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2024

L'artificialisation du sol fait courir un risque d'inondations à répétition. En Wallonie, elle est aussi au cœur du "Schéma de développement du territoire de la Wallonie" qui a pour objectif de réduire le rythme d'artificialisation de moitié d'ici 2030 et de tendre vers zéro d'ici 2050. Découvrez quelle est l'évolution dans votre commune sur ces 15 dernières années.
Chaque année, un budget conséquent est investi dans le ramassage des immondices sur les autoroutes en Wallonie. En 2023, près de 767 tonnes de déchets ont été collectées pour un budget de près de 3,5 millions d'euros, indique la Société wallonne de financement complémentaire des infrastructures (SOFICO) vendredi lors de l'annonce de sa nouvelle campagne de sensibilisation.
Réaction de Canopea à la sortie de la nouvelle Déclaration de Politique Régionale (DPR) wallonne 2024-2029. Dans sa déclaration de politique régionale, le nouveau gouvernement de Wallonie déclare d’entrée de jeu qu’il veut faire “face au changement climatique et protéger la biodiversité avec lucidité et pragmatisme” (P.5 de la DPR). A la lecture du texte de 112 pages, Canopea ne peut que regretter au contraire un manque de lucidité et d’ambition face aux enjeux environnementaux et aux moyens d’y répondre. Certaines propositions, notamment en matière de rénovation énergétique, d’aménagement du territoire ou de biodiversité sont toutefois positives.
Les personnes nées en 2023 en Belgique peuvent espérer vivre 82,3 années, indique mardi Statbel. L’espérance de vie à la naissance est plus élevée pour les femmes (84,3 ans) que pour les hommes (80,2 ans), ressort-il de l’analyse de la mortalité générale par l’office belge de statistique. L’écart entre les genres se réduit néanmoins.
« La seule porte de sortie est la réglementation des molécules à la source » Depuis ce lundi, les habitants de Chièvres et Ronquières reçoivent leurs résultats du biomonitoring PFAS réalisé en janvier 2024. Des résultats préoccupants
Les PFAS sont surnommés 'produits chimiques éternels' car ils sont extrêmement persistants. Une fois rejetés dans...
Hier (mardi) de fortes pluies sont à nouveau tombées sur la Belgique. Le Brabant wallon n’a pas été épargné. Chastre, Jodoigne, Court-Saint-Etienne, Mont-St Guibert, Walhain, Ramilies ont notamment été touchés. Les pompiers ont dû intervenir pour des rues, des caves inondées, parfois des coulées de boue. Il est parfois tombé un tiers des précipitations habituelles du mois de juin en une heure.
Quelles essences d’arbres planter pour faire face aux changements climatiques ? Voilà certainement une question que de nombreux propriétaires forestiers se posent actuellement. L’appel à projets "Forêt résiliente" a été lancé en 2021 en Wallonie pour les accompagner dans cette réflexion et les aider financièrement. Celui-ci a déjà permis de reboiser quelque 2000 hectares de parcelles, comme celle de Marc Pierret qui vient de planter à Hollange des pins sylvestres, des chênes sessiles et des douglas grâce à cette prime : "L’ensemble des frais a été couvert jusqu’à présent : le gyrobroyage, les plantations et les protections autour des celles-ci."
Comment faire pour produire de l’électricité verte et belge mais avoir la certitude qu’elle va être consommée localement ? C’est en tout cas la volonté de ce partenariat entre le fournisseur Bolt et l’entreprise Walvert qui vient de lancer en avril une production de biogaz à Mettet.
D’importantes précipitations sont tombées ce mardi à la mi-journée en Wallonie Picarde notamment sur les communes de Wiers, Moulbaix, Mainvault, Willaupuis (Leuze-en-Hainaut) et dans la région d’Ath. L’intensité des pluies est telle que plusieurs routes ont rapidement été inondées, ce qui rend la circulation particulièrement difficile voire impossible dans certaines zones. Comme cette mise en garde sur les réseaux sociaux qui invite les automobilistes à éviter le contournement d’Ath après le rond-point rue aux fleurs dans les deux sens vers Ghislenghien.
