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Équateur

2024

Une fuite de pétrole d'ampleur encore indéterminée a contaminé le fleuve Napo, l'un des principaux affluents de l'Amazone dans le nord-est de l'Equateur, affectant les communautés locales, a indiqué jeudi la compagnie pétrolière nationale Petroecuador.
Une fuite de pétrole d'ampleur encore indéterminée a contaminé le fleuve Napo, l'un des principaux affluents de l'Amazone dans le nord-est de l'Equateur, affectant les communautés locales, a indiqué jeudi la compagnie pétrolière nationale Petroecuador.La rupture de conduites de pétrole est à l'origine de cet incident dans le bloc 16, situé dans la province amazonienne d'Orellana, selon Petroecuador.
L'Équateur a subi mercredi après-midi une panne générale d'électricité à "l'échelle nationale" en raison de la défaillance du réseau qui a provoqué des scènes de "chaos", le gouvernement blâmant le manque d'investissements passé dans des installations vétustes.La panne a commencé à 15H17 (20H17 GMT) et l'electricité est revenue progressivement pour être "rétablie à 95% (3.500 MW)" au niveau national trois heures plus tard, a affirmé le ministre de l'Énergie, Roberto Luque.
Le constat est clair : la sécheresse qui frappe durement la Colombie et l’Équateur est certes liée à un phénomène El Niño d’une ampleur exceptionnelle, mais aussi au déboisement de la plus grande forêt tropicale du monde.
Le président équatorien Daniel Noboa a décrété mardi "l'urgence" dans le secteur de l'électricité et demandé la démission de la ministre qui le supervise, a-t-on appris mardi de source officielle.
Des affrontements entre forces de l’ordre et habitants ont eu lieu à Palo Quemado, une commune rurale équatorienne située à une centaine de kilomètres au sud-est de Quito. En cause, la résistance des habitants à un projet de concession minière accordé à une entreprise canadienne, et qui pourrait menacer la culture de canne à sucre, labellisée bio et rémunératrice pour les communautés locales.
Une enquête germano-équatorienne menée par des scientifiques qui ont fait analyser les enregistrements des bruits de la forêt pluviale par des experts et une intelligence artificielle, afin d’évaluer l’impact du reboisement sur la biodiversité, a débouché sur une conclusion encourageante : le repeuplement est en cours.
Le président équatorien Daniel Noboa a annoncé son intention d'ignorer le référendum mettant fin aux forages pétroliers dans le parc national Yasuni, afin de financer la guerre qu'il mène contre le crime organisé. Une marche arrière qui inquiète les associations environnementales.
Longtemps considéré comme l’un des pays les plus sûrs d’Amérique latine, l’Équateur est aujourd'hui plongé dans une crise sécuritaire sans précédent. Coincé entre le Pérou et la Colombie, deux grands producteurs de coca, Quito fait notamment les frais de la croissance du trafic de cocaïne et de la réorganisation des circuits de distribution qui ont fait exploser la corruption et la violence armée.

2023

Le référendum en marge des élections législatives du dimanche 20 août 2023 s'est prononcé pour la fin de l'exploitation du pétrole dans la réserve naturelle de Yasuni. « Le parc naturel de Yasuni comprend trois champs pétroliers -Ishpingo, Tambococha et Tiputini, abrégés en ITT- qui produisent plus de 850 millions de barils de pétrole brut et représentent 20% des réserves pétrolières du pays.
L'hydroélectricité occupe une place toujours plus importante dans le mix électrique de l'Équateur, souligne l'EIA américaine (Energy Information Administration) dans un article publié ce 21 septembre(1) : cette filière a compté pour 79% de la production nationale d'électricité en 2021, contre 55% en 2011. La richesse de la ressource hydraulique en Équateur rend dans le même temps ce pays de près de 18 millions d'habitants « vulnérable aux sécheresses et aux faibles niveaux d’eau pendant la saison sèche d’octobre à mars ».
Le ministre de l'Energie de l'Equateur, Fernando Santos, a affirmé mercredi qu'il sera compliqué de démanteler en un an le gisement pétrolier de la réserve amazonienne de Yasuni, quelques jours après le vote en faveur d'un arrêt de la production.Réclamé par un groupe environnemental depuis dix ans, ce référendum, qui s'est tenu le 20 août, prévoyait qu'en cas de victoire du "oui", la décision serait exécutoire dans un délai d'un an.
Cette terre indigène, qui s’étend sur près d’un million d’hectares de forêt humide et primaire, constitue une réserve unique de biodiversité. Les défenseurs de l’Amazonie saluent une « victoire historique ».
En Équateur, les électeurs ont voté dimanche pour le premier tour des élections présidentielles et législatives ainsi que pour un référendum sur l’exploitation du pétrole dans le parc amazonien Yasuni. 58,9 % d’entre eux ont répondu oui à la question : faut-il laisser indéfiniment cette source brute d’énergie fossile dans le sous-sol ? Une victoire pour les écologistes et le climat dans ce pays lourdement marqué par la pollution pétrolière.
Une majorité d'Equatoriens ont voté pour l'arrêt de la production pétrolière dans un gisement emblématique de la réserve amazonienne de Yasuni, dans l'est de l'Equateur, a-t-on appris lundi de source officielle.Lors d'un référendum organisé dimanche parallèlement à des élections générales anticipées, les électeurs ont dit oui à 58,99% à l'arrêt de la production du "bloc 43", selon les derniers résultats publiés lundi matin et portant sur 93% des bulletins valides.
La Cour constitutionnelle de l'Equateur a donné mardi le feu vert à la convocation d'un référendum, réclamé par les écologistes depuis dix ans, sur la poursuite de l'exploitation pétrolière de la célèbre réserve naturelle de Yasuni en Amazonie.Cette instance a annoncé, dans un communiqué, avoir "émis un avis favorable (...) à la demande de consultation populaire" visant à maintenir indéfiniment sous terre le (pétrole) brut du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), connu comme le bloc 43".
Le gouvernement équatorien risque de perdre environ 1,2 milliard de dollars par an si le "oui" l'emporte lors d'un référendum sur la suspension des forages pétroliers dans un parc naturel de l'est amazonien du pays, a affirmé mercredi le ministre de l'Energie Fernando Santos.La Cour constitutionnelle a donné mardi son feu vert à cette consultation, réclamée depuis dix ans par les écologistes afin de maintenir "indéfiniment dans le sous-sol" le pétrole du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), également connu sous le nom de bloc 43.
Plusieurs dizaines de maisons ont été ensevelies à Alausi, dans le sud du pays, par une coulée de boue provoquée par de fortes pluies tombées dans la nuit de dimanche à lundi.
L'Equateur va suspendre temporairement une partie de ses exportations de pétrole brut en raison d'un contrôle à réaliser sur deux de ses principaux oléoducs, a annoncé Petroecuador vendredi.L'entreprise publique, qui extrait 78% de la production totale de pétrole (481 000 barils par jour de brut en 2022), a indiqué dans un communiqué "mettre en oeuvre le plan technique pour l'arrêt progressif des puits dans les champs de l'entreprise publique situés en Amazonie".
C'est ici que tout a commencé, un jour de février 1967. Le "puits n°1 de Lago Agrio" fut le premier puits de pétrole perforé en Equateur, par le consortium américain Texaco-Gulf, ouvrant l'ère de l'or noir en Amazonie équatorienne."Ce jour là, ministres et officiels se sont baignés dans le pétrole. Puis ils ont tout balancé à la rivière derrière... ça commençait bien...", ironise Donald Moncayo, coordinateur général de l'Union des victimes de Texaco (UDAPT).