les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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2023

Depuis la fin de l’accord céréalier en juillet, la Russie a entrepris une campagne de bombardements des ports ukrainiens. L’Ukraine parvient cependant à exporter ses denrées agricoles, vitales à son économie, grâce à d’immenses efforts pour mettre en place des voies alternatives à la traversée de la mer Noire. France 24 fait le point.
Les frappes russes répétées sur des ports maritimes et fluviaux ukrainiens ont détruit “270.000 tonnes de céréales” en un mois, a déclaré mercredi le ministre ukrainien des Infrastructures, Oleksandre Koubrakov.
Un an après son entrée en vigueur, cet accord crucial pour la sécurité alimentaire mondiale n’a pas été renouvelé. La décision de Moscou va obliger l’Ukraine à trouver des solutions alternatives pour exporter son blé et autres céréales.
Face aux tensions entre les différents secteurs économiques et au coût de l’énergie, l’utilisation des terres arables pour l’élevage va subir une concurrence de plus en plus intense.
La politique menée par Pékin pour répondre à sa demande intérieure en matière de blé, de riz ou de maïs contribue fortement à la hausse des prix sur les marchés internationaux.

2022

De source proche de l’état-major russe, on affirme que cette attaque, la première d’une telle ampleur, n’aurait causé que des “dégâts mineurs”, signale le site d’information ukrainien Obozrevatel. Seul un dragueur de mines, l’Ivan Golubets, de la classe Natya, aurait été touché.
Après une attaque qu’elle attribue à l’Ukraine en Crimée, la Russie annonce suspendre sa participation à l’accord assurant la poursuite des exportations de céréales ukrainiennes, vitales pour l’approvisionnement alimentaire des pays pauvres.
L'ONU aimerait renouveler l'Initiative de la mer Noire en faveur des céréales pour un an.
Près de la moitié des céréales produites dans le monde est transformée en carburant ou en aliments pour les animaux.
Environ 15% de la capacité de stockage de céréales de l'Ukraine a été perdue depuis le début de la guerre avec la Russie, relève jeudi un rapport américain qui souligne les effets néfastes pour la sécurité alimentaire mondiale.
L’accord signé en juillet entre Kyiv et Moscou a permis à plusieurs cargos de quitter les ports de la mer Noire. Mais le rythme est trop faible pour vider les silos ukrainiens et les denrées ne vont pas vers les pays les plus menacés par les pénuries, qui seront au menu des discussions entre l’ONU, la Turquie et l’Ukraine.
La reprise des exportations de céréales ukrainiennes, marquée lundi par le départ d'un premier navire depuis Odessa, est un premier "signal positif" tant le blé, indispensable à l'alimentation, est un enjeu stratégique dans le conflit entre l'Ukraine et la Russie.
L'Ukraine et la Russie ont signé vendredi à Istanbul, cinq mois après le début de la guerre, un accord permettant d'exporter les céréales ukrainiennes bloquées dans les ports de la mer Noire.
La Russie et l'Ukraine vont signer un accord sur les exportations de céréales à Istanbul vendredi après-midi, a annoncé jeudi soir la présidence turque.
Des experts militaires d'Ukraine, de Russie et de Turquie discutent mercredi à Istanbul des possibilités d'exportations de céréales au départ des ports ukrainiens sous blocus russe.
Alors qu’avant le début de la guerre en Ukraine il y avait 150 millions de personnes en situation d’insécurité alimentaire aiguë, elles sont aujourd’hui 280 millions, explique Olivier De Schutter, rapporteur spécial de l’ONU sur l’extrême pauvreté, interrogé sur La Première. A cela s’ajoutent, dans une série de pays, "des conflits, des ruptures climatiques, une dette qui les empêche d’acheter des produits alimentaires à des prix exorbitants qui résultent de l’affolement des marchés. Dans ces pays (comme l’Ethiopie, le Sud-Soudan, le Nigéria, le Yémen, l’Afghanistan, la Somalie), le risque de famine se précise d’heure en heure. Malheureusement la communauté internationale n’a pas les moyens de réagir et il y a tout lieu de s’inquiéter pour la vingtaine de pays que la FAO (l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) et le Programme alimentaire (PAM) ont identifiés".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky alerte sur les risques de pénuries alimentaires provoqués par le blocage des ports ukrainiens. Selon lui, ce dernier pourrait avoir des conséquences gravissimes et provoquer une “terrible crise alimentaire”.
Pour réduire ses dépendances, le continent réfléchit à investir davantage dans des céréales, racines et tubercules tels que le sorgho, le mil, le manioc ou l’igname.
L’ONU craint « un ouragan de famines » en Afrique, où de nombreux pays sont dépendants du blé importé d’Ukraine ou de Russie.
Le blocus du port ukrainien par l’armée russe fait peser la menace d’une crise alimentaire mondiale. Le 30 mai, Emmanuel Macron a proposé le vote d’une résolution de l’ONU pour ouvrir un corridor maritime. Les Occidentaux ne doivent donc ménager aucun effort pour y parvenir.