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2024

Les pays Balkans risquent d'endommager de façon irréversibles leurs milliers de kilomètres de rivières encore intacts, met en garde une ONG, pointant du doigt la multiplication des projets de barrages hydroélectriques et le non-respect des normes européennes."Les Balkans possèdent parmi les rivières les plus propres et sauvages d'Europe, des réserves cruciales pour la biodiversité du continent", souligne le rapport publié mercredi par l'ONG ClientEarth.
L'autorité de sûreté nucléaire (ASN) a mis en demeure jeudi Orano de remettre en état le barrage qui approvisionne en eau les installations de refroidissement de son usine de recyclage de combustibles usés de La Hague (Manche).Selon la mise en demeure du gendarme de la sûreté nucléaire, le spécialiste du combustible nucléaire doit "restaurer l'état des installations du barrage des Moulinets, qui assure l'approvisionnement en eau" du site d'Orano Recyclage.
Le démantèlement de retenues hydroélectriques sur le Klamath, le fleuve qui traverse la région, provoque la colère des habitants, convaincus que les objectifs environnementaux mis en avant par les autorités vont contre leurs intérêts.
Résident du petit village de Kapoulivka, situé sur la rive droite de l’immense fleuve Dniepr qui traverse l’Ukraine du nord au sud, Serhi Karnaoukh a passé toute sa vie à pêcher dans le réservoir d’eau formé par le barrage hydroélectrique de Kakhovka. Mais il y a un an, le 6 juin 2023, à l’aube, une explosion retentissait sur des dizaines de kilomètres. L’édifice de trente mètres de haut, construit dans les années 1950 sur le Dniepr, venait d’exploser, déversant les eaux du réservoir sur des dizaines de villes et villages côtiers situés en aval du barrage, dans les régions de Mykolaïv et de Kherson.
La branche armée du Hamas palestinien a dit dimanche avoir visé Tel-Aviv avec un "important barrage de roquettes" dans un message publié sur le réseau social Telegram.
Dans un état des lieux alarmant, l'Union internationale pour la conservation de la nature prévient mercredi que la moitié des écosystèmes de mangrove mondiaux sont menacés d'effondrement. En cause : la déforestation, le développement, la pollution et la construction de barrages. Mais aussi l'élévation du niveau de la mer et la fréquence accrue des tempêtes violentes associées au changement climatique.
La rupture d'un barrage à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Nairobi, au Kenya, en raisons de fortes inondations, a fait lundi au moins 42 morts, selon la gouverneure locale. Cette catastrophe fait passer le bilan total de la saison humide (mars-mai) dans ce pays à 120 morts.
De nombreuses villes de l'Oural, en Russie, se retrouvent inondées après la rupture d'un barrage à Orsk voilà deux. Les autorités russes ont déjà fait évacuer des milliers de personnes et elles s'attendent à une dégradation de la situation au cours des prochains jours.
Le pic de la crue dans la ville proche de la frontière avec le Kazakhstan est attendu mercredi. Selon une première estimation, le coût des dégâts engendrés pourrait atteindre près de 2,1 milliards d’euros.
Les missiles ont infligé des « dégâts très importants » sans provoquer de danger immédiat. « Il s’agit de l’attaque la plus massive contre des installations énergétiques [ukrainiennes] » en 2024, selon le procureur général d’Ukraine.
La Cour des comptes demande des investissements supplémentaires pour adapter les 18 centrales nucléaires, les barrages et le réseau de distribution d'électricité français au réchauffement climatique.Le changement climatique "est largement intégré dans les référentiels et normes de sûreté, mais l'adaptation fait peser des exigences nouvelles pour les exploitants", en particulier la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), gestionnaire de barrages, et EDF, souligne la Cour dans son rapport publié mardi.
EDF a signé une contrat avec l'Arabie saoudite pour bâtir une centrale hydroélectrique en plein désert afin d'alimenter la cité futuriste "The Line", qui doit voir le jour d'ici à 2030. En interne, la participation de l'énergéticien à ce projet suscite beaucoup d'interrogation chez les salariés, qui appellent à une droit de retrait.
