les Ressources Minières

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nucléaire civil Belgique

2024

Le formateur fédéral Bart De Wever (N-VA) a informé Engie qu'il voulait parier "au maximum" sur l'énergie nucléaire, rapportent L'Echo et De Tijd jeudi. L'intention est que Doel 4 et Tihange 3 restent ouvertes plus longtemps que la prolongation de 10 ans convenue précédemment.
Le président du CD&V, Sammy Mahdi, a réitéré le soutien de son parti à la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires belges. "Nous ne devons pas penser de manière dogmatique", a-t-il déclaré mardi après-midi avant le début d'une session d'information du sommet de l'armée et de l'organisme de surveillance nucléaire FANC avec les autres partis de l'Arizona.
La majorité des partis vainqueurs des élections sont en faveur de l’énergie nucléaire.
Le 21 mars, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et le Premier ministre belge accueilleront des dirigeants mondiaux lors du tout premier sommet sur l’énergie nucléaire à Bruxelles.

2023

Sept anomalies nucléaires ont été recensés en Belgique en 2023, a indiqué vendredi l'Agence fédérale de Contrôle nucléaire (AFCN). Celles-ci étaient toutes classées au niveau 1 sur une échelle de 7.
L'accord a été validé en kern cette nuit, a confirmé David Clarinval au micro de LN24 ce mercredi matin.
Après vingt ans de débat politiques, l’accord prévoit notamment la prolongation des réacteurs de Doel 4 et Tihange 3 pendant dix ans.
Le groupe français Engie a confirmé mercredi son engagement à prolonger de dix ans, jusqu'en 2036, l'activité de deux réacteurs nucléaires en Belgique, dans le cadre d'une coentreprise à parts égales avec l'État belge, une configuration inédite. Un accord définitif a été signé, qui prévoit de "mettre en oeuvre les meilleurs efforts pour redémarrer les unités de Doel 4 et Tihange 3 dès novembre 2025", a déclaré Thierry Saegeman, patron d'Engie Belgique, lors d'une conférence de presse avec le Premier ministre belge Alexander De Croo.
La Belgique veut-elle sortir des énergies fossiles ? La Belgique veut-elle sortir du nucléaire ? En pleine COP 28, Ecolo et le MR affichent leurs divergences. Résultat, comprendre la politique belge de transition vers une énergie décarbonée relève de la dissonance cognitive.
Une vingtaine de pays dont les États-Unis, la France et les Émirats arabes unis ont appelé samedi, dans une déclaration commune à la COP28, à tripler les capacités de l'énergie nucléaire dans le monde d'ici 2050, par rapport à 2020, pour réduire la dépendance au charbon et au gaz, grand enjeu de cette COP.
L'Organisme national des déchets radioactifs et des matières fissiles enrichies (Ondraf) a analysé les coûts pour le stockage géologique des déchets nucléaires dans différents pays.
Le gouvernement fédéral et Engie ont confirmé vendredi soir le scénario "Flex-LTO", qui prévoit un redémarrage de Doel 4 et Tihange 3 à l'hiver 2025, comme scénario privilégié par les deux parties, a annoncé le cabinet de la ministre de l'Energie Tinne Van der Straeten.
Si d'autres réunions ont déjà été tenues, il s'agit du premier rassemblement organisé indépendamment d'un autre sommet européen.
L’ASN, le gendarme nucléaire français, a classé cet événement au niveau 2 de l’échelle INES, qui va de zéro à sept.
L'objectif est de garantir la sécurité d'approvisionnement pour les hivers 2025-2026 et 2026-2027.
La Belgique fermera mardi soir un réacteur nucléaire vieux de 40 ans à Tihange près de Liège (Est), le deuxième en quatre mois, dans le cadre de sa politique de sortie progressive de l'atome qui reste controversée.Il restera alors cinq réacteurs nucléaires en activité dans le pays, exploités par le groupe français Engie.La Belgique, qui en comptait sept jusqu'à l'été 2022, en a "débranché" un premier le 23 septembre à Doel, près du port d'Anvers (Nord).
Il est extraordinaire que les discussions autour de la prolongation des deux réacteurs nucléaires en Belgique n’évoquent guère la question. On ne peut pas oublier le coût des catastrophes comme celles de Tchernobyl, de Fukushima, de Three Misle Island et des autres.
L’accord de ce 40 décembre 2022 ne traduit finalement que l’accord intervenu entre le gouvernement fédéral et...
Le gouvernement belge et Engie ont annoncé lundi la signature d'un accord qui doit concrétiser la prolongation pour dix ans, à compter de novembre 2026, de deux des sept réacteurs nucléaires exploités en Belgique par le groupe français.Les deux parties négociaient âprement depuis des mois les conditions de cette prolongation décidée en mars 2022 par la Belgique pour garantir son approvisionnement en énergie au-delà de 2025, sur fond d'incertitudes liés à la guerre en Ukraine.
A l’heure d’écrire ces lignes, aucun accord n’a encore été annoncé entre le gouvernement fédéral et le groupe...

2022

Des manquements dans la politique de sécurité de la centrale nucléaire ont été observés.
Le Premier ministre, Alexander De Croo, s'est montré confiant à la Chambre sur les chances d'aboutir à un accord avec le groupe Engie sur la prolongation des réacteurs de Doel 4 et Tihange 3. Des négociations sont en cours sous la houlette du Premier ministre et de la ministre de l'Énergie, Tinne Van der Straeten. Les parties ont tracé à la fin juillet un cadre de discussion. Un accord est attendu d'ici la fin de l'année.
Engie Electrabel affirme que les analyses sont en cours pour expliquer l'arrêt inopiné du réacteur Tihange 3.
L’opérateur Engie mettra à l’arrêt vendredi soir l’un des quatre réacteurs de ce site situé dans le port d’Anvers. C’est le premier pas du pays vers la sortie du nucléaire.
Son démantèlement sera inévitable.
Les conditions reprises dans la lettre d'intention qu'a signée Engie avec l'Etat belge afin d'évaluer la faisabilité et les conditions de la prolongation des réacteurs nucléaires de Tihange 3 et Doel 4 pour une période de dix ans sont "indissociables". C'est qu'a indiqué vendredi le groupe énergétique français, qui exploite les différentes centrales nucléaires du pays, dans son communiqué de presse relatif à ses résultats financiers.
Des discussions entre le gouvernement fédéral et Engie étaient en cours depuis mars 2022 en vue de prolonger l’exploitation des réacteurs nucléaires Doel 4 et Tihange 3 pour une période de dix ans.
Les deux réacteurs nucléaires belges dont la durée de vie doit être prolongée de 10 ans en raison de la guerre en Ukraine seront exploités dans une coentreprise à créer entre l’État belge et le groupe français Engie, selon "un accord de principe" annoncé conjointement vendredi.
Le gouvernement a demandé à Engie de reporter la fermeture du réacteur de Tihange 2 du 1er février à fin mars 2023 pour aider à garantir la sécurité d'approvisionnement électrique cet hiver. Pour l'énergéticien, c'est trop tard, écrit Le Soir dans son édition de samedi.
Vu la durée du processus, la décision finale concernant le devenir de nos déchets nucléaires ne sera pas prise avant avril 2024. Les élections fédérales ayant lieu cette année-là, c’est donc le prochain gouvernement qui devrait trancher cette question délicate.