les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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radioactifs

2024

Cigeo, le projet français d'enfouissement des déchets les plus radioactifs du parc nucléaire, devrait connaître vers le début de 2025 une nouvelle étape, avec la publication de son évaluation de sûreté, a-t-on appris mardi auprès de l'Andra, l'agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs.Le projet, qui vise à enfouir à 500 m sous terre, dans la Meuse, les déchets les plus actifs et de longue durée, fait l'objet d'une demande d'autorisation de création auprès de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), dont la réponse est attendue vers 2028 estime l'Andra.
Alors que l’entreprise Orano est en train de dépolluer une zone contaminée par des éléments radioactifs près de son usine de retraitement nucléaire, les agriculteurs des terrains voisins craignent d’avoir été gravement touchés.
Des fûts de déchets radioactifs, témoins silencieux d'une pratique controversée, reposent au fond des océans. Cette gestion hasardeuse, longtemps privilégiée par les États nucléarisés, soulève aujourd'hui des inquiétudes majeures.
Depuis 1993, l’immersion de déchets radioactifs en mer est interdite. Mais que faire des déchets jetés auparavant dans les océans ?

2023

1,76 million de mètres cubes de déchets radioactifs ont été recensés en 2023, un chiffre amené à croître. De nombreuses incertitudes persistent sur l’avenir de leur gestion.
La France, champion du nucléaire civil aux ambitions renouvelées, compte à ce jour 1,76 million de m3 de déchets radioactifs à gérer, un stock amené à croître mais que les pouvoirs publics se disent en capacité de gérer.Quelque 220.000 m3 supplémentaires ont rejoint le stock de déchets en cinq ans, soit 14% de plus, selon cet inventaire quinquennal à fin 2021 publié mardi par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).
La France compte quelque 1,76 million de m3 de déchets radioactifs à gérer, soit 14% de plus que lors du précédent inventaire quinquennal, souligne mardi un bilan de l'Andra, l'agence publique chargée du sujet. C'est environ 220 000 m3 de plus qu'au 31 décembre 2016, selon ce bilan à fin 2021 établi par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra). Plus de 90% du total est de très faible activité ou de faible et moyenne activité à vie courte. Ces matériaux sont en partie stockés en surface dans des centres de l'Andra dans l'Aube.
Des associations et ex-salariés d'Orange, ont demandé en octobre la saisine d'un juge parisien pour enquêter sur une possible exposition au long cours à de la radioactivité via des "parafoudres", des boîtiers évitant des surtensions, a appris l'AFP de source proche du dossier vendredi.
Des associations et ex-salariés d'Orange, ont demandé en octobre la saisine d'un juge parisien pour enquêter sur une possible exposition au long cours à de la radioactivité via des "parafoudres", des boîtiers évitant des surtensions, a appris l'AFP de source proche du dossier vendredi.
Fermée en 2021 après plus de quarante ans d’exploitation, la Compagnie minière d’Akouta a entrepris des travaux pour restituer « un site sûr, sain et non polluant ».
Dans la région d’Arlit au Niger, deux filiales d’Orano (ex AREVA), la SOMAÏR et la COMINAK ont exploité des gisements d’uranium depuis la fin des années 70. En 2020, 34 % de l’uranium importé en France pour le fonctionnement des centrales électronucléaires provient du Niger. L’extraction du métal radioactif à partir des minerais y a entraîné la production de plusieurs dizaines de millions de tonnes de résidus radioactifs.

2022

Le gouvernement a publié samedi son cinquième plan national de gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR) pour les années 2022-2026, un document qui doit servir à piloter sa stratégie en la matière. Ce plan de gestion "est adopté", indique un décret paru au Journal officiel. Un arrêté le complète avec un certain nombre de prescriptions. Le PNGMDR était auparavant mis à jour théoriquement tous les trois ans mais sa portée a désormais été étendue à cinq ans pour le mettre en cohérence avec la feuille de route énergétique (PPE). Cette édition est le fruit d'un long processus puisqu'elle avait fait l'objet d'un débat public en 2019 puis d'une concertation en 2020 et 2021.
La communauté internationale a le regard tourné vers Zaporijjia, où Russes et Ukrainiens s’affrontent depuis des semaines près de la plus grande centrale nucléaire d’Europe. Cette situation tendue fait courir plusieurs risques nucléaires que tous les belligérants et leurs soutiens souhaitent éviter. France 24 fait le point sur les scénarios possibles.
La guerre en Ukraine a montré les risques du stockage en surface des déchets radioactifs.
Entre 1950 et 1990, 200.000 fûts contenant des déchets radioactifs ont été jetés dans l'océan Atlantique, sans qu'aucune surveillance ne soit mise en place. Deux missions sont actuellement en préparation pour faire l'état des lieux sur une éventuelle pollution radioactive des fonds marins.
Les sources officielles ukrainiennes ont indiqué que des troupes russes, qui occupaient l'usine de Tchernobyl, auraient détruit et pillé un laboratoire de déchets radioactifs.
L’entreposage des combustibles nucléaires usés était au cœur des discussions entre l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), EDF et Orano, jeudi 10 février, a indiqué l’ASN dans une note publiée le 1er mars. Alors que les piscines d’entreposage de l’usine Orano de La Hague (Manche) pourraient arriver à saturation avant 2030, les exploitants planchent sur trois options pour gérer les combustibles usagés en attendant l’aboutissement du projet de nouvelle piscine d’entreposage centralisé d’EDF, prévu à l’usine de La Hague en 2034.
L’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) a publié le 9 février ses dernières données sur les stocks de matières et déchets radioactifs en France (à fin 2020). Ce qu’il faut en retenir.
La limite planétaire des "entités nouvelles" désigne toutes les substances toxiques et à longue durée de vie d'origine humaine présentes dans l'environnement, que ce soient les métaux lourds, les déchets radioactifs, les produits chimiques industriels, les pesticides ou encore les organismes vivants nouveaux, qui peuvent menacer la stabilité du système terrestre. L'homme a inventé plus de 140 000 produits chimiques synthétiques et nous en produisons en grandes quantités, à savoir environ 2,3 milliards de tonnes par an. Pourtant, seuls quelques milliers d'entre eux ont été testés pour leur toxicité sur les humains ou d'autres organismes.

2021

L'Etat belge, représenté par le ministre de l'Économie et du Travail Pierre-Yves Dermagne et la ministre de l'Energie Tinne Van der Straeten, signe un contrat de gestion avec l'ONDRAF, annonce ce mercredi l'organisme de gestion des déchets radioactifs.