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2024

Treize ans après l'accident de Fukushima, des chercheurs ont capturé pour la première fois des images d’atomes de césium radioactif dans des échantillons environnementaux probablement issus d'un ou plusieurs réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi.
Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité. Le 11 mars 2011, un séisme, puis un tsunami ont provoqué l’une des plus grandes catastrophes nucléaires de l’histoire, entraînant la fusion de trois des six réacteurs nucléaires de la centrale de Fukushima Daiichi au Japon. 12 ans plus tard, le déversement des eaux de la centrale dans le Pacifique pose de nombreuses interrogations
De la corrosion a été retrouvée à l’intérieur des réservoirs utilisés pour entreposer l’eau radioactive traitée dans la centrale nucléaire fermée de Fukushima Daiichi, a indiqué l’exploitant de la centrale, Tepco.
Des experts chinois et japonais se sont entretenus samedi pour la première fois au sujet du rejet en mer des eaux de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima par Tokyo, dénoncé par Pékin, a déclaré le ministère japonais des Affaires étrangères.Ce dialogue d'experts avait été annoncé par le Premier ministre japonais Fumio Kishida en novembre à l'issue de sa rencontre avec le président chinois Xi Jinping, en marge d'un sommet Asie-Pacifique à San Francisco.
Ce processus devrait reprendre plus tard ce vendredi, a ensuite précisé à l’Agence France-Presse un porte-parole de Tepco, l’opérateur de la centrale.
Treize ans après la catastrophe de Fukushima, la chercheuse Cécile Asanuma-Brice décrit à Reporterre les conséquences du processus de décontamination de la région et les retours aussi rares que difficiles des habitants.
Plus d'une décennie après la catastrophe de Fukushima, le débat sur le nucléaire civil a évolué. Un nouveau discours moderniste et valorisant s'est mis en place ces dernières années.
La fuite a été stoppée une vingtaine de minutes après sa découverte, mercredi matin, par un ouvrier qui nettoyait des tuyaux d’échappement sur le site.

