les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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écologie média

2024

Victimes d’attaques répétées, les programmes du service public dédiés à l’écologie doivent être défendus, alertent dans cette tribune les signataires de la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique, dont Reporterre. La Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique a été signée en septembre 2022 par plusieurs dizaines de médias, dont Reporterre, et 1 800 journalistes. Retrouvez ici la liste complète de ses signataires. Nous, journalistes, scientifiques, organisations de (...)
L’émission écolo phare de France Inter, « La Terre au carré », préserve son avenir après avoir été menacée. Mais plusieurs autres programmes environnementaux du service public n’ont pas cette chance. Rétropédalage à France Inter. Après avoir annoncé la disparition de l’émission « La Terre au carré » sous sa forme actuelle le 6 mai dernier, la direction a fini par céder. La journaliste Camille Crosnier va récupérer sa chronique. Le répondeur, où les auditrices et auditeurs pouvaient laisser des messages, sera (...)
L’environnement, ça commence à bien faire ? En quelques semaines à peine, le service public de l’information a annoncé la fin de plusieurs programmes majeurs, alors que la crise climatique fait plus que jamais rage en France comme sur le reste de la planète.

2023

Dans une note publiée par la Fondation Jean-Jaurès intitulée Les habits verts des influenceurs, Mises en scène de soi « écolos » au service des imaginaires consuméristes, Erica Lippert, docteure en analyse du discours environnemental de l'Université libre de Bruxelles, décortique la manière dont les influenceurs prônent une consommation dite durable sans bousculer le système. Il ne faudrait pas non plus tirer une croix sur les partenariats commerciaux et le lancement de produits dans l'ensemble plutôt inutiles. Et ce même si un nombre croissant de penseurs et scientifiques souligne l'incompatibilité entre écologie et capitalisme.
Reporterre, le média de l’écologie
« Face à l’urgence absolue de la situation, nous, journalistes, devons modifier notre façon de travailler pour intégrer pleinement [l’] enjeu [climatique] dans le traitement de l’information » : il y a maintenant un an, le 14 septembre 2022, une « charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique » était signée par de nombreux médias, collectifs, syndicats, journalistes, écoles de journalisme. Entretien-bilan avec Loup Espargilière, rédacteur en chef de Vert, le média à l’origine de cette initiative.
Reporterre publie ses comptes, comme chaque année. Ils montrent un média solide sur l’écologie, qui grandit en toute indépendance.
La honte étouffera-t-elle le gouvernement avant que la pollution atmosphérique ne s’en charge ? Rien n’est moins sûr ! À Sainte-Soline, les militants écolos ne sont pas engagés, mais bien terroristes, selon le ministre de l’Intérieur français Gérald Darmanin. Invisibiliser les raisons de la colère pour mieux criminaliser les militants, un mot d’ordre pour un …
« Extrapolations », « Abysses », « The Fortress »... Au festival SériesMania, le réalisateur et militant pour le climat Cyril Dion décrypte ce que peuvent les séries pour l’écologie.
Des ingénieures et des ingénieurs préfèrent quitter la voie toute tracée que leur promettaient leurs grandes écoles pour s'engager collectivement dans les luettes, amorcer un virage écologique radical et dessiner d'autres modalités d'existence. Témoignages.
Alors que se déroule sur le campus Agrobiopole de Toulouse le Forum International de la Robotique Agricole (FIRA), qui vise à « promouvoir la robotique agricole à travers le monde », des membres de l’Atécopol questionnent la pertinence de ces voies technologiques au regard des enjeux socio-écologiques. Plutôt que de robots autonomes, l'agriculture n’aurait-elle pas besoin de paysans autonomes ?

2022

Dans cet article, des scientifiques de l’Atécopol analysent la politique (anti-)climatique de TotalEnergies, critiquent six arguments faisant partie de sa rhétorique officielle, révélant ainsi sa stratégie de greenwashing. Il devient urgent de sortir la multinationale française des seules logiques de marché ; la nationalisation est une piste dont les possibilités et limites sont discutées ici.
Deuxième invité de notre nouveau podcast les Médias se mettent au Vert, le journaliste Dan Geiselhart, cofondateur du média Climax. Ce média “plus chaud que le climat”, qui combine une newsletter hebdomadaire et un fanzine papier, propose à ses abonnés des récits à la fois “positifs” et “critiques” sur la transition écologique de nos sociétés.
Les conséquences déjà bien visibles du dérèglement climatique constituent un véritable problème de société et forcent les acteurs politiques à y répondre. Les propositions formulées diffèrent grandement en fonction de l’orientation politique des acteurs. À travers l’écofascsime, l’extrême droite tend à apporter la sienne à la situation écologique.
Le traitement de l’information liée à l’urgence climatique est complexe. Si les faits sont bien véridiques, les questions climatiques sont touchées par de nombreuses polémiques du fait de leur caractère profondément politique. Dès lors, comment les journalistes doivent-ils traiter l’actualité climatique ?
Les médias à la plus forte audience doivent avoir un traitement des enjeux environnementaux à la hauteur de la situation. Pour les y aider, un collectif de médias, dont Reporterre, et de journalistes a élaboré une Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique.
Entre « effondrement » ou « bonnes nouvelles », comment traiter l’urgence environnementale ? Entretien croisé avec Yannis Richardt et Camille Legrand, respectivement fondateur du média Les Belles Nouvelles et fondateur du média Après l’effondrement.
Ils s’appellent «Reporterre», «Vert», «Climax» ou «Limite», et sont à l’avant-garde du récit de l’écologie et du réchauffement climatique. Optimisme, radicalité, critique sociale et technologique : chacun aborde le sujet avec sa propre ligne.
L’idée qu’un « bug » dans le fonctionnement cérébral serait en partie responsable des ravages écologiques en cours devient de plus en plus populaire. Cette hypothèse politiquement dangereuse est pourtant sans fondement scientifique. Nous présentons ici quelques éléments de « débuggage ».
« Les catastrophistes sont ceux et celles qui ferment les yeux sur les causes des catastrophes et non ceux et celles qui essaient d’avertir, de critiquer et de proposer. »