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Les Ressources minérales (*)

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médias

2024

On estime qu’il se produit en moyenne un événement de pollution majeure par les biomédias par an. Surfrider suit l'évolution de ces cas de pollution grâce aux témoignages des citoyens.
Le 21 juin dernier, à l’occasion du "Show Your Stripes Day", vous avez certainement vu de nombreuses images de "bandes climatiques" rouges et bleues tourner sur vos réseaux sociaux. Chaque "stripe", chaque bande, représente une année en termes de température moyenne (bleu pour les plus froides, rouges pour les plus chaudes). C’était d’ailleurs tout le propos de notre article dédié à la "météo dans votre commune le jour de votre naissance", vous pouviez y encoder votre code postal et votre date de naissance afin de vous situer par rapport à la réalité du dérèglement climatique global.
Victimes d’attaques répétées, les programmes du service public dédiés à l’écologie doivent être défendus, alertent dans cette tribune les signataires de la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique, dont Reporterre. La Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique a été signée en septembre 2022 par plusieurs dizaines de médias, dont Reporterre, et 1 800 journalistes. Retrouvez ici la liste complète de ses signataires. Nous, journalistes, scientifiques, organisations de (...)
L’environnement, ça commence à bien faire ? En quelques semaines à peine, le service public de l’information a annoncé la fin de plusieurs programmes majeurs, alors que la crise climatique fait plus que jamais rage en France comme sur le reste de la planète.
Les mystérieux symptômes dont souffrent plusieurs diplomates américains pourraient avoir été provoqués par une attaque à l’arme acoustique, révèle une enquête menée par “Der Spiegel”, “The Insider” et l’émission américaine “60 minutes”. Un faisceau d’indices donne à penser que les services secrets russes sont impliqués.
A travers le monde, un flash info sur le climat va être diffusé ce jeudi.
Le site russe Mediazona et le service russe de la BBC ont dit avoir identifié environ 45.000 soldats russes tués depuis le début de l'invasion de l'Ukraine, il y a deux ans, dans une enquête conjointe publiée mercredi. Les pertes militaires sont tenues secrètes en Russie, comme en Ukraine.
Le président de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, Mike Turner, n’a pas spécifié l’origine ni la nature du danger mais plusieurs chaînes américaines ont désigné la Russie.
L'armée israélienne a dévoilé lundi dans le centre de la bande de Gaza un complexe de tunnels et d'ateliers présenté à des journalistes comme "le plus grand site de fabrications d'armes" du Hamas découvert "depuis le début de la guerre".
Les médias officiels libanais affirment qu’un drone israélien a provoqué une explosion en de la capitale, causant la mort de Saleh el-Arouri, l’un des leaders du mouvement islamiste palestinien, ainsi que de six autres personnes.