Le projet de chantier déployé dans le cadre du projet Neom génère une forte opposition en interne, des salariés s’alarmant de son incompatibilité avec les engagements de l’entreprise pour l’environnement ou les droits de l’homme.
Le déploiement de petites centrales hydroélectriques sur les torrents alpins est en pleine croissance selon les données recueillies par Reporterre. Bien des maires sont ravis mais la biodiversité trinque.
Près de Luang Prabang, la construction d'un barrage sur le fleuve Mékong bouche l'avenir de la capitale touristique du Laos, où les défenseurs de l'environnement et du patrimoine peinent à se faire entendre."Aujourd'hui, le paysage est magnifique. Vous pouvez voir les rochers, le fleuve, les jardins sur la rive", décrit un guide conférencier, sous couvert d'anonymat, pour se protéger vis-à-vis du gouvernement autoritaire."Une fois qu'ils auront terminé le barrage, le Mékong sera différent", concède-t-il.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a juré de faire barrage au géant pétrolier américain ExxonMobil dans les eaux riches en pétrole du territoire administrée par le Guyana mais revendiqué par le Venezuela."On vous attend ici ExxonMobil, quand vous voulez, où vous voulez", a menacé M. Maduro dans des déclarations retransmises à la télévision lundi soir. Ajoutant "ExxonMobil n'entrera pas dans cette mer... il faut qu'il le sache".
C’est un chantier d’une ampleur inédite aux États-Unis : quatre barrages hydroélectriques construits le long de ce cours d’eau, sur la frontière entre l’Oregon et la Californie, sont en train d’être démantelés. Une bonne nouvelle pour la tribu amérindienne yurok, qui pourrait ainsi renouer avec son mode de vie traditionnel et voir revenir la faune et la flore endémiques, surtout les saumons, dont la population a été mise à mal par les ouvrages, rappelle le “Los Angeles Times”.

2023

Le gouvernement veut débloquer l'investissement dans les barrages hydroélectriques, toujours au coeur d'un bras de fer avec Bruxelles quant au respect du droit de la concurrence, a déclaré mercredi la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher."Nous avons engagé avec Bruno Le Maire (ministre de l'Economie et des Finances, NDLR) et les entreprises concernées des discussions avec la Commission européenne et je ne vous cache pas qu'elles ne vont pas être simples", a précisé la ministre.
Le projet de barrage hydroélectrique de Mphanda Nkuwa sur le Zambèze au Mozambique a franchi une nouvelle étape avec la signature annoncée mercredi d'accords entre le gouvernement mozambicain et le consortium choisi pour le projet, qui associe les groupes français EDF, TotalEnergies et japonais Sumitomo.Cette centrale au fil de l'eau, d'une capacité projetée de 1.500 MW, doit être implantée à environ 60 kilomètres de la ville de Tete (nord-ouest du Mozambique).
Une consultation publique sur un projet de barrage hydroélectrique sur le Rhône va être lancée vendredi, marquée déjà par une opposition forte en raison du site choisi, un des rares espaces non aménagés du fleuve en amont de Lyon.La Compagnie nationale du Rhône (CNR) a présenté mercredi, après une phase d'étude et avant la consultation, les contours du "projet Rhônergia" qui pourrait voir le jour d'ici 2033 entre l'Ain et l'Isère, si l'Etat donne son feu vert.
Kenneth Darlington, un ancien avocat et professeur, a abattu deux militants qui effectuaient un barrage routier au Panama.
Une ONG australienne a vu mercredi son action en justice contre la ministre australienne de l'Environnement Tanya Plibersek, qu'elle accuse de favoriser la poursuite de l'exploitation du charbon, aux dépens de la protection de l'environnement, rejetée.
Les deux barrages qui ont rompu à Derna, provoquant des inondations meurtrières dans l’est de la Libye, présentaient dès 1998 des fissures qui n’ont jamais été réparées, selon plusieurs rapports et études.
Le Caire demande à Addis-Abeba d’attendre un accord tripartite, avec le Soudan, pour exploiter cette infrastructure. L’Egypte s’inquiète grandement du barrage car elle dépend du Nil pour 97 % de ses besoins en eau.
