les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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2024

En 2024, le jour du dépassement est le 1er août, selon l’ONG Global Footprint Network. A compter de cette date, l’humanité prélève plus de ressources que la planète ne peut générer en un an. Natacha Gondran répond à nos questions.
Le cadre mondial de référence pour la décarbonation du secteur privé reconnaît que les crédits carbone sont "inefficaces".
À compter de ce 1er août, l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la Terre peut générer en une année. Ce « jour du dépassement » illustre l’immense pression que les humains infligent continuellement à la planète. Calculée tous les ans par l’ONG Global Footprint Network, la date de ce jour symbolique signifie qu’environ 1,75 Terre serait nécessaire pour couvrir le mode de vie actuel de l’humanité. En d’autres termes, lors des 5 prochains mois, les ressources naturelles consommées par l’activité humaine ne pourront être régénérées par la planète bleue, créant des tensions qui s’accumulent année après année. « Bien que cela puisse sembler contre-intuitif, actuellement il est possible de consommer plus que ce que la nature régénère, dans la mesure où nous pouvons par exemple couper les arbres plus rapidement qu’ils ne repoussent, surexploiter les stocks existants de poissons, etc. De cette manière, comme en comptabilité financière, on peut dépenser plus que ce que l’on gagne », explique Mathis Wackern
Le marché des crédits carbone souffre d'une mauvaise réputation, mais tout n'est pas à jeter. Des pistes de réforme sont déjà à l'étude.
Microsoft s'est engagé mardi à un achat record de crédits carbone auprès de 1PointFive, une filiale d'Occidental Petroleum, alors que les géants des technologies peinent à concilier leurs investissements massifs dans l'intelligence artificielle (IA) avec leurs objectifs environnementaux.L'accord porte sur 500.000 tonnes de crédits d'élimination du dioxyde de carbone (CDR) sur une période de six ans, d'après un communiqué de 1PointFive.
Le marché multiplie les controverses, mais constitue aussi l'une des rares sources de financement pour les pays du Sud.
Cet outil de financiarisation avait été présenté comme un moyen de protéger l’environnement et de parer au changement climatique. Mais “The Guardian” a pu constater qu’au Zimbabwe les crédits carbone ont surtout enrichi des spéculateurs, au large détriment des populations locales.
Contre la destruction de l'océan, du climat et des pêcheurs artisans
La compensation des émissions de GES peut être un outil efficace pour limiter le réchauffement climatique. Mais plusieurs projets compensatoires ne réalisent pas leurs objectifs de réductions de GES.
2 pour 1. Pour une tonne de CO2 capturée et séquestrée, les acheteurs, des producteurs de sables bitumineux, pouvaient compenser le double.
Des projets censés compenser les rejets de CO2 reposent sur du vent.
Ce samedi 23 mars, notre pays a épuisé son crédit de ressources naturelles que la Terre est capable de produire en un an. En d’autres termes, il nous faudrait plus de quatre planètes si toute l’humanité vivait comme un belge moyen. Cette date arrive quatre mois avant celle du Jour du Dépassement de la Terre, qui tombera le 25 juillet cette année.
Les crédits carbone ont fait des émules. Il existe aujourd’hui sur le marché tout un tas de crédits pour “protéger” l’océan, la forêt, les pandas… Les entreprises désireuses d’afficher une bonne empreinte environnementale acquièrent ces crédits dont la fiabilité n’est pas toujours démontrée. Tout l’enjeu est de ne pas répéter les erreurs du marché carbone.
“100% plantaardig!”, “CO2-neutraal geproduceerd”, “Gecertificeerd voor duurzaamheid”… Klinkt goed, toch? Maar let op: wat bedrijven op hun verpakkingen en in hun marketinguitingen claimen, is niet altijd wat het lijkt. Greenwashing, oftewel het misleidend presenteren van producten of diensten als duurzaam, is helaas een wijdverspreid probleem.
Financer le remplacement d'un foyer de cuisson traditionnel par un système moins émetteur de fumée toxique et de CO2 dans les pays en développement peut permettre d'obtenir des crédits carbone, mais les bénéfices environnementaux revendiqués par ces projets sont largement surestimés, révèle une nouvelle étude.
Quel est le point commun entre le casse du siècle de Marco Mouly et la compensation des émissions d'un vol en avion ? Le carbone. Mais pour le reste, les sulfureux quotas carbone et crédits carbone, souvent confondus, sont des mécanismes différents.