2023

Découvrez le Sommet Climate Chance Europe 2024 à Liège, un événement clé sur la résilience climatique et les solutions basées sur la nature.
Nouvelle "chaîne live digitale", davantage de sujets et d'experts en appui, des projections du futur en réalité augmentée : la direction de l'information du groupe TF1 entend mettre encore davantage l'accent sur la transition écologique. À l'instar de nombreux médias, la chaîne s'est dotée il y a un an d'une "feuille de route climat", qui s'applique aussi à LCI.
Un commandant des forces spéciales ukrainiennes a joué un rôle clé dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en septembre 2022 en mer Baltique, selon une enquête conjointe du Washington Post et du Spiegel diffusée samedi.Roman Tchervinski, 48 ans, qui a servi dans les Forces d'opérations spéciales ukrainiennes, a été le "coordinateur" du sabotage, selon le quotidien américain et le magazine allemand.Ils citent des responsables en Ukraine et ailleurs en Europe, ainsi que d'autres personnes ayant connaissance de l'opération, qui ont parlé sous couvert de l'anonymat.
Les médias ont d’abord évoqué plusieurs centaines de morts, avant que ce bilan ne soit sujet à débat. Si le ministère de la Santé palestinien maintient un bilan de 471 morts, divers sources de renseignement évoquent un bilan bien plus bas.
« Face à l’urgence absolue de la situation, nous, journalistes, devons modifier notre façon de travailler pour intégrer pleinement [l’] enjeu [climatique] dans le traitement de l’information » : il y a maintenant un an, le 14 septembre 2022, une « charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique » était signée par de nombreux médias, collectifs, syndicats, journalistes, écoles de journalisme. Entretien-bilan avec Loup Espargilière, rédacteur en chef de Vert, le média à l’origine de cette initiative.
Le monde, tel que nous le connaissons, est-il au bord de l’implosion? Alors que la population mondiale a doublé ces cinquante dernières années – elle dépasse désormais les 8 milliards d’individus et devrait en compter 10 milliards en 2060 - l’impact négatif des activités humaines sur l'environnement ne cesse d’augmenter. Dès lors, les ressources naturelles viendront-elles à manquer? Faut-il accélérer les programmes visant à freiner l’explosion démographique? Et si la solution était ailleurs? Dans sa conférence publique, la professeure Clémentine Rossier fera le point sur ces questions complexes, sujettes à controverses, et remettra en question certaines croyances sur la surpopulation et ses conséquences. Directrice de l’Institut de démographie et socioéconomie de l’UNIGE, elle est aussi l’une des spécialistes de l’étude de la contraception, l'avortement et la fécondité en Europe et en Afrique subsaharienne.
Face aux dérèglements climatiques et à l’effondrement de la biodiversité, le futur apparait anxiogène tandis que le présent nous réconforte par son apparente stabilité. Il devient alors primordial de trouver de nouvelles méthodes pour communiquer sur l’urgence climatique et la nécessité du changement de comportement, tout en rassurant sur l’espoir et la capacité que nous pouvons, ensemble, construire un avenir meilleur. Quelle est la bonne façon de communiquer ? Quel message souhaitons-nous transmettre ? Qu’attend-on de nos sociétés ?
Le changement climatique est encore trop peu présent dans les médias télévisuels, déplore Claire Morvan, de l’association Climat Médias. S’il y a du mieux, le sujet reste dépolitisé.
Un guide sur l’attribution pour les journalistes - traduction
Deux scientifiques belges spécialisés dans la communication, Wim Vermeulen et Inez Schoenaers de l’agence de communication Bubka, et le professeur Gino Verleye enseignant à l’UGent, à la VUB et à l’imec sont parvenus à déchiffrer le langage de la durabilité. Ils ont ainsi défini les six caractéristiques qui confèrent de la crédibilité aux communications d’entreprise en matière de durabilité destinées au grand public. Les recherches apportent une contribution de taille à la science de la communication internationale et ont été publiées la semaine dernière par Frontiers, l’une des plus importantes maisons d’édition de revues scientifiques au monde. L’article s’est vu attribuer la classification A1, la plus élevée qui soit.
