les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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écologie focusbiodiversité

2024

En 2024, le jour du dépassement est le 1er août, selon l’ONG Global Footprint Network. A compter de cette date, l’humanité prélève plus de ressources que la planète ne peut générer en un an. Natacha Gondran répond à nos questions.
Aux bains des Pâquis à Genève.
Alors que les enquêtes soulignent régulièrement les préoccupations des Français·es pour les crises du climat et de la biodiversité, une réelle prise en compte de ces enjeux tarde toujours du côté politique. «Jusqu’à quand ?», s’interroge l’écologue Philippe Grandcolas.
Mardi 4 juin 2024, 5 jours avant les méga-élections 2024, où nous pourrons choisir nos représentants politiques dans de nombreuses assemblées : Parlement wallon, Parlement bruxellois, Parlement flamand, Parlement fédéral, Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Communauté française de Belgique), Parlement européen, etc. Plus quelques spécificités institutionnelles belges comme le Sénat, les assemblées bruxelloises spécifiques et la Communauté germanophone.
Le Réseau Action Climat distribue les bons et mauvais points. Le 9 avril, la fédération d’associations environnementales a publié un « décryptage » des votes des eurodéputés français durant ce mandat.
« Canicule et Covid : les liaisons dangereuses », indiquait un titre de presse en 2022. On s’inquiétait alors des effets sanitaires de la conjonction des deux phénomènes. Cet été-là, la canicule a causé la mort de plus de 60 000 personnes en Europe. Parmi les victimes, on s’en doute, ce sont les plus pauvres, les plus mal logés, les plus isolés qui ont été touchés en premier lieu. En somme : les plus vulnérables. Si les conséquences conjointes de la pandémie et des épisodes de forte chaleur ont parfois été évoquées, peu de cas a été fait de leurs racines communes, des inégalités que ces phénomènes trahissent et des leviers d’action collectifs afin de se protéger. Pour tenter de reprendre la main face à des catastrophes désormais planétaires, l’auteur de ce texte propose, à l’issue d’une analyse matérialiste méthodique, un « communisme du désastre ». Ses principes : une « solidarité radicale » et l’« autodéfense sanitaire ».
A l’aube d’un soulèvement des terres et des hommes qu’incarnent aujourd’hui les luttes écologiques, comme celle contre l’A69, la précarité du «Droit vivant» n’a jamais été aussi forte. Dans son essai du Contrat Social, Rousseau nous renseignait sur la nécessité d’une association entre citoyens pour atteindre une société légitime et égalitaire œuvrant pour le bien commun. Avec le dérèglement climatique, les effondrements et les délitements socio-économiques provoqués par le capitalisme, il demeure essentiel de redéfinir les contours de ce bien commun et de l’intérêt général pour construire une société écologique et vivable.
Les émotions comme acte politique, le silence « cynique » des puissants face à la catastrophe écologique... Pour la militante écologiste Camille Étienne, il est essentiel d’« instaurer un rapport de force » face aux puissants.
Cet ouvrage regroupe différents textes qui diversifient les points d’entrée sur le thème de l’écologie : réchauffement et dérèglement climatiques, destruction de la biodiversité, extractivisme ; besoins et biens communs, rapports nature/culture ; marchandisation généralisée des échanges, économie, finance ; décroissance, démondialisation, libre échange, néocolonialisme, migrations ; rapports de domination, démocratie, auto-organisation, souveraineté populaire, écoféminisme. Derrière les textes, une constante : l’analyse du capitalisme (sous toutes ses formes), du productivisme et de l’extractivisme comme moteurs essentiels de l’ère géologique dans laquelle nous sommes aujourd’hui : l’anthropocène ; que beaucoup préfèrent d’ailleurs qualifier de capitalocène. Mais, un autre constat se dessine aussi : la nécessaire bifurcation écologique, obligatoire pour garder une Terre habitable pour tou·tes, elle va générer de facto des basculements d’ordre anthropologique, qui vont impacter toutes nos manières de faire Mon
Pour contenir l’emballement climatique et l’érosion des écosystèmes, le contrôle collectif
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2023

