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2024

« Moment historique » pour le président du Conseil européen, Charles Michel, « jour historique » pour Volodymyr Zelensky : les superlatifs n’ont pas manqué pour saluer l’ouverture de ces négociations attendues avec impatience à Kiev, plus de deux ans après le début de l’invasion russe.
Les 27 pays de l'Union européenne ont confirmé l'ouverture mardi prochain de négociations d'adhésion avec l'Ukraine et la Moldavie, a annoncé vendredi la présidence belge du Conseil de l'UE sur le réseau X.
Le président russe Vladimir Poutine a de facto fixé vendredi la reddition de l'Ukraine comme condition pour des pourparlers, à la veille d'un sommet en Suisse consacré aux moyens d'arriver à la paix et dont la Russie est exclue.
Les négociations sur un accord de prévention et de lutte contre les pandémies sont prolongées au maximum pour un an, afin de surmonter les différends et sauvegarder les acquis, ont décidé les pays membres de l'OMS samedi à Genève.
Après plus de deux ans de travail pour tenter d'arracher un traité sur la prévention et la lutte contre les pandémies, les négociations ont pris fin vendredi, sans accord.
La 4ᵉ session de négociations internationales (INC 4) pour parvenir à un traité contre la pollution plastique se déroule actuellement au Canada. Les 175 pays réunis à Ottawa ont jusqu’au 29 avril pour avancer sur une version du traité. Le document provisoire de travail (zero draft), tel qu’il a été élaboré lors de la 3ᵉ session à Nairobi, ressemble pour l’heure surtout à un catalogue de toutes les options possibles sur lesquelles il va falloir trancher. 196 lobbyistes inscrits aux débats Deux blocs s’opposent (...)
Des microplastiques dans notre eau de bouteille. Et donc dans notre corps. C’est l’une des dernières alertes qui a retenti dans les médias. Le plastique est nocif pour notre planète et pour notre santé. On le sait, et pourtant sa production continue à augmenter. 174 pays négocient en ce moment à Ottawa (Canada) pour mettre le holà, via un traité international contraignant visant à réduire la pollution plastique. En principe, du moins.
Parvenir au premier traité mondial contre la pollution plastique : c'est le but des négociations internationales qui reprennent mardi à Ottawa, au Canada, mais de nombreux points de désaccord restent encore à trancher. L'objectif fixé en 2022 est de finaliser ce texte d'ici la fin de l'année pour lutter par des mesures concrètes contre la prolifération de déchets qui inondent la nature, du fond des océans au sommet des montagnes.
Les négociations mondiales pour discuter de mesures concrètes pour lutter contre les déchets plastiques, qui inondent la nature du fond des océans au sommet des montagnes, ont repris mardi à Ottawa au Canada. "Le message est clair. Le monde compte sur nous pour mettre en place un nouveau traité qui guidera les actions et la coopération internationale nécessaires pour un avenir sans pollution plastique" a déclaré Luis Valdivieso, le président du Comité international de négociations (INC) de l'ONU-Environnement.
Les négociations mondiales pour discuter de mesures concrètes pour lutter contre la pollution plastique, qui inonde la...
Le mercredi 10 avril, les députés européens ont donné leur feu vert au “pacte migratoire” qui réforme la politique des 27 États membres en matière de gestion des flux de demandeurs d’asile. Un changement longuement attendu, mais qui est loin de satisfaire tout le monde.