Depuis 2022, Quota Climat fait un travail de veille autour du traitement médiatique des questions écologiques. Sur Twitter, notamment, le collectif épingle tantôt des JT pour des biais éditoriaux ou iconographiques contribuant à désinformer leurs publics, tantôt un entretien du JDD déroulant le tapis rouge au greenwashing de TotalEnergies, tantôt la publicité du Figaro pour un ouvrage climatosceptique, etc. Le 1er juin, nous avons échangé avec l’une de ses co-fondatrices et porte-parole, Eva Morel.
Etude après étude, l’ampleur des effets des produits phytosanitaires sur la biodiversité, qui s’effondre à une vitesse vertigineuse, continue de se préciser. Pour les oiseaux, suivis et comptés depuis des décennies par des bataillons de scientifiques et de bénévoles, une étude majeure publiée en mai a pu démontrer que l’usage des pesticides et des engrais était la première cause de leur déclin en Europe. Pour les collemboles, les acariens, les araignées ou les vers de terre, le diagnostic demeure moins affiné.
Selon Jean-Marc Jancovici, les sujets climatiques les plus importants sont mal traités par les médias.
La crise climatique s’accélère et la question de la transition s’invite dans les médias. Ces derniers l’ont bien compris mais ne sont néanmoins pas épargnés par la critique : trop peu présents ou, au contraire, trop militants. Alors, comment (bien) parler des changements climatiques et de leurs conséquences ? En Belgique, plusieurs académiques ont appelé les médias « à mener en leur sein une réflexion radicale et globale sur la manière d’aborder les enjeux et questions relatives au climat et à la biodiversité ». Un message (en partie) entendu dans les rédactions, notamment au Soir. Un pôle Planète avec sept journalistes a été créé pour traiter l’environnement, la mobilité ou l’énergie de manière globale. Mais les écoles de journalisme ne sont pas en reste et s’interrogent sur l’opportunité de modifier leurs programmes de cours pour y faire une meilleure place aux questions climatiques, environnementales et aux enjeux de la transition. Au-delà des écoles de journalisme, si les universités francophones sont à d
Des scientifiques sont confrontés à une déferlante d'insultes voire de menaces sur Twitter. Des scientifiques confrontés à une déferlante d'insultes, voire de menaces, sur Twitter quittent désormais le réseau social, où le négationnisme climatique a bondi depuis sa prise de contrôle par Elon Musk. Peter Gleick, un spécialiste du climat et de l'eau suivi par près de 99 000 personnes sur Twitter, a annoncé le 21 mai qu'il ne publierait plus de messages sur la plateforme, l'accusant d'amplifier le racisme et le sexisme.
Les questions de durabilité et de transition sont de plus en plus présentes dans les médias. Dans les rédactions et les écoles de journalisme, la manière d’appréhender ces thématiques est en pleine évolution. Et c’est également le cas au « Soir », où s’installe un pôle « Planète »
Les quatorze écoles de journalisme reconnues par la profession ont signé la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence climatique. Et amorcé une mue pédagogique. Reconnue pour sa filière journalisme scientifique et son master pro « Climat et Médias », l'ESJ Lille a aussi musclé son programme pour la filière généraliste. Reportage.
Face à l'urgence climatique, les médias jouent-ils pleinement leur rôle ? Une équipe de chercheurs de l’université de Lausanne a passé au crible les publications médiatiques traitant du réchauffement climatique en 2020. Conclusion : s’ils alertent sur les périls climatiques, les médias échouent à mobiliser le public en faveur de la planète. France 24 s’est entretenu avec Marie-Élodie Perga, l’une des cinq scientifiques à l’origine de l’étude.
Consumérisme, croissance verte, greenwashing… La journaliste de Blast Paloma Moritz revient sur la perception et le traitement des défis environnementaux dans les médias.

