Ryder. Ces troupes ne seront pas envoyées en Israël, a-t-il assuré, sans pour autant donner plus de précisions.
Les personnes qui vivent dans des régions en conflit se retrouvent aussi souvent en première ligne face à la crise climatique car leur pays, du fait de leur instabilité, est mal préparé à faire face à ces défis. C’est le cas de la bande de Gaza, qui pourrait bientôt se retrouver prise dans un nœud gordien.
Selon Netanyahou, la plus secrète des unités des forces israéliennes est entrée à Gaza pour libérer des otages. Mais aussi préparer l’offensive terrestre d’Israël ?
Pour venger les morts, laver l’affront de l’attaque du Hamas et «éradiquer» l’organisation terroriste, l’Etat hébreu s’apprête à entrer dans l’enclave palestinienne. Mettant en grave danger son armée et les populations civiles.
Des camions d'aide humanitaire ont commencé samedi à traverser le terminal de Rafah côté égyptien, vers le territoire palestinien de Gaza, rapportent une source de sécurité et un responsable du Croissant-Rouge égyptien à l'AFP.
Les médias ont d’abord évoqué plusieurs centaines de morts, avant que ce bilan ne soit sujet à débat. Si le ministère de la Santé palestinien maintient un bilan de 471 morts, divers sources de renseignement évoquent un bilan bien plus bas.
Des blocs de béton installés par les Égyptiens après les bombardements d'Israël sur leur frontière avec Gaza assiégée ont été enlevés, a indiqué vendredi à l'AFP une source de sécurité égyptienne, semblant indiquer un passage prochain de l'aide humanitaire.
L'aide humanitaire internationale devrait pouvoir entrer dans la bande de Gaza "demain (samedi) ou dans ces eaux-là", a déclaré le responsable des situations d'urgence de l'ONU, Martin Griffiths.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, est arrivé vendredi au point de passage de Rafah, l’unique ouverture sur Gaza qui ne soit pas aux mains d’Israël, pour préparer l’arrivée de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza.
L’explosion aurait tué au moins 200 personnes et a provoqué des manifestations à travers le monde musulman, à quelques heures de l’arrivée de Joe Biden dans la région. Pour la presse internationale, ce tir pourrait mettre en péril des années d’efforts diplomatiques entre l’État juif et certains pays arabes.
Le chef de l’ONU Antonio Guterres a appelé mercredi à un 'cessez-le-feu humanitaire immédiat' dans le conflit entre...
L’attaque a été dénoncée par la communauté internationale.
Une explosion a fait des centaines de morts dans un hôpital de Gaza et provoqué des condamnations internationales et des...
Le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, a mis en garde mercredi contre un exode massif de Palestiniens de Gaza vers...
Alors que Tsahal est accusé par le Hamas d’être à l’origine de la frappe qui a fait plus de 200 morts la veille, l’armée israélienne se défend ce mercredi 18 octobre en publiant des images prouvant, selon elle, son innocence.
Analystes et spécialistes dans la géolocalisation des images penchent, pour l’heure, vers un tir de roquette en provenance de Gaza. Sans pour autant être complètement affirmatifs.
Quelque 2000 soldats américains ont été placés en état d’alerte pour un éventuel déploiement au Moyen-Orient en soutien à Israël, en guerre avec le Hamas depuis l’attaque sanglante du mouvement islamiste sur le sol israélien, a déclaré mardi le Pentagone.
Ce mardi 17 octobre au soir, une attaque aérienne a touché un hôpital de Gaza, faisant au moins 200 morts, rapporte le ministère de la Santé de Gaza, dirigé par le Hamas. L’armée israélienne dément en être à l'origine.
Alors que les Gazaouis vivent une situation de grande détresse humanitaire, le monde a les yeux rivés sur le terminal de Rafah, à la frontière entre la bande de Gaza et l’Égypte, seul point de sortie pour évacuer les Palestiniens vers un pays tiers. Le Caire souhaiterait faire passer de l’aide humanitaire mais le pays n’est pas prêt à accueillir les réfugiés Gazaouis. Décryptage.
Médias et ONG ont documenté l’utilisation par l’armée israélienne de munitions au phosphore blanc dans le cadre des bombardements qui visent Gaza, mais l’ambassade dénonce une «distraction des horreurs commises par le Hamas».
Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme a mis en garde mardi Israël contre un "transfert forcé de civils" à Gaza contraire aux lois internationales.
La «Nakba» ou la «catastrophe» fait référence à l’exode forcé des Palestiniens en 1948. Avec déjà près d’un million de déplacés dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre Hamas-Israël, les civils craignent un nouveau désastre.
La Belgique libère deux millions d'euros supplémentaires pour le fonds humanitaire des Nations unies actif dans les territoires palestiniens, a annoncé lundi la ministre de la Coopération au développement, Caroline Gennez, à Casablanca (Maroc) où elle est en visite officielle.
Israël poursuit dimanche ses préparatifs en vue d’une offensive terrestre dans le nord de la bande de Gaza, territoire palestinien assiégé qu’elle bombarde sans relâche depuis l’attaque sans précédent lancée le 7 octobre par le Hamas sur son sol.
Israël a accordé samedi un délai supplémentaire aux habitants pour évacuer le nord du territoire contrôlé par le mouvement islamiste armé, d’où des roquettes continuent d’être tirées vers le territoire israélien.
Plusieurs civils ont été tués samedi 14 et dimanche 15 octobre des deux côtés de la frontière entre le sud du Liban et le nord d’Israël. L’armée israélienne a notamment répondu par des bombardements à des infiltrations terrestres du Hezbollah.
Environ un million de personnes ont été déplacées dans la bande de Gaza par la guerre ayant éclaté après l’attaque sanglante du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre, a indiqué dimanche l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA).
L'ONU a été informée par l'armée israélienne d'un ordre d'évacuation de quelque 1,1 million d'habitants du nord de la bande de Gaza vers le sud dans les 24 heures, a indiqué jeudi à l'AFP le porte-parole du secrétaire général de l'organisation, réclamant que cet ordre soit annulé.
