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2024

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit vendredi travailler à un nouveau plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine, tout en continuant de se renforcer sur le plan militaire pour pouvoir forcer la Russie à accepter une "paix juste".
Un appel à la participation et au dialogue "entre toutes les parties" a marqué le premier sommet international pour la paix en Ukraine, qui s'est tenu ce week-end à Genève en l'absence de la Russie. Forte du soutien de la très grande majorité des participants, la déclaration finale réaffirme également "les principes de souveraineté, d'indépendance et d'intégrité territoriale de tous les États, y compris l'Ukraine".
La vaste majorité des pays réunis au Bürgenstock ont réitéré dimanche leur soutien à l’indépendance et la souveraineté territoriale de l’Ukraine. Ce rendez-vous diplomatique est un succès pour le président ukrainien même si les Brics n’ont pas voulu signer la déclaration finale, note la presse internationale.
"L'Europe n'est plus un continent de paix" depuis le début de l'invasion de l'Ukraine, a estimé le président Volodymyr Zelensky vendredi devant les députés français, qualifiant le président russe Vladimir Poutine "d'ennemi commun" de son pays et de l'Europe.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en visite à Madrid, a appelé l'Occident à "user de tous les moyens" pour contraindre la Russie à la paix.
Courant 2024, cet outil européen financera à hauteur de 5 milliards d’euros des cessions de matériels ainsi que des commandes de munitions, missiles ou drones pour le compte de Kiev.
À l'occasion d'une rencontre à Istanbul avec Volodymyr Zelensky, vendredi, Recep Tayyip Erdogan s'est dit prêt à accueillir un sommet Russie-Ukraine. Le président turc se présente depuis le début du conflit comme un intermédiaire entre les belligérants. Il a toutefois réitéré son soutien à l'intégrité territoriale de l'Ukraine, son "allié stratégique".
La Suisse a accepté d'organiser à la demande de l'Ukraine un "sommet" de haut niveau sur la paix, ont annoncé lundi les présidents des deux pays lors d'une conférence de presse à Kehrsatz, près de Berne, la capitale helvétique.
Les signaux envoyés ces derniers temps par le Kremlin donnent du crédit à l’hypothèse d’une volonté russe de geler le conflit. Une telle solution signerait l’échec de toutes les parties impliquées dans la guerre depuis février 2022, estime l’hebdomadaire britannique “The Spectator”. Mais elle semble aussi la plus réaliste de toutes.

2023

Dans une tribune publiée dans le « Wall Street Journal » le lundi 25 décembre, le Premier ministre israélien explique, qu’à ses yeux, une paix ne pourra intervenir que si le Hamas est «détruit», et Gaza «démilitarisée».
Il y a quelques jours, le Hamas a proposé d'échanger les 230 otages retenus dans la bande de Gaza contre "tous les prisonniers palestiniens en Israël". Parmi eux, Marwan Barghouti, condamné à perpétuité en 2004 pour des attentats en Israël et souvent présenté comme l'homme de l'unité politique palestinienne.
Kyriakos Mitsotakis a annoncé dans son discours annuel de rentrée, samedi, un renforcement du rôle de l’armée dans la lutte contre les conséquences des catastrophes naturelles.
Le Danemark accueille samedi une réunion organisée dans le plus grand secret par l’Ukraine et rassemblant plusieurs pays, y compris certains restés neutres après l’invasion russe, pour discuter des moyens de parvenir à une “paix durable”.
Le gouvernement chinois a publié ce vendredi un document en 12 points, un an pile après le début de l’invasion russe, dans lequel il appelle les deux bélligérants à reprendre le dialogue et rejette tout recours à l’arme nucléaire.