2022

Alors que le changement climatique frappe toujours plus fort et qu'on assiste à l'extinction massive d'espèces de plantes et d'animaux, des militants critiquent les médias français et veulent que ces sujets soient davantage et mieux traités. L'association QuotaClimat vient de comparer le traitement dans le pays de la Coupe du monde de football au Qatar et celui réservé à la COP15 biodiversité au Canada.
Deuxième invité de notre nouveau podcast les Médias se mettent au Vert, le journaliste Dan Geiselhart, cofondateur du média Climax. Ce média “plus chaud que le climat”, qui combine une newsletter hebdomadaire et un fanzine papier, propose à ses abonnés des récits à la fois “positifs” et “critiques” sur la transition écologique de nos sociétés.
Dans un tweet très partagé, un blogueur a accusé divers médias américains de «manipuler et déformer les données» au sujet des ouragans. Un argumentaire mêlant le vrai et le faux, et avec un certain nombre d’omissions.
Pour que les journalistes traitent la crise écologique sur le fond, Reporterre s’est joint à plusieurs médias et a élaboré une Charte des bonnes pratiques. Nous appelons la profession à s’engager à les respecter.
Alors que l’été 2022 a été le plus chaud jamais mesuré en Europe, cet été doit-il être considéré comme un point de bascule dans le traitement médiatique du climat ? Si de nouveaux engagements de grands groupes de presse traditionnelle fleurissent en cette rentrée scolaire, les signaux, à ce stade, traduisent plutôt une progression lente mais certaine de ces sujets qu’une rupture historique causée par des événements climatiques extrêmes.
transforment. Des dizaines de journaux, chaînes de télé et radio ont signé la "Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique" initiée par le média indépendant Vert. Les signataires s’engagent ainsi à revoir leur ligne éditoriale pour intégrer davantage les enjeux climatiques, à former leurs journalistes et faire évoluer leurs modes de fonctionnement.
On a beaucoup parlé des séquences Don't Look Up dans les médias. Parfois la satire permet de prendre conscience de notre réalité. Face à l’urgence écologique, la responsabilité des médias est immense. Leur rôle est d’abord d’informer mais aussi de permettre à un maximum de personnes de comprendre ce qu’il se passe, comment nous en sommes arrivés là, mais aussi comment nous adapter et atténuer le problème. En bref, créer les conditions d’un débat public et démocratique de qualité. Or, aujourd’hui, un Français sur deux estime que les médias n'accordent pas assez de place aux questions posées par le changement climatique et l’environnement et que le sujet est mal traité. Pourquoi le traitement médiatique de l’écologie n'est-il pas à la hauteur de l’urgence ? Et comment le changer ? Décryptage de Paloma Moritz.
Les médias à la plus forte audience doivent avoir un traitement des enjeux environnementaux à la hauteur de la situation. Pour les y aider, un collectif de médias, dont Reporterre, et de journalistes a élaboré une Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique.
TF1, France TV, M6 : aucun des géants de l’info télévisée n’a échappé à l’analyse — parfois piquante — de Climat médias. Depuis plus d’un an, le collectif citoyen les appelle à mieux traiter l’actualité climatique.
Ces derniers mois, on a vu différents « prestataires de contenus » s’engager à œuvrer pour une information scientifique destinée au grand public sur les questions climatiques. Changement des pratiques des météorologues (*), présence médiatique et discours intensifiés des scientifiques, débats dans diverses rédactions tant du côté de la presse « écrite » que des médias télévisuels et web. Les choses semblent enfin bouger. L’exemple de Radio France est significatif d’une démarche qu’il serait intéressant d’élargir au plus vite à l’ensemble des intervenants médias sur les questions climatiques.