Les humanitaires, mais aussi l’ONU et l’OMS, soulignent les besoins urgents des hôpitaux de la bande de Gaza et réclament des couloirs humanitaires pour acheminer de l’aide mais aussi pour mettre à l’abri les civils désireux de fuir les bombardements israéliens.
Israël a ordonné, vendredi, l’évacuation de quelque 1,1 million de Gazaouis vers le sud, signe d’une opération terrestre imminente contre le Hamas. Si cette incursion a bien lieu, il s'agira de la quatrième opération militaire de grande envergure dans l’enclave. Rappel des faits.
Un ultimatum a été lancé aux Gazaouis le 13 octobre pour évacuer le nord de la bande de Gaza en vue d’une intensification de l’offensive militaire israélienne. Les habitants de l’enclave craignent une nouvelle “Nakba”, un exode sans espoir de retour, et adhèrent à l’appel du président égyptien à rester sur leur territoire.
Israël - Gaza: qui sont les fouteurs de guerre? Une carte blanche de Manuel Abramowicz, coordinateur du journal RésistanceS.
Quelles clés de compréhension permettent de placer l’attaque du Hamas dans l’histoire du conflit israélo-palestinien ? Notre ancien correspondant à Jérusalem et à Washington, Gilles Paris, a répondu à vos questions.
Ce samedi 7 octobre, le groupe terroriste Hamas a lancé une attaque surprise sans précédent sur Israël. 'Nous sommes en...
Bombardés, sans electricité, eau ni nourriture et dans l’impossibilité d’emprunter un couloir humanitaire, les plus de 2 millions d’habitants de l’enclave sont pris au piège d’un cercle vicieux de violence physique et morale.
Les bombardements se poursuivent entre l’armée israélienne et le Hamas, jeudi 12 octobre, deux après qu’Israël a annoncé avoir repris le contrôle de sa frontière avec la bande de Gaza. Le service infographie du « Monde » fait le point.
En quelques jours, l'indice TTF du gaz sur le marché néerlandais, qui fait référence au niveau européen, est passé de...
Trois jours après le début de l’attaque lancée par des combattants du Hamas sur le territoire d’Israël, l’armée israélienne a affirmé, mardi 10 octobre, avoir repris le contrôle de la frontière avec la bande de Gaza. Le service infographie du « Monde » fait le point.
Après l’offensive surprise de ce week-end du Hamas contre Israël, les répercussions sur le plan économique ne se sont pas fait attendre. Lundi, les cours du pétrole se sont envolés et les prix du gaz ont bondi, après l’annonce de la fermeture d’un champ gazier en Israël.
L’enquête concernant la fuite sur le gazoduc sous-marin entre la Finlande et l’Estonie se concentre désormais sur la thèse du sabotage, ont affirmé des sources proches du dossier à l’agence de presse financière Bloomberg. Selon elles, il n’y a cependant pas encore de "conclusions finales".
L'armée israélienne a annoncé lundi avoir frappé "plus de 500 cibles" dans la nuit sur la bande de Gaza pour tenter de reprendre le contrôle face aux combattants du Hamas, au troisième jour d'affrontements qui ont fait plus de 1.100 morts dans les deux camps."Pendant la nuit, des avions de combats, des hélicoptères, des aéronefs et l'artillerie ont frappé plus de 500 cibles des terroristes du Hamas et du Jihad islamique", a annoncé l'armée dans un communiqué.
Au surlendemain de l’offensive éclair menée depuis Gaza par les combattants palestiniens, l’armée israélienne continue de mener des opérations dans le sud du pays. Le service infographie du « Monde » fait le point.
Né durant la première Intifada, en 1987, le mouvement islamiste a toujours privilégié la lutte armée, refusant la moindre légitimité à l’Etat hébreu.
Yoav Gallant, le ministre israélien de la Défense, annonce avoir donné l’ordre de boucler la bande de Gaza. « Nous combattons des animaux et nous agissons en conséquence », a-t-il clamé pour justifier la mesure.
L'armée israélienne a ordonné lundi un "siège complet" de la bande de Gaza contrôlée par le Hamas, au troisième jour de l'offensive surprise et massive lancée par le mouvement islamiste palestinien, comparée par Israël au 11 septembre 2001.Après cette attaque sans précédent par terre, air et mer, déclenchée samedi en plein Shabbat, le repos hebdomadaire juif, par le Hamas, l'armée israélienne a annoncé avoir le "contrôle" lundi des localités du sud du pays prises pour cible. Mais "il pourrait y avoir encore des terroristes dans la zone", a averti le porte-parole de l'armée.
«Nous combattons des animaux et nous allons donc les traiter comme tels», a prévenu le ministre israélien de la Défense lundi 9 octobre.
À l’intérieur de l’enclave palestinienne gouvernée par le Hamas et sous blocus israélien depuis 2007, les habitants, qui se sont d’abord félicités de l’opération menée par le mouvement islamiste sur le territoire israélien, vivent depuis 24 heures au rythme des intenses bombardements de Tsahal.
Au lendemain de l’offensive éclaire menée depuis Gaza par les combattants palestiniens, l’armée israélienne continue de mener des opérations dans le sud du pays. Le service infographie du « Monde » fait le point.
La bande de Gaza, théâtre depuis samedi d’une nouvelle guerre avec Israël, est une enclave palestinienne aux mains du mouvement islamiste Hamas éprouvée par les conflits, la pauvreté et les blocus.
Le conflit entre Israël et le Hamas a fait près d’un millier de morts au total en moins de 48 heures, selon de nouveaux bilans officiels publiés dimanche, le Premier ministre Benjamin Netanyahu mettant en garde contre une guerre "longue". Plus de 600 personnes ont été tuées en Israël, indiquent des données sur le compte Facebook du Bureau de presse du gouvernement (GPO), et sur les 2000 blessés recensés dans le pays, 200 sont "dans un état critique", a déclaré un responsable du GPO à l’AFP.
