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2024

Le réacteur expérimental international de fusion nucléaire Iter, qui vise à révolutionner la production d'énergie, va subir un retard d'au moins huit ans et sa facture s'alourdira de "milliards d'euros", a indiqué mercredi Pietro Barabaschi, son directeur général.
Des chercheurs proposent un nouveau concept de réacteur à fusion nucléaire combinant le tokamak au stellarator, améliorant ainsi considérablement les performances et la viabilité.
Encouragé par des avancées technologiques majeures et des investissements privés colossaux, le secteur de la fusion nucléaire a changé de braquet aux Etats-Unis, et se voit produire de l'électricité à grande échelle dans les dix ans."Il ne s'agit plus seulement de science, mais de livrer un produit", résume Dennis Whyte, professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT), pour caractériser ce qu'il considère comme un "tournant" dans la fusion nucléaire.
Dans une récente avancée, des chercheurs ont utilisé des aimants permanents — plutôt que des électroaimants — pour confiner le plasma d'un réacteur à fusion. Une première, qui a comme objectif une réduction considérable des coûts de construction et d'exploitation.
Le réacteur coréen Kstar, bien plus petit que son grand frère, le géant Iter, vient de battre un nouveau record : les chercheurs ont réussi à maintenir un plasma à 100 millions de degrés durant 48 secondes dans un confinement magnétique. Un exploit qui nous rapproche d'une future production d'énergie abondante et décarbonée pour relever les défis du XXIe siècle qui nécessitent de se passer d'énergies fossiles tout en maintenant un certain niveau de vie.
Le Korea Superconducting Tokamak Advanced Research (KSTAR) est un projet de pointe dans la recherche sur la fusion nucléaire. Il y a quelques jours, la structure s’est de nouveau illustrée en établissant de nouveaux records en termes de température de fusion soutenue et de durée de confinement du plasma.
La réforme de la sûreté nucléaire fait l'objet de nouveaux débats qui s'annoncent survoltés lundi à l'Assemblée nationale, où le gouvernement a appelé les députés à rétablir un article-clé de son projet controversé de fusion entre l'ASN, gendarme du nucléaire, et l'IRSN, expert technique du secteur.L'examen du projet de loi a démarré en fin de journée dans l'hémicycle. Avec d'emblée pour l'exécutif un obstacle de taille à franchir : une "motion de rejet" de l'ensemble du texte, déposée par le groupe indépendant Liot (Liberté, Indépendants, Outre-Mer et Territoires).
Un réacteur à fusion nucléaire vient d'établir un nouveau record de production énergétique totale. Qu'est-ce que cela signifie précisément ?
Le National Ignition Facility (NIF) a franchi un jalon en générant par fusion presque deux fois plus d'énergie que celle qui a été injectée. Cette réussite technique, bien que limitée à son contexte expérimental strict, rassure les chercheurs sur le potentiel de la fusion nucléaire en tant que source d'énergie durable et propre.