2023

Un ouvrier sur le chantier de démantèlement de la centrale nucléaire dévastée de Fukushima Daiichi (nord-est du Japon) a été victime d'une contamination radioactive au visage, selon l'opérateur de la centrale, où un incident similaire était déjà survenu en octobre.
Le désastre de Fukushima en mars 2011 a révélé la menace insidieuse de la pollution radioactive, un fléau qui s'étend bien au-delà de l'immédiateté de l'accident nucléaire. La dépollution des sols est un vrai défi.
La décontamination des sols a-t-elle porté ses fruits à Fukushima ? Oui, là où elles ont pu être menées. Mais il reste encore 67 % du césium 137 initial dans le sol des forêts, répond une nouvelle étude.
Le Japon a démarré jeudi la troisième phase du rejet en mer des eaux traitées de la centrale accidentée de Fukushima, alors que Pékin et Moscou ont restreint leurs importations japonaises en protestation contre ce processus devant durer plusieurs décennies.
Quatre ouvriers qui travaillaient sur le chantier de démantèlement de la centrale accidentée de Fukushima Daiichi (nord-est du Japon) ont été éclaboussés par de l'eau contenant des substances radioactives et deux d'entre eux ont dû être hospitalisés par précaution, a déclaré vendredi un responsable.
La deuxième phase du rejet en mer des eaux traitées de la centrale japonaise accidentée de Fukushima a commencé jeudi 5 octobre, a annoncé son opérateur, alors que ce processus de long terme, entamé fin août, avait scandalisé la Chine. Le rejet a débuté jeudi à 10 h 18, heure japonaise (01 h 18 GMT), a précisé à l'AFP un porte-parole de l'opérateur Tepco.
Leur plainte sera déposée vendredi au tribunal de première instance de Fukushima, a déclaré, lundi, Sugie Tanji, membre du collectif à l’origine de l’action.
Le Japon a commencé jeudi l'évacuation dans l'océan Pacifique d'eau issue de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima Daiichi, ravagée par un tsunami géant en 2011.
Le principal enjeu sur le site est l’extraction des près de 880 tonnes de combustible ayant fondu dans trois des six réacteurs, dont l’état précis n’est pas connu.
Depuis le 24 août, le Japon a commencé à rejeter l’eau issue de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima.
Le déversement en mer des eaux usées de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, au Japon, a démarré jeudi. Ce premier rejet devrait durer environ 17 jours et porter sur quelque 7 800 m3 d'eau tritiée. Les pêcheurs japonais redoutent un impact sur l'image de leurs produits.
Au total, le Japon prévoit d'évacuer dans l'océan Pacifique plus de 1,3 million de m3 d'eaux usées stockées jusqu'à présent sur le site de la centrale de Fukushima Daiichi.
La concentration en tritium de l'eau issue de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, que le Japon a commencé à rejeter en mer jeudi, est largement inférieure à la limite prévue, a indiqué l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)."Les experts de l'AIEA ont collecté des échantillons cette semaine des eaux préparées pour le premier déversement", a expliqué dans un communiqué l'instance onusienne, qui supervise l'opération.
Le rejet dans l’océan des eaux contaminées par l’accident nucléaire de Fukushima devrait débuter jeudi 24 août, ont annoncé les autorités japonaises. Cette décision n’est pas une surprise et était attendue, depuis que l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a rendu un rapport, le 4 juillet, estimant qu’une telle opération était « conforme aux normes de sûreté internationales » et aurait « un impact radiologique négligeable sur les personnes et l’environnement ».
Le gouvernement japonais va commencer jeudi à déverser dans le Pacifique les eaux souillées de Fukushima. Une décision validée par l’AIEA, mais rejetée par une partie de la population, inquiète des conséquences.
VIDÉO - Le rejet dans l’océan Pacifique de l’eau de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima doit commencer jeudi, a déclaré mardi le premier ministre japonais. La décision fait réagir aussi bien les associations écologistes que les voisins du Japon.
Op zaterdag hebben honderden Zuid-Koreanen in de hoofdstad Seoul betoogd tegen plannen van Japan. Het Zuid-Koreaans buurland kondigde vorige week namelijk aan dat het zal beginnen “behandeld” radioactief water te lozen in de Stille Oceaan.
Le gouvernement japonais envisage de commencer dès le mois d'août à déverser dans l'océan Pacifique les eaux contaminées provenant de la centrale nucléaire sinistrée de Fukushima, après que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a donné mardi son feu vert au projet.
L’AIEA a validé mardi 4 juillet le plan du gouvernement japonais pour se débarrasser de 1,33 million de tonnes d’eau contaminée, stockée sur le site bientôt arrivé à saturation de la centrale ravagée par la catastrophe nucléaire de 2011.
Le rejet dans l’océan des eaux contaminées par la catastrophe nucléaire de Fukushima a été approuvé le 4 juillet par l’Agence internationale de l’énergie atomique. Au Japon, les inquiétudes sont nombreuses.
Publié sur le site « nos voisins loitains« , association française pour témoigner des conséquences de la catastrophe de Fukushima sur la population. Celleux ci ont publié une vidéo technique sur les problématiques des rejets de tritium dans l’eau, en lutte contre la volonté de rejeter les eaux contaminé de la catastrophe de Fukushima dans la mer.
Les craintes liées à la pollution provoquent l’inquiétude des pêcheurs de la zone, mais aussi des pays voisins.
À la centrale nucléaire de Zaporijia, occupée par les Russes dans le sud-est de l’Ukraine, le personnel pointe du doigt la dégradation des conditions de la centrale. Ceux-ci craignent une catastrophe “bien pire que Fukushima et que Tchernobyl”.
Le projet consistant à rejeter progressivement plus d'un million de tonnes d'eau traitée provenant de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima a profondément divisé les nations et les scientifiques.
La société en charge du site de Fukushima a dévoilé de nouvelles images récemment filmées par un robot à l’intérieur d'un des réacteurs.
Au moment où l'Allemagne tourne la page du nucléaire, d'autres pays s'intéressent à cette énergie, invoquant des besoins énergétiques et y voyant un atout climatique, mais ce regain d'intérêt reste à concrétiser. Etat des lieux du recours à l'atome dans le monde.Coup de frein post-Fukushima. L'énergie nucléaire génère aujourd'hui 10% de l'électricité mondiale, dans 31 pays (hors Allemagne), selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).L'atome a connu un coup de frein avec l'accident de la centrale de Fukushima au Japon en 2011.
De nouvelles images filmées par un robot à l'intérieur d'un réacteur dévasté de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi (Nord-Est du Japon) ont révélé des dommages importants dans ses fondations et une grande quantité de débris radioactifs.
11 maart 2011, 12 jaar geleden, ontploften drie reactoren van de kerncentrale in Fukushima in Japan. Dit verschrikkelijk voorval leert ons dat de schade van een kernramp niet op te ruimen valt en dat kernreactoren in een dichtbevolkt en sterk geïndustrialiseerd gebied als België en Nederland compleet onverantwoord zijn.
De gigantesques citernes alignées, face à l’océan. Depuis l’accident nucléaire de mars 2011 à Fukushima, survenu...
La justice japonaise a tranché en faveur des anciens dirigeants de la compagnie d’électricité Tepco. Une décision qui a suscité la colère et l’incompréhension des victimes plaignantes.

2022

Onze ans et cinq mois après la catastrophe nucléaire de Fukushima, les habitants de Futaba ont obtenu l'autorisation de retourner chez eux, les autorités ayant levé mardi l'ordre d'évacuation qui prévalait dans cette commune où est implantée la centrale.
Jeudi, la dernière ligne électrique haute tension reliant le site au réseau a été coupée. Le complexe, fragilisé par les défaillances, les bombardements, l’occupation militaire russe et la fatigue des personnels ukrainiens, est dans un état critique. Une mission de l’AIEA devrait arriver sur place dans les prochains jours.