les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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Kazakhstan

2024

Le Kazakhstan, plus gros producteur mondial d'uranium, a annoncé jeudi la tenue d'un rare référendum cet automne sur la construction de la première centrale nucléaire d'Asie centrale, région où l'Ouzbékistan et le Kirghizstan ont des projets similaires."Le développement économique est impossible sans un approvisionnement énergétique stable, c'est pourquoi j'ai demandé d'étudier la question de la construction d'une centrale nucléaire. Le référendum aura lieu cet automne", a déclaré le président Kassym-Jomart Tokaïev à l'occasion de la "journée des journalistes".
Selon les autorités russes et kazakhes, le pic de crues est attendu dans les prochains jours. Plus d’un millier de maisons ont déjà été inondées.
Le pic de crue n'est pas encore atteint en Russie et au Kazakhstan alors que plusieurs régions de l'Oural et de Sibérie occidentale sont touchées par des inondations record. Plus de 100 000 personnes ont dû évacuer.

2023

Le PDG de TotalEnergies a signé lundi, à l'occasion de la COP28 à Dubaï, un accord d'investissement avec le Kazakhstan portant sur un projet géant éolien qui permettra d'alimenter en électricité un million d'habitants de ce pays. Ce contrat d'investissement d'1,4 milliard de dollars a été signé par le patron de TotalEnergies, Patrick Pouyanné, et le ministre de l'Energie du Kazakhstan, Almassadam Satkaliev, en présence du président de ce pays, Kassym-Jomart Tokaïev.
Le gouvernement kazakh a ces derniers mois dénoncé le « caractère systémique » des accidents impliquant le groupe, qui ont coûté la vie à « plus de cent personnes depuis 2006 ».
Les incendies ravagent le Kazakhstan et ont tué 14 forestiers qui se sont retrouvés piégés par les flammes. Le président a décrété un jour de deuil national ce dimanche 11 juin.
Il s’agit du bilan le plus lourd de ces dernières années dans cette ex-république soviétique. Des feux de forêt ont dévoré 60 000 hectares dans le nord-est du Kazakhstan et coûté la vie à quatorze personnes, a annoncé, samedi 10 juin, le ministère des situations d’urgence kazakh. Plus tôt dans la journée, le président kazakh, Kassym-Jomart Tokaïev, avait démis de ses fonctions le ministre des situations d’urgence, Youri Iline.
Le Kazakhstan, important producteur d'hydrocarbures, a indiqué mardi avoir demandé une procédure d'arbitrage international contre les géants pétroliers exploitant des gisements stratégiques, des litiges portant sur 16,5 milliards de dollars de frais déduits. Cité par l'agence publique Kazinform, le ministre de l'Energie, Almassadam Satkaliev, a indiqué viser les majors exploitant les champs de Kachagan et de Karatchaganak, parmi lesquels on retrouve Eni, Shell, TotalEnergies ou ExxonMobil mais aussi le kazakh KazMunayGas.

2022

Au Kazakhstan, le calvaire d'une ville restée sans chauffage pendant plus d'une semaine par des températures qui sont descendues jusqu'à -30°C a suscité une vague de colère et souligné l'état déplorable des infrastructures énergétiques datant de l'époque soviétique. La descente aux enfers d'Ekibastouz, une cité d'environ 150.000 habitants du nord de ce pays d'Asie centrale, illustre les conséquences que peuvent avoir les coupures massives d'électricité en plein hiver, au moment où plusieurs nations européennes redoutent des pénuries énergétiques à cause de la guerre en Ukraine. Les images diffusées par les médias kazakhs montraient des stalactites se formant dans des appartements, tandis que des habitants transis brûlaient ce qu'ils trouvaient dans la rue pour se réchauffer par un froid polaire.
Au Kazakhstan, le calvaire d'une ville restée sans chauffage pendant plus d'une semaine par des températures qui sont descendues jusqu'à -30°C a suscité une vague de colère et souligné l'état déplorable des infrastructures énergétiques datant de l'époque soviétique. La descente aux enfers d'Ekibastouz, une cité d'environ 150.000 habitants du nord de ce pays d'Asie centrale, illustre les conséquences que peuvent avoir les coupures massives d'électricité en plein hiver, au moment où plusieurs nations européennes redoutent des pénuries énergétiques à cause de la guerre en Ukraine.
Le groupe nucléaire Orano a annoncé lundi avoir signé un protocole d'accord avec le Kazakhstan, un de ses grands fournisseurs d'uranium, en vue de renforcer leur coopération. Le protocole a été signé entre Orano Mining et la société d'Etat Kazatomprom en marge de la visite en France du président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev. La coentreprise Katco, qui les lie depuis 25 ans, vient de démarrer le développement industriel d'une nouvelle zone minière, qui doit produire 45.000 tonnes d'uranium au cours des 15 prochaines années. L'extraction se fera "in situ", via l'injection dans des tuyauteries d'une solution permettant de remonter sous forme liquide l'uranium, ensuite reconcentré (le "yellow cake") pour son transport, explique Orano.
Le Kazakhstan a indiqué lundi envisager la nationalisation des entreprises énergétiques en difficulté, après une énième panne d'électricité laissant des milliers d'habitants sans chauffage malgré un froid polaire dans une ville du plus grand pays d'Asie centrale. "Le président Kassym-Jomart Tokaïev a chargé le Premier-ministre Alikhan Smaïlov d'étudier la question de la nationalisation des actifs énergétiques problématiques", a écrit le porte-parole du président sur son compte Facebook. "Leur mauvaise gestion cause des accidents et des pannes dans la fourniture d'électricité", a poursuivi le porte-parole.
Orano et son partenaire kazakh Kazatomprom ont obtenu un permis leur permettant d'exploiter une nouvelle parcelle d'un gisement d'uranium au Kazakhstan, a indiqué jeudi le groupe français dans un communiqué.
Le Niger et le Kazakhstan sont les principaux fournisseurs d’uranium naturel de l’Union européenne, devant la Russie.
Les autorités et les détaillants du Kazakhstan s'inquiètent d'une ruée sur les achats de denrées alimentaires et d'une hausse des prix en raison des restrictions décidées par la Russie sur ses exportations de céréales pour limiter les effets des sanctions décrétées à son encontre. Les cinq pays d'Asie centrale, très dépendants des importations de Russie, ont déjà vu leurs monnaies s'effondrer dans la foulée du rouble, affecté par les sanctions occidentales infligées contre Moscou après l'invasion de l'Ukraine par la Russie.