2023

Fusion nucléaire, aimants supra-conducteurs, capture du CO2: Emmanuel Macron a annoncé lundi une priorité donnée à des technologies de rupture dans le cadre de la deuxième partie du vaste plan d'investissement public France 2030.
La structure, chargée de produire de l'énergie à partir de la fusion nucléaire, est considérée comme un précurseur du projet ITER.
Un vaste projet expérimental nippo-européen de fusion nucléaire, "l'énergie des étoiles" suscitant beaucoup d'espoirs, a été inauguré vendredi au Japon sur un site partenaire et complémentaire du programme Iter en France, lequel accumule les déboires et les retards. Installé dans l'Institut de fusion de Naka, à une centaine de kilomètres au nord-est de Tokyo, le JT-60SA est actuellement le plus grand "tokamak" (réacteur expérimental de fusion nucléaire) opérationnel au monde, en attendant l'achèvement de son grand frère Iter.
Un vaste projet expérimental nippo-européen de fusion nucléaire, "l'énergie des étoiles" suscitant beaucoup d'espoirs, a été inauguré vendredi au Japon sur un site partenaire et complémentaire du programme Iter en France, lequel accumule les déboires et les retards.Installé dans l'Institut de fusion de Naka, à une centaine de kilomètres au nord-est de Tokyo, le JT-60SA est actuellement le plus grand "tokamak" (réacteur expérimental de fusion nucléaire) opérationnel au monde, en attendant l'achèvement d'Iter.
Situé à Naka (Japon), ce réacteur à fusion nucléaire est le plus grand utilisant des bobines supraconductrices pour contenir le plasma. Son rôle est essentiel pour soutenir le projet ITER en France et pave la voie vers une production d'énergie de fusion commerciale.
Bruxelles alerte le patron de Meta (Facebook, Instagram), Mark Zuckerberg, concernant une recrudescence de fausses informations sur ses plates-formes. La veille, une mise en garde similaire a été adressée au patron de X, Elon Musk.
Il a cru en la possibilité d’un changement avec l’élection d’Emmanuel Macron, il en est revenu. Pour Reporterre, le climatologue Jean Jouzel confie son soutien à « toutes les formes d’engagement ».
Drogué et perfusé aux énergies fossiles, le capitalisme va-t-il trouver son salut grâce à la fusion nucléaire ? Quelle direction prendrait la société industrielle si une improbable énergie nucléaire à très haut rendement voyait le jour ? Au lieu de croire qu'elle ouvrirait une période d'abondance heureuse, le spécialiste de permaculture David Holmgren invite à imaginer une descente énergétique frugale. Seule voie raisonnable pour briser la mythologie de la croissance.
News of fusion has the effect of temporarily permitting people to shed the anxiety and embrace the dream all the more strongly.
Une équipe du Lawrence Livermore National Laboratory, en Californie, annonce avoir réalisé un gain d’énergie net dans une réaction de fusion nucléaire pour la deuxième fois de son histoire. La première avait été annoncée en décembre dernier. Il s’agit d’un pas de plus dans la quête d’une source d’énergie presque illimitée, sûre et propre. De quoi parle-t-on précisément ?
Marvel Fusion, start-up allemande qui explore la fusion nucléaire par laser, va s'associer avec l'université américaine du Colorado pour développer un démonstrateur afin de prouver "la faisabilité" de cette technologie, a annoncé lundi l'entreprise dans un communiqué.Cette technologie est censée permettre de produire de l'électricité sans déchets hautement radioactifs.
Ce type d’agglomérat pourrait contribuer à diffuser des microplastiques dans l’environnement, alertent les chercheurs à l’origine de cette découverte.
Le Giec vient de mettre un point final à un cycle entamé en 2015, à travers un ultime rapport de synthèse qui résume l’ensemble des connaissances actuelles sur le climat, ses impacts sur les sociétés humaines et les écosystèmes, et sur les solutions pour nous en sortir. Tour d’horizon.
Une importante somme d’argent a été levée pour fonder une start-up capable de poursuivre des recherches en matière de fusion nucléaire.
Le projet international de fusion nucléaire Iter, qui vise à révolutionner la production d'énergie, va devoir réparer plusieurs pièces essentielles qui présentent un défaut, avec comme conséquence des retards dont la durée reste à déterminer, a indiqué son directeur général. "Nous avons deux problèmes," a expliqué jeudi à l'AFP Pietro Barabaschi, nouveau directeur général - désigné en septembre - de ce projet international de recherche qui rassemble sept partenaires: Chine, Corée du Sud, Etats-Unis, Inde, Japon, Russie et Union européenne.
Samedi, les températures mesurées par Météo France ont dépassé de 8,3 °C les normales de saison. Dernier épisode d’une année où le monde a montré de nombreux signes d’une surchauffe provoquée par l’homme.