Un festival de musique qui se tenait aux environs de Reïm, près de la frontière avec la bande de Gaza, a été violemment...
Les affrontements continuent dimanche 7 octobre entre Israël et le mouvement islamiste Hamas, qui a attaqué la veille par surprise. Etats-Unis, Européens et de nombreuses capitales ont condamné avec vigueur les attaques.
Kyiv a annoncé avoir pris le contrôle d’une plateforme pétrolière et gazière en mer Noire, contrôlée par Moscou depuis 2015. Pendant l’opération, des combats ont éclaté.
Les importations européennes de GNL russe ont par ailleurs augmenté de 40% depuis l'invasion en Ukraine.
Le géant étatique russe Gazprom a annoncé mardi une lourde chute de son bénéfice net semestriel à 2,84 milliards d'euros, toujours plombé par la baisse de ses exportations de gaz vers l'Europe dans le sillage du conflit en Ukraine.Sur les six premier mois de l'année, le bénéfice net a été divisé par plus de 8, tombant à 296 milliards de roubles (2,84 milliards d'euros), contre 2.500 milliards de roubles (24,04 milliards d'euros) à la même période de 2022.
L'ONG Global Witness a accusé dimanche les entreprises TotalEnergies et Shell de commercialiser du gaz russe, et de contribuer à "financer la guerre de ce pays en Ukraine".
Dès 2021, Gazprom a « initié une stratégie de limitation de ses exportations de gaz à destination de l’UE » et privilégié un acheminement de son gaz via les gazoducs Nord Stream et TurkStream, ce qui lui permettait de contourner l’Ukraine et la Pologne comme pays de transit, rappelle le rapport ci-après mis en ligne ce 10 mai par l’IRIS (Institut de relations internationales et stratégiques) dans le cadre de l’Observatoire de la sécurité des flux et des matières énergétiques
Poussés par la flambée des prix du gaz, les importations russes ont même atteint des niveaux records. Faut-il aller plus loin dans les sanctions?
L'État norvégien a encaissé des revenus pétro-gaziers record l'an dernier, du fait notamment de la guerre en Ukraine qui a contribué à propulser le prix du gaz à des sommets historiques en Europe, selon des chiffres officiels publiés lundi. D'après des estimations de l'Institut norvégien de statistique SSB, l'Etat a engrangé 1.457 milliards de couronnes (131 milliards d'euros) de revenus liés aux hydrocarbures, "de loin le chiffre le plus élevé jamais enregistré". À titre de comparaison, c'est près de trois fois plus qu'en 2021 (498 milliards de couronnes).
Rivaux régionaux, le Maroc et l'Algérie sont engagés dans deux mégaprojets de gazoduc concurrents les reliant au Nigeria, en ciblant le marché européen, mais dans un contexte où l'UE voudrait se passer du gaz d'ici la fin de la décennie.Le plus récent est le gazoduc Nigeria-Maroc (NMGP), long d'environ 6.000 km, qui devrait traverser 13 pays africains sur la façade atlantique pour acheminer des milliards de mètres cubes de gaz nigérian jusqu'au royaume chérifien. De là, il doit être connecté au Gazoduc Maghreb Europe (GME).
Il y a un an, bientôt jour pour jour, l’armée de Vladimir Poutine pénétrait sur le sol ukrainien et bouleversait l’échiquier géopolitique. Pour échapper à la dépendance russe, les dirigeants de l’Union européenne ont cherché de nouvelles sources d’approvisionnement énergétique. Ainsi, en douze mois, les importations de gaz russe par gazoduc se sont effondrées de 74 %. Pour les compenser, les vingt-sept ont misé sur le gaz naturel liquéfié (GNL). La France est même devenue la plus grande importatrice de GNL (...)

2022

Le Produit intérieur brut (PIB) de l'Allemagne devrait reculer de 0,3% en 2023 sous le coup d'une inflation massive et du manque de gaz russe, sur fond de guerre en Ukraine, selon une étude de l'institut IFO publiée lundi. "Nous glissons vers une récession hivernale", estime Timo Wollmershäuser, directeur des études conjoncturelles de cet institut, l'un des plus influents en Allemagne, qui abaisse ainsi de 4 points sa précédente prévision de juin.
À partir du jeudi 1er septembre, Gazprom cessera ses livraisons de gaz au fournisseur français Engie, a annoncé le géant russe mardi 30 août. Pour la presse étrangère, ce n’est qu’un aperçu de ce qui attend les pays européens cet hiver.
Le gaz sibérien produit par une coentreprise de TotalEnergies a permis de fabriquer du carburant destiné à alimenter des avions de guerre russes engagés dans le conflit en Ukraine, révèle «le Monde» en se basant sur une enquête de l’ONG Global Witness.
La colère des Nations Unies face aux "profiteurs de guerre" : le secrétaire général Antonio Guterres a dénoncé la "cupidité" des grandes entreprises pétrolières et gazières. Il alerte sur les conséquences, notant des "signes avant-coureurs d'une vague de révoltes économiques, sociales et politiques qui pourrait n'épargner aucun pays".
Le géant gazier russe Gazprom a annoncé lundi qu'il réduirait dès mercredi drastiquement, à 33 millions de mètres cubes quotidiens, les livraisons de gaz russe à l'Europe via le gazoduc Nord Stream, arguant de la nécessité de maintenance d'une turbine.
L’activiste climat de 25 ans qui a dû fuir son pays en mars dénonce une « guerre fossile », financée par la dépendance de l’Europe au pétrole, charbon et gaz russes.
Arrêt pour maintenance du gazoduc Nord Stream 1 qui relie la Russie à l’Allemagne. Nouvelles réductions des livraisons de gaz en Italie et en Autriche. Le géant russe Gazprom donne en ce moment des sueurs froides aux Européens, de plus en plus hantés par une question : aurons-nous suffisamment de gaz l’hiver prochain chauffer nos logements et faire tourner nos industries ?