2022

En faisant planer l'alternative menaçante d'une guerre dont tous les acteurs seraient perdants ou d'une paix impossible dans un monde perpétuellement instable, la crise climatique bouleverse la structure même des rivalités géopolitiques.
Centre de documentation et de recherche sur la paix et les conflits
Une carte blanche rédigée par les membres du Groupe du 24 février de Bruxelles (voir la liste ci-dessous). Le 24 février dernier, la Russie envahissait de façon massive l'Ukraine, faisant suite à l’annexion illégale de la Crimée et à la guerre hybride dans le Donbass depuis 2014. Des voix de plus en plus nombreuses appellent les Ukrainiens à accepter des concessions territoriales pour mettre fin au conflit – provoquant des réactions indignées de la part des Ukrainiens qui s’y opposent dans leur très large majorité.
Dans un entretien au « Monde », la juriste et spécialiste de droit international et humanitaire Valérie Cabanes explique pourquoi elle a participé à un comité de juristes internationaux qui propose une définition de l’écocide directement inspirée des crimes de guerre contre l’environnement.
Le 27 mai 1997, la Russie et l'Otan pensent tourner la page de la guerre froide avec l'Acte fondateur, un accord de coopération visant à instaurer "une paix durable et inclusive". Alors que les combats font rage en Ukraine, retour sur une époque où l'Alliance atlantique et Moscou ne se considéraient plus comme des ennemis.
L'interaction dangereuse des crises environnementales et sécuritaires représente un risque complexe pour la paix mondiale et annonce une nouvelle ère de risques imprévisibles auxquels nos décideurs ne sont pas suffisamment préparés.
La Russie a reçu le plan de paix proposé par l'Italie et est en train de l'étudier, a déclaré lundi le vice-ministre russe des Affaires étrangères Andreï Roudenko, cité par les agences russes.
Les positions occidentales de soutien à l'Ukraine divergent de plus en plus entre les Anglo-saxons et les Européens de l'Ouest, les premiers poursuivant un objectif stratégique d'affaiblissement de la Russie dont les conséquences potentielles inquiètent les seconds. Joe Biden et Emmanuel Macron résument à eux deux cette discordance. Le président américain a déclaré le 26 mars que Vladimir Poutine "ne peut pas rester au pouvoir", tandis que le Français a dit le 9 mai que la paix ne se ferait pas dans "l'humiliation" de la Russie.
Depuis plusieurs jours, cette petite république autoproclamée coincée entre la Moldavie et l’Ukraine est au cœur des tensions. Beaucoup redoutent que Moscou ne cherche à faire entrer dans le conflit ce petit État prorusse. Le quotidien “La Repubblica” s’est rendu sur place pour parler aux habitants de ce “non-pays”.
Moscou va poursuivre les négociations de paix avec Kiev, a assuré lundi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, tout en accusant l'Ukraine de "faire semblant" de discuter et mettant en garde contre le danger "réel" d'une troisième guerre mondiale.
It’s time for US and European foreign policy to be reframed in the context of addressing climate change. People around the world must better understand that a healthier world where all forms of energy are appropriately utilized requires a world that focuses first on peace. Without working toward peace as the first step, international efforts to tackle global climate change and promote renewable energy and sustainable development cannot progress.
Sous pression en raison de plusieurs lois russes restreignant la liberté d'expression des médias, Novaïa Gazeta suspend ses publications en ligne et son édition papier jusqu'à la fin de la guerre en Ukraine. Le journal, dont le rédacteur en chef a reçu le prix Nobel de la Paix, était l'un des derniers bastions de la presse libre en Russie.
Des yeux rouges pleurant constamment et douloureusement, la peau du visage et des mains qui pèlent. Ce sont, selon le Wall Street Journal, les symptômes dont l’oligarque russe Roman Abramovitch ainsi qu’au moins deux négociateurs de paix ukrainiens auraient souffert après avoir vraisemblablement été empoisonnés à Kyiv au début du mois.
Le plus grand piège serait – comme nous l’avons vu dans d’autres conflits – de s’accoutumer à un nouveau seuil de violence, avant de passer à d’autres considérations, d’autres préoccupations.
Yannick Quéau, directeur du GRIP (Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité), et le politologue Tanguy Stuye sont les invités de Maxime Binet ce vendredi matin dans Il faut qu'on parle sur DH Radio. Il a évidemment été question des trois sommets sur fond ukrainien qui se sont déroulés hier à Bruxelles et qui ont réuni l'Otan, l'Union européenne et le G7.
Et si avec la guerre en Ukraine, le nucléaire vivait une épreuve de vérité décisive ? Cette technologie a été conçue pour être développée dans un temps de paix et de stabilité sociale. Or, l'évènement ukrainien souligne qu'un tel postulat est non seulement illusoire, mais moralement inconséquent. L'imprévisibilité historique nous oblige à réexaminer les conditions de possibilité du nucléaire