Conférences visant à contextualiser la problématique et à proposer des solutions préliminaires pour faire face au changement climatique.
L’avion à fond, de la pêche dans les aires protégées et des JO plein de plastique… Alors que s’accentue l’urgence climatique, Reporterre distingue ceux qui se sont fait remarquer pour leurs positions anti-écologiques.
Souffrez-vous d'amnésie écologique ? C'est quasiment certain, comme presque tout le monde en fait. En dehors des climatologues et des plus grands chercheurs sur l'évolution de la biodiversité,...
Échanges en ligne, kits de formation, guides pratiques... Inquiets de l’inaction publique, des hauts fonctionnaires se regroupent depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron pour agir en faveur du climat et de la biodiversité.
Un autre modèle agricole est possible, qui concilie les défis productifs, alimentaires, climatiques, économiques, environnementaux et sociaux, affirment, dans une tribune au « Monde », plus de 150 scientifiques, chercheurs, enseignants et personnes qualifiées, qui l’expérimentent déjà dans les parcs naturels régionaux.
A l'occasion de la journée mondiale de l'environnement le 5 juin, GEO s'intéresse aux limites planétaires. Audrey Boehly, autrice du livre Dernières limites (éd. Rue de l'échiquier), a interrogé plusieurs experts des domaines concernés afin d'apporter un éclairage différent sur ce concept.
Après une tribune publiée en février, Les Naturalistes des terres, collectif de professionnels et amateurs, aux premières loges dans l’observation de la biodiversité, élargissent leurs rangs et s’organisent pour peser dans les luttes écolos. Les naturalistes travaillent dans des associations environnementales, des bureaux d’études ou des Conservatoires d’espaces naturels. Ils peuvent être ornithologues, animateurs nature, militants, étudiants ou amateurs. Ils observent au plus près la biodiversité, (...)

2022

Vendredi, la première ministre Élisabeth Borne a inauguré le Conseil national de la refondation (CNR) climat et biodiversité en compagnie d’une flopée de ministres. Objectif affiché : bâtir le consensus pour accélérer l’action climatique.
Les médias à la plus forte audience doivent avoir un traitement des enjeux environnementaux à la hauteur de la situation. Pour les y aider, un collectif de médias, dont Reporterre, et de journalistes a élaboré une Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique.
Le nouveau roi Charles III est un écologiste convaincu, qui milite depuis longtemps pour la protection de la nature, une agriculture biologique et la lutte contre le changement climatique, un engagement qui pourrait séduire les jeunes Britanniques.
À la fondation "Terre Solidaire".
Résolution adoptée par le 91e congrès de la LDH, Marseille – 4, 5 et 6 juin 2022 L’exercice des droits et des libertés suppose aujourd’hui la préservation des écosystèmes, car il est de plus en plus affecté, directement et indirectement, par les dégâts causés à ce que les êtres humains voient comme leur environnement. En effet, l’humanité est devenue une « force géologique » majeure et cause agissante de bouleversement des écosystèmes. Les dangers immédiats que représentent les changements climatiques d’origine humaine, l’effondrement de la biodiversité et plus largement le franchissement en cours des limites planétaires menacent directement les conditions de vie et donc l’exercice des droits de tous et toutes.
Ce système traditionnel de jachère appliqué aux lagons connaît un regain d’intérêt du fait de ses bienfaits écologiques et vivriers.
Voies ferrées, autoroutes, barrages… Les milieux naturels sont séparés par toutes sortes d’infrastructures bâties par l’Homme. Pour empêcher la perte de biodiversité, il est possible de créer des passages entre les écosystèmes : les corridors écologiques.
Dans cette vidéo, Marine Calmet, co-fondatrice, présidente et juriste pour le Programme Wild Legal ainsi que Valérie Cabanes, juriste internationaliste de terrain, abordent la question de la protection de notre planète Terre au travers du prisme du droit. Toutes deux juristes et s'adressant à un public formé en Droit, elles ont pu faire un compte rendu détaillé et précis des nouveaux outils juridiques pour défendre notre système écologique.
« Tous les indicateurs environnementaux sont au rouge et clignotent violemment, de même que les indicateurs sociaux, économiques et politiques. Mais rien ne bouge, rien ne change. Notre civilisation s’effondre alors qu’elle semble au faîte de sa gloire puisqu’elle est mondiale. C’est en cela que sa chute est passionnante, elle nous concerne tous et ce ne sont pas seulement, nous les hommes, qui sommes directement concernés par cette chute, mais aussi tous les êtres vivants, les plantes, les animaux et même certains microbes.. »
Une vingtaine de personnalités parmi lesquelles le réalisateur Cyril Dion, le psychologue Boris Cyrulnik, l'activiste Camille Étienne, ou encore la sociologue Dominique Meda, appelle le futur gouvernement à suivre une formation de 20 heures sur les enjeux écologiques afin que leurs décisions ne puissent plus ignorer les faits scientifiques concernant le changement climatique et la perte de biodiversité. L’idée est de reproduire ce qui avait fonctionné pour la Convention citoyenne pour le climat.
  « Faut-il être fou, ou poète, pour plaider la cause des mouches tueuses, des criquets ravageurs ou de toutes ces bestioles aux moeurs improbables qui ont en commun d’appartenir à la famille des coléoptères, lépidoptères et autres diptères ? Oliver Milman est un peu fou, très poète et, davantage encore, il fait preuve d’une lucidité obsessionnelle. »Allain Bougrain-Dubourg, Président de la Ligue pour la Protection des Oiseaux (extrait de la préface)Des fourmis qui se faufilent sous les feuilles mortes aux abeilles capables de voler plus haut que le sommet du Kilimandjaro, les insectes sont partout. À l’échelle de la planète, ils représentent trois espèces connues sur quatre. Dans L’Apocalypse des insectes, vous découvrirez que ce groupe kaléidoscopique traverse la plus grande crise existentielle de son histoire.Oliver Milman a enquêté et questionné des chercheurs du monde entier. Il nous fait découvrir à quel point ces petites créatures sont essentielles. Elles contribuent à la propreté des rivières, à la pr
Supposée contrebalancer les dégradations infligées à la biosphère, la pratique de la « compensation » se généralise et gagne tous les secteurs d’activité. Nombre de voix en dénoncent les abus, mais c’est en réalité son principe même qui est fallacieux. Des scientifiques de l’Atécopol expliquent pourquoi et demandent son interdiction pour libérer la politique écologique de l’emprise néolibérale.
Le gouvernement a confirmé lundi sa volonté d’implanter deux parcs éoliens en Méditerranée d’ici 2030. Selon Emeline Pettex, chercheuse en écologie marine, les effets sur la biodiversité ne devraient pas être majeurs mais doivent être surveillés de près.