Les fortes pluies tombées mardi après-midi dans le Brabant wallon ont provoqué des inondations à Chastre, Jodoigne et Mont-Saint-Guibert, ainsi que le débordement du Hain à Walhain, a-t-on appris auprès de la zone de secours du Brabant wallon.
Souvenez-vous, le 11 mars 2022, avec Natagora et Nature et Progrès, Canopea vous encourageait à participer à l’enquête publique sur le Plan wallon de Réduction des Pesticides1 L’objectif : créer une mobilisation massive autour de ce projet de plan que l’on jugeait peu ambitieux vis-à-vis des objectifs annoncés. Reprenons du début, ce Plan a initialement été mis en place en 2013. On en est aujourd’hui à la troisième génération d’actions qui visent à réduire les pesticides. Au regard de l’évolution des ventes de produits phytopharmaceutiques (ci-dessous) depuis cette date, on peut conclure que l’impact de ces grands programmes est proche de zéro. On navigue entre 5 000 et 7 000 tonnes de produits phyto annuellement par les utilisateurs professionnels depuis… 1995 ! (L’objectif européen est d’atteindre 2 500tonnes/an, soit 50% de réduction)
Les citoyens ont voté ce dimanche pour les élections fédérales, régionales et européennes. Un sondage "sortie des urnes" livre un premier verdict.
Avec la COP28 et son appel à la « transition vers une sortie des combustibles fossiles », nous devons maintenant accélérer la décarbonation de nos activités. Comment réussir à nous éloigner des combustibles fossiles, devenus omniprésents dans notre société ? La tarification du carbone représente l'un des outils à notre disposition. Dans cette Lettre, nous examinons son fonctionnement, en nous attardant spécifiquement sur le Système d’Échange de Quotas d’Émission (ETS) utilisé en Europe. Ce système, souvent méconnu du grand public, fixe une limite aux quantités maximales d’émissions de certains secteurs. Il est basé sur l’achat de quotas représentant des autorisations d’émissions et sur un marché d’échange de ces quotas.
Avec sa promesse de "garantir l’équilibre forestier", le label PEFC est le plus courant dans les forêts wallonnes. Pourtant, certains acteurs environnementaux estiment qu’il ne protège pas suffisamment la biodiversité et préfèrent s’en dissocier.
La crise agricole qui a éclaté en Europe ces derniers mois à une nouvelle fois mis en lumière les graves déséquilibres économiques qui pèsent sur ce secteur depuis de très nombreuses années : un revenu moyen en berne, une mise en concurrence internationale déloyale, une pression importante sur les prix par l’industrie agroalimentaire et les distributeurs, auxquels s’ajoutent la lourdeur administrative et des normes jugées trop contraignantes. Loin de résoudre les principaux problèmes soulevés, cette crise agricole a surtout été le prétexte parfait pour enterrer très rapidement et efficacement certaines avancées environnementales essentielles, acquises lors des négociations de la PAC 2023-2027. C’est aussi l’occasion de constater qu’il existe en réalité une très forte dualisation du monde agricole, notamment en Wallonie. Malgré des revendications qui semblent être partagées par l’ensemble de la profession se cachent des réalités économiques bien différentes d’un type d’exploitation à l’autre.
En 2023, le secteur du bio a quelque peu reflué en Wallonie, une première depuis 2003, confirment les chiffres définitifs communiqués mardi par l’agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité (Apaq-W) et la structure d’encadrement Biowallonie.
”La Mehaigne, en Hesbaye, sillonne une région à forte densité agricole, loin des hauts lieux de l’industrie chimique ou pharmaceutique. Or, parmi les 23 échantillons européens, c’est la troisième rivière la plus contaminée au TFA”, dénonce l’association Nature et Progrès qui a mené une enquête exploratoire. Le TFA est un Pfas (ou "polluant éternel") oublié des législations et de la surveillance de l’eau, selon plusieurs associations européennes.
Le ministre-président wallon Elio Di Rupo a déclenché, samedi, le processus de reconnaissance des inondations en tant que calamité naturelle publique, a-t-il annoncé dans un communiqué. Cela permet d'activer le Fonds wallon des calamités pour "apporter une aide financière aux personnes sinistrées".
Jusqu’au 26 mai, le réseau Occupons le terrain mène des actions un peu partout en Wallonie. Il s’agit d’actions...