2023

Jeudi 14 décembre, réunis dans le cadre du Conseil européen, les leaders des 27 États membres ont décidé que les négociations officielles pour faire entrer Kiev dans l’UE pouvaient commencer.
La COP28, censée se terminer mardi, semble bien partie pour jouer les prolongations alors qu'un compromis sur les énergies fossiles est encore loin de se dégager à Dubaï. Le dernier projet d'accord mis sur la table est jugé par beaucoup trop faible pour répondre à la crise climatique.
Les pays membres de l'Opep bataillent contre toute formule prévoyant une "sortie" des énergies fossiles dans l'accord en cours de négociation à quelques jours de la fin de la COP28, provoquant des tensions et les vives réactions de la France et de l'Espagne notamment.
Un accord sur la fin du charbon, du pétrole et du gaz reste à trouver à la COP28 à Dubaï, mais les négociations s'accélèrent vendredi à Dubaï dans une atmosphère trépidante, le président émirati Sultan Al Jaber et les ministres des pays s'engageant pour la dernière ligne droite.- Pas encore pessimistes -"S'il vous plaît, finissons le travail!" a lancé Sultan Al Jaber vendredi matin aux négociateurs des pays, après la journée traditionnelle de pause de jeudi. Il a mis au travail quatre binômes de ministres des pays développés et du Sud pour débloquer les discussions.
Le chef de l'ONU Climat, Simon Stiell, a tancé mercredi les pays en négociations à la COP28 à Dubaï, les accusant de camper sur leurs positions à six jours de la fin prévue de la conférence."Nous avons un texte de départ sur la table, mais c'est un empilement de voeux pleins de postures", a dénoncé un sévère Stimon Stiell dans une courte conférence de presse.
Faut-il sortir des énergies fossiles ou vaut-il mieux encore une fois éluder la question? Toutes les options restent ouvertes au sixième jour de la 28e conférence de l'ONU sur le climat, tandis que le réchauffement climatique ne connaît pas de répit.- Options ouvertesLa deuxième version du texte qui servira de base de discussion en vue d'une adoption d'ici à la fin de la COP a été rendue publique mardi à 05H00 heure locale. Il synthétise en 24 pages les différentes options poussées par les quelque 200 pays qui négocient fiévreusement à Dubaï.
Les fossiles du matin au soir: le débat occupe les négociateurs en coulisses comme les tables-rondes et événements publics organisés à la COP28 à Dubaï, où la journée est officiellement consacrée à l'énergie.- Options ouvertesLa deuxième version du texte qui servira de base de discussion en vue d'une adoption d'ici à la fin de la COP28 a été rendue publique mardi à 05H00 heure locale. Il synthétise en 24 pages les différentes options poussées par les quelque 200 pays qui négocient fiévreusement à Dubaï.
Sur la défensive, le président émirati de la COP28 a réaffirmé lundi respecter la science climatique, qui préconise une baisse abrupte des émissions de gaz à effet de serre, mais le sort précis des énergies fossiles pour atteindre cet objectif était toujours loin d'être tranché. "Nous sommes ici parce que nous croyons et nous respectons la science", a déclaré Sultan Al Jaber dans une conférence de presse, à laquelle il avait convoqué Jim Skea, le président du Giec, le groupe d'experts climatiques mandatés par l'ONU.
Contre le charbon et le méthane, et pour le nucléaire et les renouvelables. Les pays réunis à la COP28 à Dubaï mettent les projecteurs samedi sur le monde énergétique de demain, parallèlement à de laborieuses négociations sur les moyens de parvenir à un monde sans énergies fossiles d'ici quelques décennies.- Tripler les renouvelables -C'est l'objectif qui a le vent en poupe: plus de la majorité des nations, au moins 118, veulent tripler les capacités d'énergies renouvelables (solaire, éolien, hydroélectricité, biomasse...) et doubler l'efficacité énergétique d'ici 2030.
Le 30 novembre marque le début de la COP28, une nouvelle saison de négociations climatiques mondiales. Malgré l’attention médiatique croissante sur ce rendez-vous annuel, une question persiste : l’effervescence réussira-t-elle à convaincre les pays de mettre en place des actions significatives pour protéger le climat ?
Le monde doit réduire voire sortir des énergies fossiles, propose une première version publiée vendredi d'un projet d'accord qui va maintenant être débattu puis adopté par les négociateurs de près de 200 pays pendant la COP28 de Dubaï.Les pays doivent préparer une "réduction/sortie des énergies fossiles", selon les termes de ce document préparé par le Royaume-Uni et Singapour, qui servira de base de discussion en vue d'une adoption d'ici la fin de la COP, prévue officiellement le 12 décembre.
La 28e édition de la Conférence des Parties sur les changements climatiques s’ouvre aujourd’hui aux Émirats arabes...
Lors du sommet à Dubaï, qui se tiendra du 30 novembre au 12 décembre, les négociations climatiques feront l’objet de vives discussions entre des blocs de pays regroupés par intérêts.
Chaque année, la COP (ou Conférence des Parties) sur le climat réunit pendant deux semaines des délégués venus du monde entier. Pour les représentants des États, c’est l’occasion de négocier les accords climatiques, comme le protocole de Kyoto (1997) ou l’accord de Paris (2015). De multiples évènements parallèles réunissent experts, représentants de la société civile et acteurs du monde économique. À l’extérieur de l’enceinte officielle, les militants battent le pavé, avec leurs pancartes dénonçant l’inertie des dirigeants face à l’urgence climatique.
Les négociations sur le climat font l'objet d'un bras de fer diplomatique continuel entre des blocs de pays regroupés par intérêts, mais parfois aussi divisés par les tensions géopolitiques.
Les mesures annoncées pour faciliter la présence des peuples autochtones à la COP28, qui s’ouvre jeudi 30 novembre à Dubaï, sont insuffisantes, estime sur le site de “Radio-Canada” la directrice d’Indigenous Climate Action. Elle veut plus : une voix dans le processus décisionnel.
Etats et industriels de la pétrochimie ont tenté pendant une semaine de concrétiser le premier traité mondial sur les déchets plastiques, en vain. Les ONG environnementales accusent certains pays d’avoir bloqué les maigres progrès.
Les négociations pour discuter de mesures concrètes pour lutter contre la pollution plastique ont débuté lundi au Kenya. Un large consensus existe sur la nécessité d'un traité, mais les positions divergent entre les différents pays, les défenseurs de l'environnement et les industriels du plastique.
Des représentants de 175 pays et des industriels de la pétrochimie se retrouvent à partir de lundi 13 novembre au Kenya pour tenter de négocier un traité mondial inédit sur les déchets plastiques.