2021

La planète, il la connaît bien. Et il a eu le temps de la voir se détériorer. Depuis le début de sa carrière, Yann Arthus-Bertrand documente l’état du monde. Un peu plus de dix ans après avoir réalisé le film “Home”, qui avait déjà tiré la sonnette d’alarme, le célèbre photographe s’est remis au travail avec l’envie de raconter “l’incroyable histoire de la vie sur Terre” dans le documentaire “Legacy”
Engagé pour la transition agroécologique, Ver de Terre Production agit pour les agriculteurs en créant et diffusant des contenus de formation de haute qualité, conçus avec des agronomes et des professionnels reconnus en agroécologie
Les signaux d’alerte précoce (EWS) des points de basculement sont essentiels pour anticiper l’effondrement du système ou d’autres changements soudains. Cependant, les indicateurs génériques d’alerte précoce existants conçus pour fonctionner dans tous les systèmes ne fournissent pas d’informations sur l’état qui se situe au-delà du point de basculement.
Plusieurs organisations des peuples autochtones sont présentes au congrès de la nature à Marseille. Venus de différentes régions du monde, ces peuples, dotés d'un savoir écologique notable, se battent pour défendre leurs terres et promouvoir leur modèle de défense de l'environnement.
Le bien-être de millions de personnes dépend des services écosystémiques des colibris, des abeilles, des papillons et d’autres animaux. Mais la destruction des habitats et l’utilisation de pesticides problème gravement leurs populations, ce qui constitue une grave non seulement environnemental, mais aussi économique et social. Aujourd’hui, une équipe internationale a créé le premier indice de risque mondial lié à sa baisse.
Le flamant est une espèce dont l’histoire naturelle et politique singulière permet d’interroger l’engouement actuel pour le sauvage et le réensauvagement, ainsi que les conditions de coexistence des hommes avec le reste du vivant. En s’affranchissant des frontières humaines, la mobilité du flamant rose rebat les cartes des politiques d’aménagement du territoire : comment faire, ou que faire du sauvage dans un espace qui appartient aux hommes ? Les sangliers et les loups, par exemple, se déplacent, ils font fi des zonages établis par les humains et où l’on voudrait les cantonner.
Aurélien Barrau, est intervenu face aux étudiants de l'École polytechnique le 6 mai 2021, dans le cadre des conférences Coriolis pour l’environnement. Le thème de la conférence : Face à la catastrophe écologique, ne pas être radical a-t-il encore un sens ?