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catastrophe écologique

2024

Conférence donnée par Aurélien Barrau, astrophysicien et philosophe, le 15 avril 2024 dans le cadre du cycle "À Ciel Ouvert - Science et Spiritualité".
L'astrophysicien, philosophe et poète Aurélien Barrau, reconnu pour son engagement dans la défense de la nature, ouvrait le 2 avril 2024 le festival RÊVE GÉNÉRAL, qui (ré)concilie art, science et démocratie.
Rencontre avec l'astrophysicien Aurélien Barrau à l'occasion de la parution de "L’hypothèse K, la science face à la catastrophe écologique", aux éditions Grasset. Résumé : Sortir la science de ses mauvaises habitudes, tel est le projet de ce bref et révolutionnaire essai. Face à la catastrophe écologique, la science est utilisée pour donner une réponse essentiellement « ingénierique» : technologie à tout prix, algorithmes envahissants, machines toutes-puissantes. Cela constitue le pire des choix. Si elle peut jouer un rôle salvateur, c’est, tout au contraire, en contribuant à un renouveau radical des symboles et des valeurs. En réinventant le sens du monde. Elle se révèle essentielle dans le constat du délitement : les espèces disparaissent, les populations s’effondrent, la pollution et la chaleur tuent, la planète devient inhospitalière… Elle demeure pourtant incapable de choisir la direction souhaitable. Considérée comme un simple outil, elle ne pourra que contribuer à accélérer l’effondrement. Comme l’