L’accord tripartite signé avec Israël et l’Égypte le 15 juin ne réduit que partiellement la dépendance aux livraisons russes. Par ailleurs, les tensions économiques et politiques régnant dans la région risquent de gêner le projet, décrypte l’hebdomadaire hongrois “HVG”.
Cette chute du transit via l'Ukraine intervient alors que l'inquiétude monte en Allemagne, dépendante du gaz russe, à la veille de l'arrêt total à partir de lundi du gazoduc Nord Stream 1 en raison de travaux de maintenance.
La consommation mondiale de gaz devrait légèrement reculer en 2022 du fait de la guerre en Ukraine, qui devrait freiner la progression de la demande pour les années à venir, indique l'AIE mardi.
'Agence internationale de l'énergie (AIE) prévoit des changements importants dans la consommation de gaz et d'énergie dans son ensemble à la suite de la guerre en Ukraine.
Réquisition des centrales à gaz, remplissage forcé des stockages, réouverture de la centrale à charbon de Saint-Avold... Un volet du projet de loi «pouvoir d’achat», consulté par «les Echos», prévoit une série de mesures permettant au gouvernement de passer outre certaines règles afin de sécuriser l’approvisionnement du pays.
Alors que la Russie a réduit de 40 % ses livraisons de gaz, Berlin a déclenché le second niveau d’alerte du plan d’urgence gaz et s’interroge sur l’avenir des trois derniers réacteurs nucléaires.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, le gaz fait figure d'arme économique brandie à plusieurs reprises entre la Russie et l'Europe.
"Gazprom, pour des raisons farfelues et illégales, justifie par le fonctionnement réduit de Nord Stream 1", lié à des problèmes d'ordre technique selon le géant russe, "la limitation de l'approvisionnement en gaz de l'Europe", a déclaré M. Vitrenko lors d'une conférence de presse, fustigeant "un comportement peu scrupuleux" et "le chantage" de Moscou. "Les actions de la Russie indiquent une violation flagrante par la Russie et Gazprom de leurs obligations contractuelles" vis-à-vis des pays européens, a-t-il ajouté.
Le gouvernement allemand a confirmé qu’il aura davantage recours au charbon « pour produire de l’électricité » , alors que l’entreprise d’État russe Gazprom ne cesse de baisser ses livraisons à l’Europe.
Le gestionnaire du réseau français de transport de gaz GRTgaz a annoncé vendredi ne plus recevoir de gaz russe par gazoduc depuis le 15 juin, avec "l'interruption du flux physique entre la France et l'Allemagne".
Robinet coupé en Pologne, Bulgarie et Finlande, débit fortement réduit vers l'Allemagne, l'Autriche et l'Italie, et plus aucun mètre cube vers la France : les Européens dénoncent le chantage au gaz de Vladimir Poutine, alors que le continent veut profiter de l'été pour remplir ses stocks.
La Russie a intensifié sa pression sur l'approvisionnement énergétique de l'Europe, en limitant drastiquement les flux de gaz vers le continent dans un geste dénoncé comme "politique" par l'Allemagne. Le géant russe Gazprom a annoncé mercredi baisser d'encore un tiers ses livraisons de gaz via le gazoduc Nord Stream, affirmant avoir été forcé d'arrêter un équipement de l'allemand Siemens. C'est la même raison technique qui avait été invoquée mardi par l'énergéticien russe pour justifier une première baisse de 40% de ses flux.
Au cours des 4 premiers mois de 2022, les exportations américaines de GNL vers l’Union européenne et le Royaume-Uni ont triplé par rapport à la même période en 2021 selon les dernières estimations de l’EIA américaine (Energy Information Administration)(1).
Le projet de construction d'un gazoduc entre le Nigeria et le Maroc visant à alimenter l'Afrique de l'Ouest et l'Europe en gaz nigérian a reçu un premier feu vert d'Abuja, a annoncé mercredi le ministre du pétrole du Nigeria. Depuis le début de l'invasion russe en Ukraine, les réserves en gaz de l'Afrique attirent de plus en plus les regards, l'Union européenne cherchant notamment des alternatives à son approvisionnement en gaz par la Russie.
La société énergétique danoise Ørsted a annoncé mardi que la livraison de gaz russe vers le Danemark serait suspendue à partir du 1er juin à 6h00 heure locale, après qu'Ørsted a refusé de régler le paiement en roubles.
Le président du Shift Project plaide pour que la lutte contre le réchauffement climatique devienne la politique publique n°1.
Le mouvement citoyen Dégaze/Tegengas a projeté, lundi soir, une série de slogans sur les centrales à gaz de Luminus à Seraing et d'Engie à Flémalle
La perturbation des acheminements de gaz russe vers l'Union européenne ces derniers jours n'a pas d'effets majeurs sur l'approvisionnement, mais rend plus pressante la recherche d'alternatives. Elle pose aussi la question des intentions de Moscou et de l'Ukraine.
Le géant gazier russe Gazprom a annoncé jeudi cesser d'utiliser un gazoduc clé pour le transit de gaz vers l'Europe via la Pologne, en réplique aux sanctions occidentales imposées à la Russie à cause de son offensive en Ukraine. L'adoption des contre-sanctions russes "signifie une interdiction d'utiliser un gazoduc appartenant à EuRoPol GAZ (qui exploite la partie polonaise du gazoduc Yamal-Europe, ndlr) pour transporter du gaz russe à travers la Pologne", a indiqué Gazprom dans un communiqué sur Telegram. Mercredi, la Russie a annoncé des sanctions contre plus de 30 sociétés de l'Union européenne, des États-Unis et de Singapour, en représailles contre les sanctions dont elle est frappée pour son offensive militaire contre l'Ukraine.
Les tribunaux russes ont ouvert 60 000 procédures contre les manifestants depuis 2012, selon l’enquête du journal indépendant russe, dont une partie de la rédaction a été contrainte à l’exil après l’invasion de l’Ukraine. « Le Monde » marque sa solidarité en publiant plusieurs de ses articles.