Entre « effondrement » ou « bonnes nouvelles », comment traiter l’urgence environnementale ? Entretien croisé avec Yannis Richardt et Camille Legrand, respectivement fondateur du média Les Belles Nouvelles et fondateur du média Après l’effondrement.
Ils s’appellent «Reporterre», «Vert», «Climax» ou «Limite», et sont à l’avant-garde du récit de l’écologie et du réchauffement climatique. Optimisme, radicalité, critique sociale et technologique : chacun aborde le sujet avec sa propre ligne.
Je n’avais pas plus d’informations que ce que je lisais dans les médias. Pourtant, j’avais la certitude que cela se produirait, car je suis un réfugié syrien qui a été contraint de fuir en Europe moins de deux mois après l’entrée des forces russes en Syrie, le 30 septembre 2015. Je n’ai pas oublié ces événements déchirants.
Le prix mondial de la liberté de la presse de l'Unesco a été décerné mercredi à l'Association des journalistes du Bélarus (AJB) pour avoir sauvé plusieurs médias indépendants locaux de la répression du président Alexandre Loukachenko.
À Paris, à Londres et aujourd'hui à New York, les grands groupes de presse sont épinglés par des militants écologistes sur le traitement médiatique du climat. Si cette pression, nécessaire, peine encore à porter ces fruits, pour certains activistes elle est aujourd'hui contre-productive. Pour réussir, il faut "créer de nouveaux imaginaires", sortir du rôle de lanceur d'alerte et porter une vision plus politique et désirable, disent-ils.
Quel est l’impact des rapports du Giec ? La société, les médias et les politiques s’en saisissent-ils assez ? La voix des climatosceptiques porte-t-elle toujours autant ? Analyse avec Valérie Masson-Delmotte, co-présidente du groupe de travail I du Giec, centré sur les constats physiques de l’évolution du climat.
Ignorance, autocensure ou dépendance à la publicité : en France, les journalistes parlent très peu des questions climatiques ou de celles liées à l’effondrement du vivant. D’où cette question : pourquoi les médias français méprisent-ils autant la question écologique ?
Vincent Kanté, dit " Vinz " n’est pas inconnu des auditeurs·trices les plus assidus de Tarmac et d’autres grandes stations de radio. Après plus de dix ans à l’antenne, on ne le retrouve plus sur les ondes… La crise sanitaire du Covid-19 nous a changé la vie à tous et a provoqué un électrochoc chez certains. C’est le cas de Vinz qui, toujours dans le monde des médias, a décidé de s’engager sans compter pour la cause environnementale grâce à sa plateforme indépendante lancée cette année : Limit
Alors que la Cour pénale internationale (CPI) a déjà lancé une enquête sur d'éventuelles violences sexuelles commise par l'armée russe en Ukraine, des responsables onusiens réclament eux aussi des enquêtes indépendantes. Plusieurs témoignages recueillis par les médias et des ONG attestent de l'utilisation du viol comme "arme de guerre".
C’est l’affaire Galilée du XXIe siècle : la croissance économique des pays développés s’est-elle découplée des pressions environnementales ? Au cours de la dernière décennie, la réponse dominante (même si non prouvée) était : oui, les pays riches ont verdi leur croissance, ce qui signifie qu’elles peuvent désormais continuer d’augmenter leur PIB tout en réduisant leurs émissions. Cette illusion d’un consensus scientifique a servi d’épine dorsale à la plupart des politiques environnementales à travers le monde. Mais cette affirmation est-elle bien solide? Je défends que non depuis Decoupling debunked (2019) et je ne me suis jamais senti aussi confiant qu’après avoir lu le dernier rapport du GIEC sur l’« Atténuation du changement climatique. » Ce que j’ai l’intention de montrer dans cet article, c’est que l’affirmation rassurante selon laquelle le découplage est faisable, comme on peut le lire dans le résumé pour les décideurs et l’entendre en boucle dans les médias, est scientifiquement sans fondement.
La Russie utilise une panoplie de procédés de camouflage pour détourner l’attention de l’Occident de l’immense catastrophe humanitaire causée par son invasion en Ukraine. Selon l’analyste ukrainien Anton Chekhovtsov, spécialiste de l’extrême droite européenne, l’un des procédés utilisés par Moscou consiste à mettre l’accent sur le régiment ukrainien Azov, que les médias russes et pro-Kremlin décrivent comme un bataillon ou une milice « fasciste » voire « néonazie ». Ce texte provient d’un podcast que Desk Russie a transcrit et traduit.
Les accusations de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, qu’elles proviennent des autorités ukrainiennes, des médias ou d’ONG, se sont multipliées depuis l’invasion de l’Ukraine par les Russes, le 24 février.
Crise médiatique. Depuis plusieurs semaines, alors que les alertes du Giec passent toujours à la trappe des télévisions, radios et autres titres de presse écrite, des centaines de citoyen·es se mobilisent pour interpeller les médias sur leur manque de traitement du climat et du vivant. Voici un panorama de leurs revendications.
Sous pression en raison de plusieurs lois russes restreignant la liberté d'expression des médias, Novaïa Gazeta suspend ses publications en ligne et son édition papier jusqu'à la fin de la guerre en Ukraine. Le journal, dont le rédacteur en chef a reçu le prix Nobel de la Paix, était l'un des derniers bastions de la presse libre en Russie.
La question de la "neutralité" de l'Ukraine, l'un des points centraux des négociations avec la Russie pour mettre fin au conflit, est "étudiée en profondeur", a assuré dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans une interview à des médias russes.
Un témoignage de Roman Badanin, journaliste russe, chercheur, fondateur et rédacteur en chef des médias Proekt et Agentstvo, ancien rédacteur en chef de la plateforme numérique Forbes Russie, ancien rédacteur en chef de la chaîne de télévision Dozhd et de l’agence de presse RBC
Depuis le début de l'invasion russe le 24 février, des visages féminins qui résistent sur le territoire ukrainien sont partout dans les médias. À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, France 24 se penche sur l’engagement exceptionnel des Ukrainiennes dans la guerre.
Le silence. Voici quatre jours que le rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) a été publié, et, malgré ses conclusions alarmantes, il n’a suscité que très peu de réactions.
Le gendarme des communications russe, Roskomnadzor, a menacé de « limiter l’accès » à Facebook, vendredi 25 février. Il accuse le réseau social américain de censurer des médias russes ainsi que de violer les droits humains et des citoyens russes. « En conformité avec la décision du procureur général à l’égard du réseau social Facebook, à compter du 25 février Roskomnadzor adopte des mesures pour limiter son accès », a déclaré l’agence, sans préciser toutefois la nature des limitations.
Pour sensibiliser les citoyens au dérèglement climatique, il faut que les médias regagnent leur confiance, en redevenant généralistes et transparents, préconise le philosophe dans une tribune au « Monde ».
Que nous arrive-t-il ? Alors que des élections présidentielle et législatives se profilent, alors que les scientifiques ne cessent de nous alerter sur l’urgence climatique, sur l’effondrement du vivant, le travail médiatique n’est pas à la hauteur des enjeux.
"Chaque jour, nous constatons que YouTube est l'un des principaux vecteurs de désinformation en ligne dans le monde", dénoncent ces médias et ONG basés dans une quarantaine de pays comme les États-Unis (PolitiFact, The Washington Post), l'Espagne (Maldita.es), le Sénégal ou le Kenya (Africa Check).
Les températures hivernales ont fortement augmenté au cours des dernières décennies, bouleversant nos repères climato-météorologiques. Alors que les manifestations normales de l’hiver sont souvent perçues comme exceptionnelles, la douceur est à l’inverse banalisée dans les médias.

