les Ressources Minières

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pétrole fossiles

2024

Volte-face au Royaume-Uni. La victoire écrasante du parti travailliste lors des législatives, avec 410 sièges remportés sur les 650 que compte la Chambre des communes, signe le retour sur la table d’une politique climatique audacieuse en matière de neutralité carbone et de désengagement du pays dans les projets pétro-gaziers.
Numerous prominent petroleum geologists have been warning for years about the resources limitations of oil both in the U.S. and globally.  It’s now looking like the wolf is nearing the door.
On croyait avoir tout vu durant le mois de Mai, car durant le mois de mai, fais ce qu'il te plait. Nos dirigeants se sont serrés les coudes pour être encore plus drôle en juin. Le monde a vraiment besoin de vacances, mais on ne sait pas où car entre sécheresses et inondations.
Le Sénégal est entré dans le cercle des pays producteurs d'hydrocarbures avec l'annonce mardi par la compagnie australienne Woodside Energy du début de l'extraction de pétrole du champ de Sangomar au large des côtes africaines."Woodside a procédé à la première extraction de pétrole du champ de Sangomar, menant à bien la livraison du premier projet pétrolier offshore du pays", a indiqué dans un communiqué la compagnie qui opère le champ avec la Société des pétroles du Sénégal (Petrosen).
L'exploitation d'un champ de pétrole et de gaz au large des côtes africaines a débuté pour le Sénégal qui espère atteindre une production de 100 000 barils par jour. Un chiffre modeste comparé aux géants mondiaux et africains, mais qui devrait générer des milliards de dollars de revenus et accélérer le développement de l'économie du pays.
Le gouvernement néo-zélandais a déclaré dimanche son intention de revenir sur une interdiction des nouvelles explorations pétrolières et gazières décidée en 2018, ce qui a provoqué l'indignation de l'opposition et de groupes de défense de l'environnement."Le gaz naturel nous est crucial pour nous éclairer et pour faire marcher notre économie, en particulier durant les pics de consommation", s'est justifié le ministre néozélandais de l'Energie et des Ressources naturelles Shane Jones, dans un communiqué.
Le Koweït a annoncé mercredi l'augmentation de sa capacité de raffinage à 1,8 million de barils par jour avec le démarrage officiel de la raffinerie d'Al-Zor, l'une des plus grandes au Moyen-Orient. Située à 90 kilomètres de la capitale du riche émirat du Golfe, la nouvelle raffinerie pouvant traiter 615.000 barils de brut par jour a été officiellement inaugurée mercredi, quelques mois après avoir atteint sa pleine capacité.
Le géant pétrolier américain ConocoPhillips a annoncé mercredi vouloir racheter son concurrent Marathon Oil, valorisé à 22,5 milliards de dollars dont 5,4 milliards de dette nette, au moment où le secteur fait face à des pressions sur la sortie des énergies fossiles face au changement climatique.
L'industrie pétrolière et gazière américaine poursuit sa consolidation avec une nouvelle fusion d'envergure: le géant ConocoPhillips a dévoilé mercredi une offre pour s'emparer de Marathon Oil, valorisé 22,5 milliards de dollars dette comprise, qui doit le renforcer dans les hydrocarbures de schiste.Tandis que la pression s'intensifie à travers le monde pour un abandon des énergies fossiles, les grands groupes américains se sont lancés depuis 2023 dans une vague d'opérations allant à contre-courant de la transition énergétique.
La nouvelle présidente de Petrobras, Magda Chambriard, a déclaré lundi que le géant brésilien du pétrole devait "accélérer" l'exploration de nouvelles réserves, y compris près de l'embouchure de l'Amazone, un projet décrié par les défenseurs de l'environnement. "Nous devons faire attention aux réserves et il est hors de question d'importer (du pétrole), c'est pourquoi il est nécessaire d'explorer de nouvelles frontières (...). Ces efforts doivent être accélérés", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse.
Les géants pétroliers TotalEnergies et Petrobras ont décidé de lancer l'extension de deux champs pétroliers au Brésil, a annoncé lundi dans un communiqué TotalEnergies, en "forte croissance" dans ce pays d'Amérique latine.
Le géant TotalEnergies a annoncé mardi le lancement d'un projet pétrolier situé au large des côtes angolaises, dont la production devrait débuter en 2028 avec l'objectif d'atteindre "un plateau de 70.000 barils de pétrole par jour".Dans un communiqué, le géant pétrolier indique que son PDG Patrick Pouyanné a rencontré lundi à Luanda le président de la République d'Angola, João Lourenço, ainsi que les PDG des entreprises partenaires ANPG et Sonango.
Le géant TotalEnergies a annoncé mardi le lancement d'un projet pétrolier situé au large des côtes angolaises, dont la production devrait débuter en 2028 avec l'objectif d'atteindre "un plateau de 70.000 barils de pétrole par jour".Dans un communiqué, le géant pétrolier indique que son PDG Patrick Pouyanné a rencontré lundi à Luanda le président de la République d'Angola, João Lourenço, ainsi que les PDG des entreprises partenaires ANPG et Sonango.
L'équivalent de 511 milliards de barils de pétrole auraient été découverts en Antarctique par la Russie, soit près du double des réserves connues de l'Arabie saoudite. Le Continent blanc est supposé intouchable, mais la crainte est forte que la trouvaille ne se transforme en bombe climatique et géopolitique.
Les patrons de TotalEnergies, ExxonMobil et QatarEnergy réunis au Forum économique du Qatar ont assuré mercredi que le monde aura besoin de gaz liquéfié (GNL) pour "très longtemps", écartant de fait le risque de surcapacité. "Je ne suis pas inquiet, je pense qu'il y a une place, une place claire pour le gaz dans la transition" énergétique, a déclaré Patrick Pouyanné, au côté du PDG du géant américain du pétrole, Darren Woods, et du ministre de l'Energie du Qatar, Saad al-Kaabi, également PDG du géant public des hydrocarbures QatarEnergy.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a revu mercredi légèrement à la baisse sa prévision de croissance de la demande de pétrole pour 2024, sous l'effet d'un repli constaté au premier trimestre dans les pays de l'OCDE et notamment en Europe.La demande mondiale de pétrole devrait ainsi croître de 1,1 million de barils par jour (mb/j) en 2024, soit 140.000 barils par jour de moins que prévu par l'AIE dans son précédent rapport mensuel. La demande totale cette année devrait dépasser les 103 mb/j, estime l'agence basée à Paris.
Donald Trump, le candidat de la droite américaine à la présidentielle, a promis à des dirigeants de compagnies pétrolières d'inverser les politiques environnementales du président Joe Biden s'il était élu en novembre, affirme jeudi le Washington Post.Le magnat républicain leur a par la même occasion suggéré de lever pas moins d'un milliard de dollars pour financer sa campagne, indique le quotidien, s'appuyant sur des sources anonymes pour relater cette rencontre qui s'est tenue en avril dans sa résidence floridienne de Mar-a-Lago.
La stratégie actuelle de transition énergétique "est un échec", a estimé lundi le patron du géant pétrolier saoudien Aramco, soulignant la faible proportion des énergies renouvelables dans l'offre mondiale."La stratégie actuelle de transition (énergétique) est un échec apparent sur la plupart des fronts", a lancé Amin Nasser, lors d'un entretien public organisé lors de la grande conférence mondiale sur l'énergie CERAWeek, à Houston (Texas).
Le gouvernement américain a annoncé mercredi avoir révisé des réglementations vieilles de plus de 40 ans concernant les émissions de gaz naturel de l'industrie pétrolière et gazière, afin d'"éviter" des "pratiques de gaspillage". Le gaz naturel est principalement composé de méthane, un puissant gaz à effet de serre que les Etats-Unis ont promis de réduire dans le cadre de leurs engagements climatiques.
Naufrage de l’« Erika », oléoduc géant en Afrique du Sud, désinformation... Alors que la major pétrogazière TotalÉnergies fête ses 100 ans, Reporterre vous retrace sa longue vie de méfaits écologiques.
Le géant pétrolier saoudien Aramco a annoncé dimanche une chute de 24,7% de ses bénéfices en 2023, une contraction qui s'explique par la baisse des prix du brut et des coupes de production. Fleuron de l'économie saoudienne, Aramco a indiqué dans un communiqué que ses bénéfices avaient atteint 454,7 milliards de riyals saoudiens (environ 121,25 milliards de dollars) en 2023, contre un record de 604,01 milliards de riyals (161,07 milliards de dollars) l'année précédente.
En 2020, le covid avait déstabilisé l’industrie pétrolière et gazière mondiale via une subite diminution de la demande, des préoccupations climatiques grandissantes, les menaces d’une transition énergétique et l’arrivée des voitures électriques. Après cet annus horribilis, les majors pétrolières prirent des mesures drastiques pour revenir sur la scène de manière plus dominatrice et tranchante que jamais. La survie de leur business model étant en jeu, elles ont stratégiquement recréé des alliances de circonstance avec les acteurs majeurs que sont la finance et le politique et n’hésitent plus à s’attaquer frontalement aux pressions environnementales.
In a previous post, I defined this graph as “the most amazing graph of the 21st century.” It shows how the US oil production restarted growing in 2010, picking up speed and surpassing the historical record of the “Hubbert Peak,” which took place in 1970. It overcame the dip caused by the Covid pandemic and, two years after my first post on this subject, it keeps growing.
La décision surprise fin janvier de l'Arabie saoudite de maintenir sa capacité de production de pétrole, renonçant à un projet initial de l'augmenter, reflète ses ambitions de développement dans d'autres formes d'énergies, a annoncé lundi le ministre de l'Energie du royaume.Le géant pétrolier Aramco avait annoncé le 30 janvier que le ministère de l'Energie lui avait ordonné de maintenir sa capacité de production à 12 millions de barils par jour (bpj), abandonnant l'objectif annoncé en 2021 de 13 millions de bpj d'ici à 2027.
Etienne Guyot, le préfet du département de la Gironde, va probablement trancher en faveur de la demande d’autorisation de l’entreprise Canadienne VERMILION REP de réaliser huit nouveaux forages pétroliers sur la concession de Cazaux dans la commune de La Teste de Buch. Selon l’enquête publique, menée sous la direction de Mme Carole Ancla, l’objectif de ces nouveaux forages est « d’atteindre des réserves pétrolières jusque-là non exploitées de la concession, afin de stabiliser la production et de viser à l’atteinte du rendement maximum du gisement imposé par le code minier »
Malgré les appels à tourner le dos aux énergies fossiles, le secteur des hydrocarbures, toujours accro au pétrole, est loin d'avoir entamé une "transformation sérieuse" pour contribuer à la lutte contre le changement climatique, selon un rapport du groupe de recherches Carbon4 Finance publié vendredi."Les entreprises pétrolières semblent ignorer les risques liés au changement climatique, et ne prévoient pas de réduire leur production de pétrole et de gaz à court, voire moyen terme", peut-on lire dans ce rapport destiné aux investisseurs.
BP, Shell, Chevron, ExxonMobil et TotalEnergies vont distribuer plus de 100 milliards de dollars de récompenses à leurs actionnaires pour l’année 2023, dépassant le record de 2022.

2023

La conférence sur le climat vient de se terminer à Dubaï sur un accord historique qui devrait marquer “le début de la fin” des énergies fossiles. Pourtant, le président de la COP28, Sultan Al Jaber, a affirmé poursuivre son investissement dans le pétrole.
En s’accordant sur une "transition hors des énergies fossiles" dont les contours manquent de clarté (cette transition étant ni contraignante, ni chiffrée), la COP28 rajoute du flou dans un marché déjà peu lisible. L’OPEP, le cartel du pétrole, a en effet annoncé début décembre une baisse volontaire de ses extractions pour soutenir les prix du baril et maximaliser les rentrées financières de ses membres. A l’opposé de cette stratégie, les extracteurs de schiste américains produisent à des niveaux records pour donner confiance à leurs investisseurs.
Le projet de texte proposé par la présidence émiratie de la COP28 ne parle pas de la fin des énergies fossiles. Il est rejeté par les Européens, les ONG, et les États menacés par la montée des eaux.