2023

Au lendemain de l’accord trouvé par la COP28 à Dubaï, le groupe bancaire, l’un des principaux en Europe, annonce ce jeudi 14 décembre qu’il ne financera plus de nouveau projet d’extraction d’énergies fossiles.
Une longue file d'attente qui serpente à l'entrée du site, aux portes du désert: la dure réalité de la popularité des COP s'est imposée aux dizaines de milliers de délégués, observateurs et journalistes accrédités à la COP28 de Dubaï.
Le marché volontaire du carbone représente plus de 2 milliards de dollars. Mais les résultats sont principalement réalisés sur papier et non dans la réalité physique du système climatique. Illusion que la lutte contre le changement climatique progresse... à cause d’une comptabilité carbone trompeuse.
Les crédits carbone forestiers sont désormais considérés par diverses études scientifiques comme sans effet positif pour le climat. Retour sur l'avènement de cet outil de compensation carbone et ses limites vite atteintes.
Selon une étude parue ce jeudi 24 août, les crédits carbone émis sur la base de projets de protection de la forêt ne sont pas fiables. Un autre article publié mercredi pointe le danger que représente la chaleur pour les feuilles des arbres.
Ce mercredi 2 août, l'humanité aura consommé toutes les ressources que la Terre est capable de produire en un an, marquant le "Jour du dépassement". Pour pouvoir continuer à consommer à ce rythme, les capacités de 1,7 planète seraient nécessaires, estime mardi le Fonds mondial pour la nature (WWF-Belgique).
Le biochar décolle depuis quelques mois en France. Ce produit issu de la pyrolyse de matière organique multiplie les promesses : stockage de CO2, rétention d'eau, apport en nutriments, aération du sol... Il permet surtout de rapporter gros sur le marché des crédits carbone. Certains craignent que cette solution, reconnue par le Giec, ne soit utilisée de façon contre-productive, au risque de jeter le discrédit sur l'ensemble de la filière.
Selon une nouvelle étude, nous accumulons chaque semaine l'équivalent d'une carte de crédit de microplastiques provenant principalement de l'air et de l'eau. L'étude révèle aussi que ces derniers ont tendance à s’accumuler dans la cavité nasale et à l’arrière de la gorge.
À partir de novembre 2023, les promoteurs britanniques auront l’obligation de compenser l’impact de leurs projets sur la biodiversité à hauteur de 110% pour obtenir leur permis de construire. Pour cela, ils pourront notamment acheter des crédits biodiversité sur un marché réglementé. Une décision qui fait polémique, alors que la fiabilité des crédits carbone, leurs pendants pour les émissions de CO2, est largement décriée.
Backed by the UN, an alliance of conservationists and policymakers is devising new ways to finance the preservation of biodiversity by placing economic values on ecosystems. Some analysts say such schemes have the potential to boost conservation, but others are skeptical.
CUNNAMULLA, Australia — Carol Godfrey gazed out her helicopter cockpit at the miles of mulgas glowing green and gold in the dawn light. For decades, the bushy trees had been little more than a last resort for farmers needing to feed their cattle in the arid Outback. But recently, the humble mulgas have become a hot commodity. It’s not the hardwoods themselves that are valuable, however. It’s what they store: carbon.
De nouvelles enquêtes publiées ces derniers jours ont démontré une nouvelle fois le manque de fiabilité des crédits carbone, utilisés notamment par les grandes entreprises pour compenser leurs émissions de CO2 au lieu de les réduire. Un débat qui n'est pas nouveau et qui jette l'opprobre sur ce marché. Mais la polémique pourrait accoucher d'un marché des crédits carbone plus exigeant car tout n'est pas à jeter.
Une enquête du «Guardian» révèle que la méthode principale utilisée par les grandes entreprises pour se dire neutres en carbone serait peu efficace. Pointé du doigt, l’organisme de certification Verra dénonce des «erreurs»
Investigation into Verra carbon standard finds most are ‘phantom credits’ and may worsen global heating