Le journal russe indépendant « Novaïa Gazeta » a tenu 32 jours après le déclenchement du conflit en Ukraine, malgré la censure de l’Etat russe. Mais une partie de la rédaction a dû quitter le pays et a lancé « Novaïa Gazeta Europe », dont « Le Monde » soutient l’initiative.
Des questions se posent après que deux oligarques russes, liés à des géants du gaz, ont apparemment assassiné leur épouse et leur fille avant de se suicider, à deux jours d’intervalle, relate le magazine Newsweek. Dans les deux cas, l’alerte a été donnée par l’enfant survivant des familles tuées.
La suspension des livraisons de gaz russe à la Bulgarie et à la Pologne, pour n'avoir pas payé en roubles comme exigé, est la conséquence d'actes hostiles inédits contre la Russie, a affirmé mercredi le Kremlin. "Les conditions qui ont été fixées font partie d'une nouvelle méthode de paiement élaborée après des actes inamicaux sans précédent dans le domaine économique et financier" après l'offensive russe en Ukraine, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
La Bulgarie et la Pologne sont désormais approvisionnées en gaz "par leurs voisins de l'UE", après la suspension par Gazprom des livraisons russes, a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. "Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d'effet possible sur les consommateurs européens", a assuré la cheffe de l'exécutif bruxellois dans une brève allocution à la presse. "La mesure prise par la Russie affecte la Russie elle-même. Le Kremlin fait mal à l'économie russe car ils se privent eux-mêmes de revenus importants", a-t-elle estimé.
La Russie coupera les livraisons de gaz à encore plus de pays s'ils ne paient pas en roubles, comme le prévoit un décret du président russe Vladimir Poutine, a déclaré ce mercredi le porte-parole du Kremlin.
Ces annonces d’arrêt surviennent alors que le président russe, Vladimir Poutine, a demandé aux pays jugés « inamicaux » de payer les livraisons de gaz en roubles par un nouveau système.
L'Algérie et l’Égypte avant Pâques, le Congo et l'Angola cette semaine, le Mozambique en mai: l'Italie s'est lancée dans une offensive diplomatique en Afrique pour sortir de sa dépendance au gaz russe. Alors que la Russie fournit actuellement à la péninsule 45% de son gaz, le Premier ministre Mario Draghi souhaite changer cette situation en diversifiant au plus vite son portefeuille de fournisseurs.
L’administration Biden met fin au gel des nouveaux forages sur les terres fédérales pour faire baisser le prix de l’essence. Le dirigeant démocrate s’était pourtant engagé, durant sa campagne, à limiter la production. Mais depuis, la guerre en Ukraine a fait flamber le baril.
Chauffage urbain, pompes à chaleur, biogaz et développement massif de l'éolien et du solaire: le gouvernement danois a présenté mardi un plan visant à devenir indépendant du gaz russe après l'invasion de l'Ukraine. La Première ministre Mette Frederiksen avait fixé début mars un objectif de sortie du gaz russe "le plus vite possible". Le plan présenté mardi par l'exécutif prévoit notamment que la moitié des 400.000 foyers danois qui se chauffent actuellement au gaz basculeront vers un raccordement au chauffage urbain ou les pompes à chaleur fonctionnant à l'électricité d'ici à 2028.
Vous nous demandez si le gazoduc Brotherhood, qui traverse l’Ukraine et qui constitue l’un des quatre gazoducs qui approvisionnent l’Europe en gaz russe, est toujours en service, malgré l’offensive menée par la Russie depuis le 24 février. Et si, par ailleurs, l’activité de ce gazoduc continue de rapporter des revenus aux Ukrainiens.
Prise à la gorge par sa dépendance au gaz russe, l'Allemagne s'est découvert un autre talon d'Achille : le poids des capitaux russes dans ses raffineries de pétrole, oléoducs et autres réservoirs de gaz. Les filiales des géants Gazprom et Rosneft sont des acteurs clés des infrastructures énergétiques du pays. Responsables politiques et économiques allemands se retrouvent "devant les ruines" d'une coopération avec la Russie longtemps perçue comme garante d'une détente avec le régime de Vladimir Poutine, observe le magazine Spiegel.
Dans le bras de fer avec la Russie, la Commission Européenne veut obliger chaque pays européen à remplir ses réserves de gaz à "au moins 80%" de leurs capacités d’ici au 1er novembre 2022 puis à 90% avant chaque hiver dès 2023. Là, le quidam se dit que "si les réserves sont pleines, l’hiver est assuré." Ouf ! Car un hiver sans chauffage, ça risque de chauffer. Et bien, tout cru patate crue! Dans une stratégie qui aurait pu bien pur sortir des classeurs de nos amis consultants de McKinsey, très cher à Ursula von der Leyen et encore plus chers au Président Macron, la réalité diffère un tantinet.
Une dépréciation qui vise en particulier un prêt accordé à l'opérateur du gazoduc Nord Stream 2 entre la Russie et l'Allemagne, abandonné dans le sillage du conflit ukrainien.
La France se prépare si le gaz russe venait à manquer l'hiver prochain: un décret publié vendredi organise la manière dont des coupures ciblées pourraient être mises en oeuvre chez de gros consommateurs, tandis que le remplissage des stockages a déjà commencé. Ce décret, qui était attendu, encadre un possible "délestage", c'est-à-dire une interruption ou une réduction de l'approvisionnement pour certains clients industriels ou tertiaires (centres commerciaux, salles de concert, stades...).
La Grèce va doubler sa production de lignite, une forme appauvrie du charbon très polluante, afin de diminuer sa dépendance au gaz russe et de se prémunir d’une éventuelle pénurie.
L'entreprise a annoncé vendredi une perte de deux milliards d'euros au premier trimestre, en raison de l'impact des sanctions sur ses activités en Russie après l'invasion de l'Ukraine.
La perte potentielle de revenu serait comprise entre 0,2 et 0,3 % en moyenne, à l’échelle du continent, d’après le CAE. L’impact pour la France se circonscrirait à « une baisse d’environ 0,15 à 0,3 % » du revenu national brut.
Un embargo sur les importations de gaz russe aurait un impact "massif" sur l'économie européenne et toucherait en particulier l'industrie, a mis en garde jeudi le président du géant français de l'énergie Engie, Jean-Pierre Clamadieu.
La Grèce va doubler sa production de lignite (charbon) pour les deux prochaines années afin de diminuer sa dépendance au gaz russe, a annoncé jeudi le porte-parole du gouvernement grec, Yannis Ekonomou. "Le lignite est polluant et dans des circonstances normales, le gaz naturel est moins cher", a souligné le porte-parole dans un point presse. Mais, en raison de la guerre en Ukraine et du besoin pour la Grèce de diversifier son approvisionnement en énergie, la mesure sera, selon le porte-parole, "nécessaire" pour les deux prochaines années.
Le Parlement européen a réclamé dans une résolution adoptée jeudi l'imposition d'un embargo "total et immédiat" sur les importations "de pétrole, de charbon de combustible nucléaire et de gaz" russes. La résolution a été votée par 513 eurodéputés (22 voix contre, 19 abstentions).
La Finlande et l'Estonie prévoient de louer un navire-terminal d'importation de gaz naturel liquéfié (GNL) dans le cadre de leurs efforts se passer de gaz russe, ont annoncé les deux pays jeudi. "Cela permettra d'assurer les besoins industriels en gaz si les importations de gaz depuis la Russie devaient cesser", a déclaré le ministre finlandais de l'Economie Mika Lintilä sur Twitter.
Mettre fin aux importations d'énergie (gaz, pétrole, charbon) en provenance de Russie serait économiquement supportable pour la France et l'Union européenne, estime une étude publiée mardi, qui montre aussi l'efficacité qu'aurait la mise en place de droits de douanes élevés sur les importations d'énergie. Un embargo sur les importations d'énergie aurait "un impact relativement faible" sur les économies européennes, avec une perte de PIB entre 0,2 et 0,3% en moyenne, "soit 100 euros par Européen adulte", ont évalué les quatre économistes auteurs de cette étude publiée sous l'égide du Conseil d'analyse économique, organisme chargé de conseiller le gouvernement français.
Le gouvernement néerlandais appelle les Néerlandais par le biais d'annonces dans tous les grands journaux à prendre des douches plus courtes et à régler le chauffage à la maison à un maximum de 19 degrés. Le thermostat est également réglé à 2 degrés de moins dans les bâtiments gouvernementaux, semble-t-il.
Alors que Vladimir Poutine a annoncé jeudi que le gaz russe devrait désormais être payé en roubles, l'Union européenne, premier client de Moscou, lui a opposé un refus catégorique et affirmé envisager d'autres scénarios pour son approvisionnement. France 24 décrypte avec Francis Perrin, spécialiste des questions énergétiques à l'Iris, cette nouvelle étape du bras de fer autour de la guerre en Ukraine.
La Commission européenne a mené des inspections surprise en Allemagne dans des locaux de la compagnie russe Gazprom qu'elle suspecte d'avoir fait monter les prix du gaz en Europe en abusant de sa position dominante. La Russie est soupçonnée depuis l'an dernier d'avoir restreint l'offre de gaz en Europe pour provoquer une flambée des prix qui s'est encore aggravée depuis le lancement de l'offensive russe contre l'Ukraine fin février.
Vladimir Poutine a annoncé ce jeudi que les acheteurs de gaz russe de pays "inamicaux" devront à partir de vendredi payer en roubles depuis des comptes en Russie sous peine d'être privés d'approvisionnements, mesure touchant surtout l'Union européenne.
L'Allemagne a activé mercredi le premier niveau de son plan d'urgence pour garantir l'approvisionnement en gaz naturel face à la menace d'un arrêt des livraisons russes, a annoncé le ministre de l'Économie. "Une cellule de crise est maintenant mise en place au sein du ministère" afin de superviser la situation alors que le G7 a rejeté la demande russe de paiement en roubles, a expliqué Robert Habeck lors d'une conférence de presse.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé mercredi la Norvège, deuxième fournisseur de gaz naturel de l'Europe derrière la Russie, à fournir davantage d'énergie à son pays et à l'Union européenne. Lors d'un discours par visioconférence devant le Storting, le Parlement monocaméral norvégien, M. Zelensky a aussi estimé que les navires russes "ne devraient pas avoir le droit d'utiliser les ports du monde libre".
La France se prépare à de possibles coupures ciblées de gaz chez d'importants consommateurs pour faire face à une éventuelle interruption de l'approvisionnement russe l'hiver prochain, ont indiqué mardi le gouvernement et le gestionnaire du réseau de distribution. "On attend la sortie d'un décret délestage, que le gouvernement doit sortir ces prochains jours", a indiqué lors d'une conférence de presse Laurence Poirier-Dietz, directrice générale de GRDF, le réseau de distribution de gaz.
Le Kremlin a insisté mardi sur le paiement en roubles du gaz russe livré à l'Europe, rejetant les critiques du G7, alors que les Occidentaux et les Russes multiplient les sanctions et contre-sanctions depuis l'offensive russe en Ukraine. "Personne ne va livrer de gaz gratuitement. C'est tout simplement impossible. Et on ne peut le payer qu'en roubles", a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Sous pression en raison de plusieurs lois russes restreignant la liberté d'expression des médias, Novaïa Gazeta suspend ses publications en ligne et son édition papier jusqu'à la fin de la guerre en Ukraine. Le journal, dont le rédacteur en chef a reçu le prix Nobel de la Paix, était l'un des derniers bastions de la presse libre en Russie.