2021

Comme d’autres conférences climat avant elle, la COP26, qui s’est tenue à Glasgow début novembre 2021, aura pris l’allure d’un grand rassemblement tantôt critiqué pour la démagogie du contraste entre actions et discours, tantôt attendu pour l’impact qu’il aura sur les générations futures (en se promettant d’agir « avant qu’il ne soit trop tard »).
Conférence exceptionnelle avec Etienne Klein (philosophe des sciences & physicien) & Aurélien Barrau (astrophysicien & écologue). A l'heure où plus que jamais les individus sont en recherches de certitudes, plus que jamais la parole des scientifiques est remise en cause face aux médias & réseaux sociaux. Les croyances sont elles en train de supplanter les connaissances ? Un débat passionnant entre grands scientifiques.
Ce débat dépasse largement la problématique de l'obligation vaccinale, et risque de se poser fréquemment à l'avenir. Il est donc crucial de ne pas l'esquiver en le réduisant à sa dimension technique, scientifique ou juridique, comme c'est le cas actuellement dans les médias. Les crises sanitaires et environnementales rendent indispensable une rupture du mode de gouvernance
Pour certains observateurs et notamment certaines associations inquiètes du changement climatiques, les rédactions doivent transformer leur mode de fonctionnement afin de mieux couvrir cette crise, dont les conséquences sont au moins aussi multiples que celles du virus.
Images chocs, citations annonçant la fin du monde, chiffres terrorisants... Dans les médias, la question climatique est majoritairement abordée avec sensationnalisme. Si cette couverture participe à la sensibilisation du grand public, elle agit différemment selon les profils, provoquant paralysie, déprime ou indifférence. "Les journalistes doivent absolument se faire l’écho des ressources disponibles pour agir", appelle la journaliste Anne-Sophie Novel.
Après deux semaines intenses de tractations et une journée de prolongations, la COP26 a accouché de timides avancées. Au Royaume-Uni, certains médias voient le verre à moitié plein, quand d’autres le voient à moitié vide, voire totalement vide.
Atteindre la neutralité carbone, améliorer l'adaptation au changement climatique… Que signifient ces expressions utilisées à foison par les institutions et les médias ? France 24 décrypte plusieurs d'entre elles, primordiales pour comprendre les enjeux de la COP26 sur le réchauffement de la planète.
Chers éditeurs de médias du monde entier, Fonte des glaciers, feux de forêt, sécheresses, canicules meurtrières, inondations, ouragans, perte de biodiversité. Ce sont tous les symptômes d’une planète déstabilisée, qui se produisent autour de nous en permanence. ...
Savez-vous que les pétroliers ont dépensé beaucoup d’argent pour semer le doute sur le dérèglement climatique, auprès des médias, des universités, alors même que leurs études réalisées en interne prévoyaient le réchauffement de la planète et ses conséquences catastrophiques ?
C'est chaud. A l’heure où certains médias s’interrogent sur leurs responsabilités dans la création du « phénomène » Zemmour, la profession se questionne également sur son traitement des informations liées à l’urgence climatique.
L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et le groupe de médias France Médias Monde (FMM) ont uni leurs forces pour le Congrès mondial de la nature de l’UICN qui se tiendra du 3 au 11 septembre 2021 à Marseille, France.
The climate emergency is exploding in various parts of the world this week, but climate silence inexcusably continues to rein in much of the United States media.
Alerte maximale ! La planète est en feu et le pire est à venir préviennent les experts du Giec dans leur sixième rapport. Mais pour les médias mainstream, l'écologie passera toujours après le sport, l'économie et les micros-trottoirs sur le Covid. La preuve avec le JT de France 3 du dimanche 8 août.
Allemagne, Belgique, Afghanistan, Chine... Les inondations et autres catastrophes climatiques se succèdent dans le monde ces dernières semaines, sans pourtant faire l’objet de la même attention des citoyens et des médias. Analyse.
Depuis le début de l’année 2021 des témoignages de citoyens inquiets suite à la découverte de quantité importantes de biomédias, se multiplient sur les plages corses (France).
Le conseiller anti-Covid de la Maison Blanche, Anthony Fauci, a critiqué ce samedi les médias véhiculant des fausses informations sur les vaccins, affirmant qu’ la variole et la poliomyélite aurait été impossible avec la désinformation actuelle".
L’affaire de la fuite dans les médias du brouillon du rapport du GIEC sur le climat pourrait être l’illustration d’une des principales causes de l’échec le plus patent de l’histoire de la communauté scientifique : ne pas être parvenus à sonner une alarme écologique effective pour l’humanité, suffisamment tôt et clairement pour engendrer une prise de conscience et une mobilisation générales.
Les éoliennes n’avaient déjà pas bonne presse depuis quelques années mais une nouvelle étape a été franchie, avec une recrudescence d’arguments faux ou malhonnêtes diffusés dans certains grands médias, presse écrite comme télévision. Dans ce contexte, il devient crucial de mettre en avant des analyses plus rigoureuses, dépassionnées, qui évitent le double écueil habituel : d’une part, l’outrance et la caricature dans la critique portée aux éoliennes ; d’autre part, la béatitude face à un système aux limites et revers incontestables.
A l’ère des réseaux sociaux et des théories du complot, le rôle des médias dans la diffusion de l’information scientifique est devenu un véritable enjeu démocratique. Il faut changer notre regard sur la «science», trop souvent sacralisée, pour mieux la critiquer.
Banalités sur les énergies renouvelables, poncifs sur le nucléaire… L’écologie, un sujet trop sérieux pour les journalistes et les politiques ? Rencontre avec Jean-Marc Jancovici, ingénieur spécialiste de l’énergie et du climat, Natacha Polony et Etienne Campion, journaliste à Marianne.

2020

L’ONG Reporters d’Espoirs a réalisé une étude qui analyse le traitement médiatique du changement climatique en France entre 2010 et 2019. Parue en juillet 2020, elle fait partie de l’initiative MédiasClimat, qui propose également un guide interactif destiné aux journalistes travaillant sur ce sujet. Voici les points saillants du rapport, ainsi que quelques conseils pratiques.
Dans l’étude « Comment les médias traitent-ils du changement climatique », parue en juillet 2020, l’association Reporters d’Espoirs constate que la prise de conscience des enjeux environnementaux et climatiques des Français s’accompagne d’une médiatisation qui est certes croissante, mais pas encore à la hauteur des enjeux.
L'étude annuelle, « BP Statistical Review of World Energy 2020 », est parue au mois de juin dernier. Pour la 69ème année consécutive, l'équipe d'économistes et de statisticiens de BP, a recueilli, vérifié et analysé les statistiques de l'énergie, en provenance du monde entier. Cette étude fournit aux chercheurs, aux entreprises, aux médias et aux politiques, une base de données mondiale exhaustive, sans équivalent.
La question de l’énergie et de ses crises sature l’actualité, les médias, comme les agendas politiques. Grand défi du présent, elle modèle nos modes de vie et nos rapports au monde à l’heure du triomphe du numérique, de l’électrification totale et du changement climatique. Longtemps, l’histoire de l’énergie a été ramenée à l’essor de la puissance rendu possible par le progrès technique, à un processus linéaire qui verrait les sociétés humaines maîtriser toujours plus leur environnement pour en extraire des ressources indispensables à leur fonctionnement.

2019

Bouleversés par le numérique, les médias ont eu tendance ces dernières années à lui attribuer un pouvoir magique. Mais faire l’apologie de la transformation technologique serait-il un moyen d’esquiver les enjeux écologiques et humains ? C’est cette incohérence entre éco-responsabilité et approche du numérique que sonde Jean-Jacques Valette, ancien rédacteur en chef adjoint de We Demain.
L’Association canadienne des journalistes (ACJ) a reconnu mercredi par voie de communiqué l’urgence de la crise climatique et invite les médias à repenser leur couverture médiatique du sujet. L’ACJ répond ainsi à son ancien vice-président, Sean Holman, qui dans une lettre ouverte proche du cri du coeur, appelait les médias généralistes à « parler moins des bébés royaux » du prince Harry et à déplier davantage les tenants et aboutissants de ce qu’il estime être une « catastrophe en cours ». La crise climatique doit-elle engendrer un autre type d’information ?
Trois groupes identifiés Si les médias dépeignent l’opposition classique entre « une jeunesse » idéaliste et « des adultes » inconséquents sur la question climatique, il convient de réaffirmer que LA jeunesse, en tant que groupe social homogène et uniforme, est une illusion.
Les médias, les scientifiques nous l’ont assez répété. Nous le savons mais nous nous taisons. Dans nos salles de classe, nous avons accepté trop longtemps d’enseigner le « développement durable », entretenant chez les élèves l’illusion que la situation était sous contrôle, prise au sérieux par les gouvernements du monde.

2018

2017

Comment bien former les journalistes pour bien informer le grand public sur les implications et les conséquences des changements climatiques ?

2012

Le pouvoir des journalistes. Peut-on se passer des journalistes pour parler de changement climatique ? Quelques généralités sur le fonctionnement d’un média. Le dossier du changement climatique est-il simple ? D’où viennent les journalistes (qui parlent éventuellement de changement climatique) ? Quels journalistes parlent de changement climatique ? Combien de journalistes parlent de changement climatique ? La presse est-elle vraiment indépendante ?