2023

Certaines prairies de l'Etat du Montana, aux Etats-Unis, se retrouvent parsemées de puits de pétrole abandonnés. Ils représentent un risque écologique et climatique. Mais une fondation s'active pour reboucher ces puits et mettre fin aux fuites de gaz nocif.
A Maceió, au nord-est du Brésil, la «mine 18» exploitée par le géant pétrochimique Braskem s’est en partie affaissée dimanche 10 décembre. Si des habitants ont été été évacués, l’inquiétude porte surtout sur la lagune et son écosystème.
La collision de deux cargos en mer du Nord, le 24 octobre, a fait un mort et quatre disparus, rapporte la “Tagesschau”. Alors que les opérations de recherche ont été suspendues, les autorités redoutent un autre désastre, écologique cette fois.
(Grand format - Broché 2023), de Aurélien Barrau | Grasset. Sortir la science de ses mauvaises habitudes, tel est le projet de ce bref et révolutionnaire essai. Face à la catastrophe écologique, la science est utilisée pour donner une réponse essentiellement « ingénierique » : technologie à tout prix, algorithmes envahissants, machines toutes-puissantes. Cela constitue le pire des choix. Si elle peut jouer un rôle salvateur, c’est, tout au contraire, en contribuant à un renouveau radical des symboles et des valeurs. En réinventant le sens du monde.
Nous entrons dans une ère d’extinction massive. Alors que nombre de réactions face à cet événement rarissime – même sur des échelles de temps géologiques – se focalisent sur le réchauffement climatique et ses solutions techniques, Aurélien Barrau cherche à montrer que la catastrophe est en réalité systémique et plurifactorielle. Tout à l’opposé du technosolutionnisme, les dimensions philosophiques et axiologiques seront soulignées. Quelques ébauches de voies d’extraction seront également esquissées, proposant notamment de repoétiser notre rapport au réel. Aurélien Barrau est astrophysicien à l’Université Grenoble-Alpes. Spécialiste de relativité générale et de cosmologie, il dirige le Centre de Physique Théorique de Grenoble. Lauréat de plusieurs prix scientifiques et membre honoraire de l’institut Universitaire de France, il a publié plus d’une centaine d’articles de recherche. Il est également docteur en philosophie et impliqué dans le combat écologique. --- Conférence d'Aurélien Barrau 26 septembre 2023 /
Nous entrons dans une ère d’extinction massive. Alors que nombre de réactions face à cet événement rarissime – même sur des échelles de temps géologiques – se focalisent sur le réchauffement climatique et ses solutions techniques, Aurélien Barrau cherchera à montrer que la catastrophe est en réalité systémique et plurifactorielle. Tout à l’opposé du technosolutionnisme, les dimensions philosophiques et axiologiques seront soulignées. Quelques ébauches de voies d’extraction seront également esquissées, proposant notamment de repoétiser notre rapport au réel.
Les autorités des Pays-Bas étaient toujours engagées jeudi soir, 27 juillet, dans une course contre la montre afin d’empêcher une éventuelle catastrophe écologique au large de leurs côtes septentrionales, où un cargo transportant des voitures est en proie à un incendie pour la deuxième journée consécutive.
Les incendies qui ravagent l’île grecque depuis six jours s’apparentent à une catastrophe écologique majeure. En pleine saison touristique, près de 20 000 personnes ont dû être évacuées par terre et par mer, la plus grande opération qu’ait connue le pays face à des incendies.
L’engagement d’Aurélien Barrau pour la défense de la planète en fait une voix incontournable de l’écologie aujourd’hui. Au cours de sa conférence, il abordera en 15 points l’état du monde et, en filigrane, suggérera quelques pistes quant aux inflexions possibles, dont certaines concerneront l'enseignement supérieur et la recherche.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé le monde à réagir, accusant la Russie d’un "écocide brutal" après la destruction du barrage de Kakhovka, près de Kherson, ce mardi 6 juin. Une nouvelle catastrophe qui laisse craindre de graves répercussions sur la faune et la flore locales.
Le déluge provoqué par l’explosion du barrage hydroélectrique de Nova Kakhovka ne provoquera pas seulement des destructions sans précédent, il risque de changer durablement les écosystèmes et le climat du sud de l’Ukraine, qui pourrait devenir un désert naturel et humain
Des communes françaises se sont récemment mises au dessalement de l’eau de mer pour faire face à la sécheresse. Ce procédé a cependant des répercussions écologiques néfastes.
Les discours littéraires apocalyptiques ignorent la violence de la situation actuelle. Ils sont souvent conformes aux idéologies du capitalisme telles que la modernisation écologique et l’économie néolibérale. Ils alimentent des approches déterministes mettant l’accent sur l’adaptation des individus et non sur la modification des systèmes. De même, les narrations catastrophiques dépolitisent des questions qui sont, par essence, politiques. Ils s’abstiennent d’identifier le véritable responsable pour évoquer des pistes ambigües et non identifiables comme le consumérisme, le matérialisme, les modes de vie, etc.
Ces derniers mois, les scientifiques ont commencé à prendre part au débat public de plus en plus fréquemment. Pour se faire entendre, ils ont manifesté leur inquiétude à l’égard de l’urgence écologique par un appel à la désobéissance civile lancé dans une tribune au Monde. Quelques jours plus tard, ces mêmes experts s’exprimaient à nouveau dans Collapsus, Changer ou disparaître ? Le vrai bilan sur notre planète. Quarante spécialistes se sont alors réunis afin de faire un diagnostic de l’état de l’environnement, avec pour objectif de sensibiliser l’opinion publique. La question est donc : pourquoi les scientifiques ont-ils décidé de s’impliquer dans le débat public ?
Intervention au Club 44 à la Chaux-de-Fonds, en Suisse.
Les plans de sauvetage ne manquent pas de surgir face à l'emballement des catastrophes et des inégalités. S'ensuit une renaissance de l'idée de « planification » pour piloter les sociétés industrielles dans un monde globalement instable. En retraçant l'histoire de cette idée, Geneviève Azam nous rappelle ici qu'aucune planification écologique ne pourra s’extraire de notre condition terrestre, de ses limites et de ses multiples interdépendances.

2022

La prise de conscience environnementale est loin d'être récente. En 1972, le rapport Meadows, issu des travaux de scientifiques du MIT, alertait sur le risque de dépasser les limites planétaires, avec de graves conséquences pour l'humanité. Depuis, six sur neuf ont été franchies. Décryptage.