les Ressources Minières

OA - Liste

Les Ressources minérales (*)

Résultats pour:
alimentation crise

2024

Le conflit qui a éclaté en avril 2023 entre l’armée et les paramilitaires des Forces de soutien rapide a fait des dizaines de milliers de morts et provoqué le déplacement de plus de neuf millions de personnes, selon l’ONU.
Global Report on Food Crises (GRFC) 2024

2023

Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux. Dans ce numéro, nous nous arrêtons sur les signaux qui annoncent une crise alimentaire mondiale : la production du riz, aliment principal de quelque 4 milliards de personnes sur la planète, est menacée. Les retombées géopolitiques d’un tel bouleversement pourraient être majeures.
Les Nations Unies (ONU) ont récemment lancé une campagne autour d'une légumineuse qui pourrait en théorie régler bien des problèmes.
Frappés par une vague de pénuries de certains fruits et légumes, les supermarchés britanniques sont contraints de rationner les quantités distribuées. Une situation qui devrait encore durer au point de faire craindre une hausse des prix. Mais comment le pays a-t-il pu en arriver là ? Si la plupart des responsables évoquent les mauvaises conditions météorologiques et la hausse des prix de l'énergie, certains observateurs pointent du doigt le Brexit.

2022

Lait, betteraves, tomates: il y a "urgence absolue" à ce que le gouvernement apporte des aides supplémentaires aux agriculteurs et industriels français, heurtés de plein fouet par la crise de l'énergie, a réclamé jeudi Christiane Lambert, présidente de la FNSEA, interrogée sur BFM Business. Alors que le gouvernement présente jeudi son plan de sobriété énergétique, destiné à préparer un hiver difficile sans gaz russe et avec de nombreux réacteurs nucléaires arrêtés, le syndicat agricole majoritaire plaide pour que l'Etat préserve la chaîne de production de l'alimentation, "besoin premier des Français".
Passage à viande. Au lendemain de la journée mondiale du végétarisme, et si on levait le pied sur la bidoche pour préserver le climat, la biodiversité, et notre propre santé ? Et par où commencer ?
Lait, sucre blanc, café, riz… De nombreuses denrées alimentaires manquent ou sont rationnées, sur fond d’inflation et de crise financière.
L’accord signé en juillet entre Kyiv et Moscou a permis à plusieurs cargos de quitter les ports de la mer Noire. Mais le rythme est trop faible pour vider les silos ukrainiens et les denrées ne vont pas vers les pays les plus menacés par les pénuries, qui seront au menu des discussions entre l’ONU, la Turquie et l’Ukraine.
Au moment où une nouvelle crise alimentaire s’installe dans le monde et devrait faire connaître un état d’« insécurité alimentaire aigüe » à entre 20 et 40 millions de personnes supplémentaires en 2022[1], il importe d’identifier les causes de cette détérioration de la situation humanitaire mondiale. Peut-on en faire porter la responsabilité uniquement à Vladimir Poutine et à l’invasion de l’Ukraine par la Russie ? Ou existe-t-il (aussi) des causes structurelles ou politiques ?
Le secteur financier comme les institutions internationales se préparent à une recrudescence sans précédent des troubles sociaux aux quatre coins du monde. La flambée des prix de l’énergie et des denrées alimentaires fait grimper le coût de la vie à des niveaux astronomiques.
La flambée des prix de l'alimentation et de l'énergie dans le monde a fait plonger dans la pauvreté depuis mars et en seulement trois mois 71 millions de personnes vivant dans des pays à revenus faibles, indique un rapport du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) publié jeudi.
La Russie contrôle 22% des terres agricoles ukrainiennes et la guerre menace les moissons prévues cet été, ce qui pourrait encore aggraver la crise alimentaire mondiale, estiment des chercheurs de la Nasa.
La crise alimentaire mondiale déclenchée par la guerre en Ukraine va faire des millions de victimes en rendant de larges populations plus vulnérables aux maladies infectieuses, au risque de déclencher une nouvelle crise sanitaire, a averti le responsable du Fonds mondial, organisation qui lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose.
Face à la pénurie de riz, plusieurs pays souhaitent en acheter à l’Indonésie. Dans le “Jakarta Post” des experts indonésiens se montrent sceptiques quant aux capacités d’export du pays.
