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2024

Pour la première fois, les économies les plus riches ont tenu en 2022 leur promesse annuelle de financement de l’adaptation au changement climatique des pays les plus vulnérables. C’est deux ans plus tard que prévu. Et c’est loin d’être suffisant.
Les cartes météo se colorent de rouge en Inde : 47°C à New Delhi lundi, canicule à Bombay... La chaleur persistante complique les élections générales qui durent jusqu'en juin. Le risque thermique s'accompagne d'inégalités sociales avec les ménages pauvres, travailleurs en extérieur plus vulnérables.
En France, le constat semble clair : 63 milliardaires émettent davantage de gaz à effet de serre que la moitié de la population. A l’échelle mondiale, la tendance est similaire : les 1 % les plus riches polluent autant que les 66 % les plus pauvres, selon Oxfam. Ces chiffres évoquent la responsabilité des plus fortunés dans le changement climatique et sous-entendent que leur empreinte carbone est particulièrement alourdie par les énergies fossiles. Mais qu’en est-il vraiment ?
De nombreux rapports montrent que les populations les plus riches émettent davantage de gaz à effet de serre que les plus pauvres. Ce constat doit pourtant être nuancé pour organiser au mieux la lutte contre le changement climatique.

2023

Sur le plateau de QR Le Débat ce mercredi 13 décembre, Jean-Marc Nollet (Ecolo) et Georges-Louis Bouchez (MR) se sont opposés sur un chiffre précis lancé par l’écologiste : "En Belgique, ceux qui émettent le plus de CO2, ce sont les 10% les plus riches : 50 tonnes de CO2 (par personne et par an). Et si on regarde le 1% les plus riches, c’est 115 tonnes de CO2 (par personne et par an)." Georges-Louis Bouchez a réfuté la véracité de ces chiffres en indiquant qu’il s’agissait là de chiffres mondiaux et non de chiffres belges. Jean-Marc Nollet a enfin avancé un dernier chiffre : "les 10% les plus pauvres émettent dix fois moins de CO2 que les plus riches". Après vérification, les chiffres avancés par Jean-Marc Nollet sont un peu exagérés, mais leur ordre de grandeur est conforme aux chiffres du "Stockholm Environment Institute" qui fait référence en la matière.
Le premier jour du sommet de l’ONU à Dubaï ce jeudi 30 novembre est marqué par la concrétisation du fonds destiné à aider les pays vulnérables à réparer les «pertes et dommages» climatiques qu’ils subissent.
C'est la fin du "colonialisme des déchets" pour l'ONG Zéro Waste. D’ici 2026, l’Union européenne ne pourra plus exporter ses déchets plastiques en dehors de l'OCDE. Fruit d’un accord entre les États membres, la décision permet de responsabiliser les pays européens, mais pourrait manquer d’ambition. En parallèle, les négociations autour d’un traité visant à réduire les déchets plastiques piétinent.
Les 1% les plus riches de la planète émettent autant de de gaz à effet de serre que les deux tiers de la population la plus pauvre, soit environ cinq milliards de personnes, selon un rapport de l'Oxfam publié dimanche.Si la lutte contre le changement climatique est un défi commun, certains en sont plus responsables que d'autres et les politiques gouvernementales doivent être adaptées en conséquence, a déclaré à l'AFP Max Lawson, coauteur du rapport publié par l'ONG de lutte contre la pauvreté.
Les Etats membres de l’Union européenne sont parvenus à un accord ce jeudi 16 novembre pour réviser le règlement sur les transferts de déchets vers des pays tiers. Une décision qui intervient à la veille d’un traité mondial.
Les statistiques le prouvent : les riches polluent plus que les populations davantage modestes. Le 28 septembre, le Centre interprofessionnel technique d’études de la pollution atmosphérique (Citepa) et l’Association pour la transition bas carbone (ABC) ont publié une étude sur la répartition de l’empreinte carbone des Français.
Les populations des pays les plus pauvres ont été quatre fois plus exposées que celles des pays développés à la pollution de l’air causée par les feux de forêt et de végétation entre 2010 et 2019, selon une étude de la revue Nature.
Nous sommes en train de vivre le septième été le plus chaud de l'histoire de la Belgique depuis l’enregistrement des températures en 1833. Avec un record : celui du mois de juin, le plus ardent de tous. Et que dire de l’été 2022 ? Le mois d’août de cette année-là dépassait également tous les relevés. De record en record, une question se pose : notre pays est-il adapté à ces fortes chaleurs qui deviendront à l’avenir plus longues, plus fréquentes et plus intenses ? Qui paye le prix de ce changement climatique indiscutable ?
Les grands argentiers du G20 se sont attaqué mardi à la réforme fiscale et aux bailleurs multilatéraux, sans grand progrès sur la restructuration de la dette, tandis que la Banque mondiale s'est alarmée du fossé qui se creuse entre pays riches et pays pauvres.
«Dans les pays très endettés, il y a une corrélation entre haut niveau de dette, dépenses sociales insuffisantes et une hausse alarmante des taux de pauvreté» alerte l’ONU.
Même si la production mondiale de maïs, de lait ou de viande devrait augmenter en 2023, les importations alimentaires des pays les plus pauvres devraient diminuer à cause du prix encore élevé de certaines denrées, a alerté jeudi la FAO.
Un milliard de personnes dans 43 pays sont exposées au choléra, a averti vendredi l'ONU, et bien que les moyens de stopper "cette pandémie des pauvres" soient bien connus, les ressources manquent désespérément pour les mettre en œuvre.
Les nations unies avertissent ce vendredi 19 mai qu’une quarantaine de pays et plus d’un milliard de personnes sont désormais exposées au choléra. L’OMS et l’UNICEF réclament 160 et 480 millions de dollars d’aides pour contenir l'épidémie.
L'urgence climatique est l'affaire de tous ! Fatima Ouassak, politologue, démontre dans son dernier essai "Pour une écologie pirate – Et nous serons libres" que nous sommes encore loin du compte. Pour la militante, le projet écologique en Europe se construit sans les classes populaires, alors même qu'elles sont en première ligne des désastres écologiques.
"La pire des pollutions n’est-elle pas la pauvreté ?" avait lancé Indira Gandhi dans un discours resté célèbre, prononcé en marge de la première conférence des Nations Unies sur l’environnement à Stockholm, en… 1972. Ce n’est pas si bête : comment voulez-vous qu’une population innombrable dont la principale préoccupation est de trouver quelque chose à manger s’inquiète des émissions de gaz à effet de serre ou du tri sélectif des déchets ?
Décarboner le secteur des transports en France est crucial : c’est le secteur le plus émetteur de CO₂ et le seul dont les émissions n’ont pas baissé depuis 1990. Cela soulève cependant un enjeu majeur d’équité sociale et territoriale : il existe de profondes disparités, corrélées aux inégalités de revenu, dans les possibilités d’accès aux lieux d’emplois via des modes de transports décarbonés. Le développement de transports en commun permet-il d’améliorer l’accès aux emplois des plus pauvres ? e.