Les Etats de l'UE ont décidé vendredi de donner mandat à la Commission européenne pour effectuer des achats de gaz groupés, sur le modèle des commandes de vaccins anti-Covid, alors que la guerre en Ukraine fait flamber les prix de l'énergie. Les Vingt-Sept et la Commission "vont, de façon urgente, travailler ensemble à des achats volontaires de gaz, de gaz naturel liquéfié (GNL) et d'hydrogène", en tirant profit du poids économique de l'UE pour bénéficier de prix avantageux, selon les conclusions du sommet de Bruxelles.
Vladimir Poutine a annoncé que la Russie n'acceptera plus de paiements en dollars ou en euros pour les livraisons de gaz à l'Union européenne, donnant une semaine aux autorités russes pour mettre en place le nouveau système en roubles.
Le gouvernement britannique, qui serait prêt selon la presse à reprendre les activités au Royaume-Uni du géant russe Gazprom en cas de faillite, a assuré mercredi travailler avec l'ensemble des fournisseurs à la continuité de l'approvisionnement des clients. Gazprom Energy, branche britannique du groupe russe, fournit du gaz et de l'électricité à plus de 30.000 entreprises privées ou organisations publiques au Royaume-Uni.
L'aide à la rénovation énergétique des logements MaPrimeRénov' va augmenter de 1.000 euros à partir du 15 avril pour les ménages passant d'une chaudière au gaz ou au fioul à une chaudière aux énergies renouvelables, a annoncé jeudi le ministère de la Transition écologique. Parallèlement, les aides à l'installation de chaudières au gaz seront supprimées au 1er janvier 2023, annonce le gouvernement, en pleine flambée des prix de l'énergie et du gaz, aggravée par la guerre en Ukraine.
Depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, la question de la dépendance de l’Europe au gaz, et plus généralement aux combustibles fossiles, a surgi dans les discussions publiques. Cette crise, ajoutée à l’urgence climatique, nous rappelle que notre système énergétique doit fortement se transformer. Mais aussi que la transition énergétique sera fortement dépendante des importations de métaux. Analyse de Greg de Temmerman, docteur en physique expérimentale et directeur général du think tank Zenon Research.
Certains producteurs de tomates sous serres chauffées se voient obligés d'arrêter le chauffage pour éviter la faillite. En cause : la multiplication par 10 des prix du gaz depuis le début de la guerre sur le sol ukrainien le 24 février.
La flambée des cours des énergies fossiles, entraînée par les sanctions occidentales contre l’invasion russe en Ukraine, doit nous pousser à intensifier les efforts que la lutte contre le réchauffement climatique va nous imposer.
Baisser d'un degré le chauffage aurait un effet "pas négligeable" sur la consommation de gaz, a estimé lundi la patronne du géant énergétique français Engie, alors que les Européens cherchent à réduire leur dépendance à l'égard de la Russie. Si les sanctions contre la Russie devaient être étendues à son secteur de l'énergie, face à l'invasion de l'Ukraine, "l'Europe pourrait venir à manquer de gaz l'hiver prochain", a souligné la directrice générale d'Engie, Catherine MacGregor, sur France Inter.
La Russie poursuit ses livraisons de gaz à l'Europe, en passant par l'Ukraine et aux niveaux convenus, a fait savoir la société énergétique Gazprom, détenue par l'État russe.
Si l'Europe venait à ne plus recevoir de gaz russe, les premières difficultés apparaîtraient avec le remplissage des cuves pour l'hiver prochain, a prévenu dimanche la directrice générale d'Engie Catherine MacGregor dans une interview aux Echos. "Le vrai problème, ce serait le remplissage des stockages au printemps et à l'été, en préparation de l'hiver 2022-2023", a souligné la DG du groupe français. "Il serait très difficile de trouver les volumes nécessaires et ce serait très dur en cas de conflit long en Ukraine".
Measures implemented this year could bring down gas imports from Russia by over one-third, with additional temporary options to deepen these cuts to well over half while still lowering emissions.
La guerre en Ukraine a remis la question de notre (in)dépendance énergétique dans beaucoup de discussions, notamment car l’Europe importe beaucoup de gaz et de pétrole de Russie (entre autres matières). La transition énergétique est une opportunité de faire fortement évoluer cette dépendance… Mais au risque d’en créer de nouvelles. Décryptage par Greg De Temmerman, physicien, chercheur associé aux Mines-ParisTech PSL et directeur général du think tank Zenon Research.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a présenté ce 3 mars un plan pour réduire d’ici l’hiver prochain la dépendance de l’Union européenne aux livraisons de gaz provenant de Russie.
L'UE a débranché sept banques russes du système financier international Swift, mais a pris soin d'épargner deux gros établissements financiers très liés au secteur des hydrocarbures, en raison de la forte dépendance de plusieurs Etats européens au gaz russe.
L'Allemagne va débloquer une enveloppe exceptionnelle de 1,5 milliard d'euros pour acheter dans les plus brefs délais du gaz naturel liquéfié (GNL) afin d'assurer son approvisionnement en énergie dans le contexte de la guerre en Ukraine, a indiqué mercredi le ministère de l'Economie et du Climat.
Les cours des matières premières s'embrasent au même rythme que les cours du pétrole et du gaz.
L’Union européenne est très dépendante de la Russie pour son approvisionnement en gaz et en pétrole, mais elle est aussi indispensable à l’économie russe, dont elle est le premier partenaire commercial.
Le gouvernement italien a approuvé lundi des mesures d'urgence visant à pallier une éventuelle pénurie de gaz due à l'invasion de l'Ukraine par la Russie, dont l'option de rouvrir ses centrales à charbon.
Le géant britannique des hydrocarbures Shell a annoncé lundi se séparer de ses parts dans plusieurs projets communs avec le groupe russe Gazprom en Russie, en raison de l'invasion russe en Ukraine, suivant l'exemple de son compatriote BP.