En attendant, 70 % des sols de l’UE sont aujourd’hui en mauvaise état, et 80 % de ces surfaces sont des terres agricoles ou des prairies. Nous perdons les pollinisateurs à un rythme effréné, et cela constitue une menace plus importante que le conflit en Ukraine pour notre sécurité alimentaire à long terme. En effet, 75 % des cultures vivrières mondiales dépendent de la pollinisation animale. En Europe, 5 milliards d’euros par an dépendent directement de la pollinisation animale.
La crise alimentaire mondiale se profile. Depuis la crise sanitaire, les français redécouvrent les pénuries de matières premières mais depuis quelques mois, ce sont les denrées alimentaires qui sont touchées.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky alerte sur les risques de pénuries alimentaires provoqués par le blocage des ports ukrainiens. Selon lui, ce dernier pourrait avoir des conséquences gravissimes et provoquer une “terrible crise alimentaire”.
Dérèglement climatique, pandémie de Covid-19, hausse démographique : les causes de la crise alimentaire actuelle étaient déjà nombreuses. Depuis le mois de février, s’ajoute désormais le conflit entre la Russie et l’Ukraine, deux pays majeurs dans la production et l’exportation de blé. Le prix de la tonne est passé de 300 à 450 euros en trois mois. Un record, qui pourrait avoir des conséquences dramatiques sur notre alimentation. Pourquoi le blé est-il au cœur de la crise alimentaire? Comment est-il devenu un enjeu géostratégique ? Et à quoi doit-on s’attendre dans les mois à venir ? Sébastien Abis, chercheur associé à l’IRIS et directeur général du Club Déméter, répond à nos questions.
Les sanctions contre la Russie, le changement climatique et les restrictions sur les exportations engendrent une forte pénurie des engrais qui met les agriculteurs du monde entier en difficulté, et qui pourrait bien engendrer une grave crise alimentaire.
L'Amérique latine et les Caraïbes sont menacées par une crise alimentaire, conséquence de la guerre en Ukraine qui relance l'inflation dans une région qui n'a pas encore surmonté le choc de la pandémie de coronavirus, a averti mardi le Programme alimentaire mondial (PAM).
Moscou se défend de bloquer délibérément les exportations de blé ukrainien et assure que les pays les plus dépendants des importations de céréales, qui sont ses “amis”, ne manqueront de rien.
Selon les derniers chiffres de l’ONU, 276 millions de personnes dans le monde sont confrontées à une insécurité alimentaire grave. Un chiffre qui a doublé en seulement deux ans, soit depuis le début de la pandémie de Covid-19. Mais, aujourd’hui, avec l’impact du conflit en Ukraine, il est très probable que l’insécurité alimentaire grave touche un nombre encore plus important de personnes.
Des centaines de milliers de tonnes de blé étaient bloquées ce mardi dans un grand port indien en raison de l'interdiction d'exporter la céréale annoncée ce week-end par New Delhi, qui a invoqué la forte inflation et la sécurité alimentaire.
Emma Haziza est hydrologue, spécialiste de la résilience des territoires face aux risques climatiques extrêmes. Fondatrice de Mayane, centre de recherches appliquées dédié à l'adaptation climatique.
L'Inde a annoncé interdire les exportations de blé face aux vagues extrêmes de chaleur dans le pays.
L'Inde a annoncé samedi interdire les exportations de blé face à la baisse de sa production, due notamment à des vagues extrêmes de chaleur, une décision qui va "aggraver la crise" d'approvisionnement en céréales avec la guerre en Ukraine, s'alarme le G7.
Le secrétaire général de l'ONU a déclaré mercredi qu'il cherchait à faire revenir sur les marchés mondiaux les productions agricoles ukrainienne et russe, pour aider à mettre fin à la crise subie par les pays émergents depuis l'offensive russe en Ukraine. "Il n'y a vraiment pas de vraie solution au problème de la sécurité alimentaire mondiale sans un retour de la production agricole ukrainienne et de la production alimentaire et d'engrais de la Russie et du Bélarus sur les marchés mondiaux en dépit de la guerre", a déclaré Antonio Guterres lors d'une visite à Abuja avec le président nigérian Muhammadu Buhari.
Le secrétaire général de l'Onu a déclaré mercredi qu'il cherchait à faire revenir sur les marchés mondiaux les productions agricoles ukrainienne et russe, pour aider à mettre fin à la crise subie par les pays émergents depuis l'offensive russe en Ukraine.
L’insécurité alimentaire est en hausse « alarmante » dans le monde, selon un rapport publié le 4 mai par le Réseau mondial contre les crises alimentaires (GNAFC), mis en place par l’Union européenne, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM).