les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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2024

Une nouvelle étude sur le climat du futur et son incidence sur les ressources en eau de la France métropolitaine est dévoilée ce vendredi pour aider les territoires à s’adapter.
Des sècheresses plus longues aux inondations plus fréquentes, l'eau devient un sujet de préoccupation majeur. Les perturbations croissantes du cycle de l'eau mettent à rude épreuve les modes de gestion actuels, aussi bien techniques que politiques, hérités d'une période de moindre tension. La ressource hydrique, « l'or bleu », est une ressource à part. Essentielle à toute forme de vie, elle est aussi nécessaire pour presque tous les secteurs de l'activité humaine, de l'agriculture à l'industrie. Les (...)
Comme à Bogotá, où l’eau manque cruellement, l’humanité doit désormais apprendre à se priver de cette ressource essentielle. Une conséquence prévisible d’un réchauffement climatique que rien ne vient enrayer.
À l’échelle de la planète, seulement 3% de l’eau terrestre est de l’eau douce... À l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, zoom sur une ressource précieuse et pourtant menacée.
L’ouverture envisagée par Imerys, en 2028, d’une des plus grandes mines d’« or blanc » en Europe à Echassières, dans l’Allier, est défendue par le gouvernement et les élus locaux. Un débat public est organisé jusqu’en juillet.
L’essor de ChatGPT n’est que la face émergée de l’Intelligence artificielle (IA), qui s’insère un peu partout dans nos vies. En créant de nouveaux usages et en permettant aux grandes entreprises d’accélérer encore leur croissance, l’IA sera-t-elle le dernier clou à notre cercueil ?

2023

Selon une étude, une seule transaction Bitcoin consommerait 16 000 litres d’eau, soit l’équivalent d'une petite piscine.
La consommation d'eau en lien avec la fabrication des véhicules électrique se révèle être un véritable problème dans de nombreux pays.
Le convoi de vélos et tracteurs a rallié Orléans puis Paris depuis un village proche de Sainte-Soline. L'objectif : obtenir un moratoire sur les projets de méga-bassines mais aussi alerter sur les autres atteintes à la ressource en eau.
Est-ce un début de sortie de crise dans la bataille des mégabassines ? Le 4 juillet dernier, le comité de bassin Loire-Bretagne, le « parlement local de l’eau » a voté une motion qui incite à remettre à plat l’ensemble de ce dossier explosif. Par 137 voix et 1 abstention, les membres de cette instance – qui réunit 190 acteurs (État, collectivités locales, secteurs économiques et agricoles, associations) – ont approuvé le texte, demandant notamment que « chaque projet de retenue de substitution soit adossé à des engagements individuels et collectifs, pris par les exploitants agricoles irrigants, favorables à la transition agroécologique, avec obligation de résultat ».
Pour subvenir à ses besoins en eau, la métropole d’Aquitaine, qui voit ses nappes profondes s’épuiser, a mis en place un projet de champ captant sur la presqu’île du Médoc. Mais associations écologistes et sylviculteurs s’inquiètent.
Augmenter le prix d’une ressource est souvent un moyen efficace pour parvenir à une certaine sobriété.  Mais peut-on demander cet effort à tout le monde ? Pour l’eau, la question se pose légitimement à mesure que la sécheresse devient de plus en plus prégnante.
De part les chantiers qu’il engendre, le Lyon-Turin aura des impacts considérables sur la ressource en eau : drainage de quantités considérables d’eau, réduction du débit des sources et courts d’eau, perturbations irréversibles des cycles hydrogéologiques, etc. Pourtant, malgré ces risques, une étude du BRGM (2021) pointe les limites du système de mesure des débits mis en place par le promoteur TELT. Au cours des dernières années, plusieurs communes ont vu des points d’eau asséchés par les chantiers du Lyon-Turin. Une alerte sur l’eau, considérée comme sérieuse, a été émise par la Commission Nationale de Déontologie et d'Alerte en Santé Publique et Environnement (CNDASPE) en 2021 auprès des autorités, mais elle n’a à ce jour reçu aucune réponse.
À Saint-Colomban, en Loire-Atlantique, le niveau des puits inquiète et des étangs sont parfois à sec. Une tension sur l’eau que des riverains imputent à l’exploitation d’une carrière de sable.
Les données globalisantes sur la ressource en eau et les projections climatiques ne sont pas d’une grande utilité et induisent même le risque de nous rendre indifférents à ce qu’ils annoncent.
De manière synchrone, deux composants essentiels à notre société et notre économie mondiale sont entrés presque simultanément dans une situation de crise: l’énergie et l’eau. Il n’est pas instinctif de relier ces deux ressources qui ont des usages différents. Si les énergies fossiles symbolisent le feu de l’enfer, la pureté se dégage de l’eau. Cependant, dans ce monde qui s’échauffe, l’un et l’autre pourraient bien être les faces d’une même pièce.
Alors que les vagues de sécheresse se multiplient, le recours aux bassines pour l’agriculture fait débat en Espagne, où l’on en compte plus de 1 200. Les Espagnols aimeraient s’en passer, au profit des coûteuses usines de dessalement.
Une centaine de ministres et une douzaine de chefs d'État et de gouvernement se réunissent jusqu'à vendredi à New York au sujet des ressources en eau qui s'épuisent. Dans un rapport publié mardi, l'ONU prévient l'humanité "vampirique" qu'une crise mondiale est "imminente", alors que les pénuries d’eau "tendent à se généraliser".
Les Nations unies sonnent l’alerte : les pénuries d’eau, qui touchent déjà entre deux et trois milliards de personnes dans le monde, vont s’aggraver au cours des décennies à venir si la coopération internationale n’est pas renforcée.
Faible disponibilité de la ressource : quand le permis de construire tombe à l’eau 2022 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée en France d’après Météo-France. L’hiver 2023 figure parmi les dix hivers les moins pluvieux depuis 1959. Ce début d’année n’est pas épargné : la pluie n’est pas tombée en France durant 32 jours consécutifs, battant à nouveau un triste record. De nombreux territoires font état d’un manque d’eau et s’inquiètent quant à la délivrance d’autorisations d’urbanisme pour des projets de construction au regard de l’épuisement de la ressource. En ce sens, la Cour administrative d’appel de Toulouse a, récemment, rendu un arrêt qui peut s'appliquer en l'espèce.

2022

Les projections pour les trois prochaines décennies n’augurent rien de bon et envisagent, dans les hypothèses les plus probables, une pression encore plus forte sur les ressources hydriques sous l’effet de multiples facteurs dont, principalement, la croissance démographique, les transformations des habitudes de consommation, l’accélération du phénomène de l’urbanisation, le changement climatique et l’incidence de facteurs environnementaux et de pollution.
Le satellite SWOT a pour objectif de cartographier l’eau de la Terre avec des détails sans précédent et de partager ouvertement les données pour aider les communautés à gérer cette précieuse ressource.
L’OMM fait le point sur la disponibilité de l’eau douce dans un climat en évolution
Nous y voilà. L’affrontement autour de l’eau commence. Ce sont les prémisses du face-à-face inévitable à propos de la ressource vitale par excellence, autour du choix du modèle d’agriculture souhaitable et de deux solutions qui se disent écologiques. La guerre de l’eau - tous les prospectivistes l’envisagent comme certaine et décisive - a connu ce week-end l’un de ses évènements avant-coureurs inquiétant.
A mesure que le réchauffement se renforcera, les conséquences sur les ressources hydriques d’un modèle agricole dopé aux intrants de synthèse deviendront de plus en plus sévères, prévient Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
Membre influente de la Convention constitutionnelle chilienne, Manuela Royo revient sur l'un des problèmes centraux que le nouveau texte permet d'affronter : la privatisation de l'eau. En ce jour de vote, elle soutient que la Constitution mettrait fin pour de bon à un système de captation qui conduit à la destruction d'écosystèmes.
Face aux épisodes de sécheresse de plus en plus fréquents, les agriculteurs s'interrogent : comment cultiver avec moins d'eau? Alors que la sécheresse devient un problème endémique, une gestion plus globale de la ressource s'impose. Kevin Thibaut est bioingénieur. Doctorant FNRS à l’ULiège, il
Depuis plusieurs semaines maintenant, la France manque d'eau. Une situation qui pourrait arriver de plus en plus fréquemment dans le contexte de réchauffement climatique anthropique. Alors, comment nous adapter ? Faut-il multiplier les stockages ? Ou le salut passera-t-il par un indispensable retour à une certaine sobriété ? Des experts nous aident à démêler les fils d'une question qui se révèle extrêmement complexe.
La sècheresse atteint une intensité inédite en France cette année. Un phénomène qui, amplifié par le réchauffement climatique, est devenu une menace supplémentaire à l'échelle mondiale, avec pour conséquence de faire de l'eau une ressource rare devenue plus que jamais vitale. Par Charaf Louhmadi, ingénieur-économètre chez Natixis, et Mariem Brahim, enseignante-chercheuse à Brest Business School.
Alors que la France subit une sécheresse historique qui tarit durablement les nappes phréatiques, les projets de réutilisation des eaux usées se multiplient. La Commission européenne appelle le continent à accélérer cette pratique alors que la France est à la traîne. Si d'un point de vue environnementale, cette réutilisation paraît une bonne idée, attention à son usage. Toute la semaine, Novethic se plonge dans la crise de l'eau. Eaux usées, méga bassines, désalinisation... ces pratiques sont-elles vraiment vertueuses ?