C'est une énergie renouvelable sous-exploitée: sous l'impulsion d'EDF, la France veut libérer le "potentiel" de production électrique de ses barrages, un patrimoine national endormi du fait d'un vieux contentieux avec Bruxelles.Poids lourd historique et méconnu de la production électrique, l'hydroélectricité est au coeur d'une discrète bataille à Bruxelles où la Commission européenne presse depuis le milieu des années 2000 Paris de remettre en concurrence ses concessions de barrages.
Les inondations causées par l’explosion du barrage augmentent le risque de faire apparaître des maladies hydriques particulièrement dangereuses, dont le choléra ou la typhoïde.
Dans un communiqué publié dimanche 18 juin, la coordinatrice des Nations unies pour l'Ukraine, Denise Brown, déplore de ne pouvoir accéder à certaines zones.
Les Russes sont accusés par les Nations unies de bloquer les opérations de sauvetage internationales autour du barrage détruit de Kakhovka. Pour le Kremlin, il s’agit avant tout d’assurer la sécurité des représentants de l’ONU.
Le chef de l’Agence internationale pour l’énergie atomique est arrivé à Zaporijjia pour évaluer les dégâts suite à l’effondrement du barrage de Kakhovka.
L'AIEA a réitéré dimanche, face à des données divergentes, sa demande d'accès au site où est mesuré le niveau de l'eau du réservoir utilisée pour refroidir les réacteurs de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine.Les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), présents de manière permanente sur place, "ont besoin d'y accéder pour clarifier la raison de l'écart significatif observé entre diverses mesures", selon un communiqué de cette instance onusienne.
En cours d'évacuation, Kherson subit toujours les tirs d’artillerie russes, ininterrompus depuis des mois. Dans la zone occupée, où les inondations sont les plus graves, les secours russes trient parmi les habitants en détresse.
La destruction du barrage de Kakhovka, dans le sud de l’Ukraine, a inondé 48 localités le long du Dniepr. D’après les autorités russes, la montée des eaux pourrait durer encore 10 jours.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé le monde à réagir, accusant la Russie d’un "écocide brutal" après la destruction du barrage de Kakhovka, près de Kherson, ce mardi 6 juin. Une nouvelle catastrophe qui laisse craindre de graves répercussions sur la faune et la flore locales.
La destruction mardi du barrage ukrainien de Kakhovka, attribuée à la Russie par Kiev et l’Union européenne (UE), pourrait entraîner “la pire catastrophe écologique en Ukraine depuis Tchernobyl”, selon les autorités. Le procureur général du pays a ouvert une enquête pour “écocide”.
La Russie a provoqué "l'une des pires catastrophes environnementales de ces dernières décennies", a affirmé mercredi le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal après la destruction du barrage de Kakhovka, dans le Sud de l'Ukraine.
La destruction du barrage de Kakhova dans la nuit de lundi à mardi a fait de nombreux dommages collatéraux.
La destruction du barrage de Kakhovka, mardi dans le sud de l'Ukraine, pourrait avoir des conséquences environnementales et humaines "sans précédent", estiment mercredi plusieurs experts et associations de défense de l'environnement.
Un premier convoi d’une dizaine de tonnes de produits demandés de santé, d’hygiène et d’assainissement d’eau doit partir dans les prochaines heures.
Près de 5.900 personnes ont été évacuées des zones inondées à la suite de la destruction du barrage de Kakhovka dans le sud de l'Ukraine, ont affirmé mercredi les autorités ukrainiennes et celles d'occupation russe, qui contrôlent chacune une rive du Dniepr. La destruction de ce barrage hydroélectrique, dont Moscou et Kiev se rejettent la responsabilité, a inondé des villes et villages situés sur les deux rives du fleuve, dont des quartiers de la capitale régionale, Kherson.
Le déluge provoqué par l’explosion du barrage hydroélectrique de Nova Kakhovka ne provoquera pas seulement des destructions sans précédent, il risque de changer durablement les écosystèmes et le climat du sud de l’Ukraine, qui pourrait devenir un désert naturel et humain