L'Autorité du Canal de Suez (SCA) a relevé mardi les droits de transit de 5 à 10%, notamment sur les navires pétroliers et gaziers, alors que le cours du pétrole flambe déjà du fait de la guerre en Ukraine. Les droits imposés aux navires pétroliers empruntant la voie maritime dans les deux sens augmentent de 10%, ceux imposés aux méthaniers de 7%, et de 5% pour le reste des cargos, détaille le communiqué de la SCA.
L'opérateur du gazoduc germano-russe Nord Stream 2 est finalement tombé victime des mesures de rétorsion prises par Berlin après le déclenchement de l'invasion de l'Ukraine par Vladimir Poutine et a été forcé de déposer le bilan.
Les prix du gaz naturel européen ont rebondi ce lundi. La nouvelle série de sanctions contre la Russie a alimenté les craintes de pénurie d'énergie. Le prix du mégawattheure de gaz sur le marché à terme néerlandais, la norme pour l'Europe, a augmenté de 36 % pour atteindre près de 127 euros lundi, avant de retomber légèrement à près de 108 euros.
Plusieurs importateurs ont interrompu leurs achats de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance de Russie. Cette décision fait suite à l'incertitude des acheteurs face à la vague de sanctions infligées à la Russie par plusieurs pays occidentaux. La réticence des importateurs alimente les inquiétudes concernant les pénuries d'énergie et la hausse des prix.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a annoncé dimanche que deux nouveaux terminaux de gaz naturel liquéfié (GNL) seront construits en réponse au conflit ukrainien et dans le but de réduire la dépendance de l'Allemagne au gaz russe. Les terminaux seront construits à Brunsbüttel et Wilhelmshaven, dans le nord du pays, a-t-il précisé.
Au total, les exportations de la Flandre vers la Russie en 2021 (jusqu'en novembre inclus) ont représenté 3,64 milliards d'euros, ce qui en fait le 15e marché d'exportation des entreprises flamandes. Soit : 1,06 % des exportations en 2021 (à nouveau, jusqu'à novembre inclus). Les importations de la Russie vers la Flandre ont été plus élevées au cours de la même période : plus de 6 milliards d'euros. La Flandre exporte principalement des médicaments, des vaccins et divers appareils vers la Russie, tandis que de la Russie, elle importe principalement des diamants et des produits pétroliers et gaziers.
Le petit confetti ukrainien, situé en mer Noire, à l’est de la Roumanie, ouvre l’accès à des gisements importants de gaz, cible des Russes.
L'Occident a échoué jusqu'ici à se mettre d'accord sur des sanctions maximalistes contre la Russie, refusant de l'exclure du système bancaire Swift, en raison principalement de craintes de plusieurs pays européens pour leur approvisionnement énergétique.
Face à l'explosion des prix de l'énergie après l'invasion de l'Ukraine, l'Italie compte diversifier "au plus vite" ses sources d'énergie pour réduire sa dépendance au gaz russe, a déclaré vendredi le chef du gouvernement Mario Draghi, regrettant les mauvais choix du passé.
L’invasion par la Russie de l’Ukraine marque une étape importante dans un processus d’amplification rapide des risques d’effondrement de nos sociétés industrielles.
Thomas Pardoen, professeur à l'UCLouvain et spécialiste du nucléaire, était l'invité de la matinale DH Radio ce matin. Il s'est dit inquiet de l'effet de l'évolution de la situation en Ukraine, qui aura un impact par rapport aux décisions que la Belgique va prendre quant au fait de tout miser sur le gaz ou non.
Le baril de Brent a grimpé jusqu'à 100,04 dollars après l'annonce de l'opération militaire russe en Ukraine. Les cours du gaz, eux, bondissaient de plus de 30 %.
L'Europe lorgne sur le gaz et le pétrole du Golfe en quête d'alternatives aux hydrocarbures russes face à l'escalade militaire de Moscou contre l'Ukraine. Mais cette option n'a rien de simple, ni de certain, selon les experts.
Si elle n’est pas une surprise, l’attaque militaire de l’Ukraine par la Russie a lancé un vent de panique sur les marchés mondiaux, jeudi 24 février, faisant dévisser les Bourses et grimper le prix des matières premières.
D'après la société énergétique Wintershall Dea, qui a publié son rapport annuel ce jeudi, l'exploitant du gazoduc Nord Stream 2 pourrait faire valoir des demandes de compensation si la mise en service du gazoduc Nord Stream 2 était empêchée par des interventions politiques. L'entreprise allemande est l'un des financeurs du projet.
Wintershall Dea, un des groupes allemands impliqués dans le gazoduc Nord Stream II, a averti qu'il demanderait un dédommagement pour son investissement de 730 millions d'euros si le projet devait être abandonné à la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie.

2021

Tensions géopolitiques, guerre d'influence, risques de pénuries et flambée des prix secouent le marché du gaz depuis plusieurs mois. Et dans ce dossier, la Russie semble posséder une bonne partie des cartes dans sa main.
Le géant chinois du pétrole Sinopec a annoncé jeudi la signature d'un accord sur 20 ans avec l'américain Venture Global pour s'approvisionner en gaz naturel liquéfié (GNL), une rare embellie dans les relations commerciales sino-américaines.

2020

La question de l’énergie est l’une des plus essentielles de notre époque, et pourtant elle est souvent incomprise, ou même simplement mise de côté. Nos économies, nos sociétés, nos modes de vies, notre capacité à innover, les jeux géopolitiques… tout est lié à l’énergie, directement ou indirectement, car rien ne se fait sans elle. Hors, nous entrons dans une nouvelle ère: celle de la fin du pétrole, "or noir" qui à lui seul peut expliquer le développement fulgurant des 100 dernières années, et celle du défi climatique, qui exige de nous de revoir fondamentalement notre rapport à l’énergie.
L’humanité mène « une guerre suicidaire » contre la nature qui réagit et « répond par des ouragans, des incendies et de graves sécheresses dans diverses régions du monde », a déclaré le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, lors de la cérémonie d’ouverture de « Lisbonne - Capitale verte européenne » qui s'est tenue samedi dans la capitale du Portugal.

2019

2018