2022

Tous les experts soulignent l’importance de la découverte, mais rappellent l’existence de nombreux défis techniques et scientifiques à venir pour rendre la fusion viable. Selon eux, la fusion commerciale ne sera effective probablement que dans plusieurs décennies, ce qui soulève des questions sur la rapidité avec laquelle la technologie peut jouer un rôle dans la décarbonisation de l’électricité. Récemment, plusieurs revues ont publié les lettres de chercheurs mettant en garde contre le « Saint Graal » de la fusion nucléaire, soupçonnant même une reprise de cette technologie dans l’industrie de l’armement nucléaire.
Après les percées récentes et consécutives dans le monde de la fusion nucléaire, dont la dernière a permis de produire plus d’énergie que celle fournie pour démarrer la réaction, les scientifiques et les politiques voient leurs espoirs énergétiques décuplés. C’est pourquoi le département de l’Énergie des États-Unis envisage le financement prochain de la première centrale à fusion au monde, capable de reproduire la puissance énergétique du soleil. Le processus de sélection des candidats potentiels est enclenché et l’usine devrait être opérationnelle en 2030.
Une « percée historique ». Une « révolution » pour la production d’énergie. Les superlatifs n’ont pas manqué autour du dévoilement, mardi, de la première fusion nucléaire jamais réussie en laboratoire. Mais avant d’espérer voir de l’électricité produite à grande échelle grâce à la fusion nucléaire, il faudra compter non pas des années, mais des décennies.
Des chercheurs ont annoncé avoir franchi une nouvelle étape dans la fusion nucléaire. Pas de quoi espérer ralentir le changement climatique, selon Yves Marignac de NégaWatt. Yves Marignac est chef du pôle énergies nucléaire et fossiles de l’institut NégaWatt...
Sous les applaudissements et qualifiant le moment "d’historique", le département américain de l’Énergie et des chercheurs du Lawrence Livermore National Laboratory (Californie) ont annoncé une "avancée scientifique majeure" en matière de fusion nucléaire. Une expérience réalisée la semaine dernière "a produit davantage d’énergie à partir de la fusion que l’énergie des lasers utilisée" pour provoquer la réaction, a expliqué dans un tweet ce Laboratoire national Lawrence Livermore (LLNL), qui dépend du ministère de l’Energie américain. Le 5 décembre, une équipe du National Ignition Facility du LLNL a mené la première expérience de fusion contrôlée de l’histoire à permettre d’atteindre un seuil de "rentabilité énergétique".
Des chercheurs ont annoncé avoir franchi une nouvelle étape dans la fusion nucléaire. Pas de quoi espérer ralentir le changement climatique, selon Yves Marignac de NégaWatt.
Il pourrait s’agir d’une première mondiale et d’une avancée majeure dans notre recherche d’une source d’énergie propre, sûre et quasi illimitée : selon le Financial Times, les chercheurs du National Ignition Facility, à Livermore, auraient réussi à initier une fusion nucléaire contrôlée ayant entraîné une production nette d’énergie. Leur expérience aurait libéré 2,5 mégajoules d’énergie alors que 2,1 mégajoules ont été nécessaires pour chauffer le combustible.
Pour la première fois, une réaction de fusion a produit plus d’énergie que celle présente dans les lasers utilisés pour initier le phénomène. Mais ce résultat scientifique important n’augure aucune révolution énergétique à court ou moyen terme.
Le département américain de l'Energie a déclaré dimanche s'apprêter à annoncer une "avancée scientifique majeure cette semaine" dans le domaine de la fusion nucléaire. Le quotidien britannique Financial Times avait rapporté quelques heures auparavant que des scientifiques du Laboratoire national Lawrence Livermore (LLNL), situé en Californie, ont récemment obtenu un "gain net d'énergie" d'un réacteur à fusion expérimental.
Le département américain de l'Energie s'apprête à annoncer mardi une "avancée scientifique majeure" dans le domaine de la fusion nucléaire. Depuis des décennies, les scientifiques cherchent à faire de cette manière de produire de l'énergie une réalité. Ses avantages sont nombreux: elle ne génère pas de CO2, moins de déchets radioactifs, et ne présente pas de risque d'accidents nucléaires. Le point sur son fonctionnement, les projets en cours et quand ils pourraient aboutir.
Il s’agit de l’une des six pièces-clés dans la mise en œuvre de ce programme, un grand projet scientifique international auquel la Russie prend toujours part, malgré les sanctions internationales imposées après l’invasion de l’Ukraine.
Décryptage de LN24+ dans les entrailles du plus grand réacteur de fusion nucléaire au monde.
Des chercheurs misent sur une technique longtemps jugée instable afin d’élaborer de mini-réacteurs à fusion nucléaire. Si les simulations ont donné des résultats satisfaisants, les tests réels à venir devront également faire leurs preuves.
Réduire notre dépendance à l’État et au système industriel est la condition de notre survie et de notre bien-être futur. Avant de poursuivre, quelques mots sur l’effondrement, une notion souvent mal comprise. La confusion règne, elle est même savamment cultivée par des opportunistes proches des sphères du pouvoir qui ont compris comment exploiter la peur de l’effondrement au profit de leur classe sociale. Devenues hégémoniques avec le succès de la collapsologie, la version hollywoodienne de l’effondrement et les caricatures grotesques du survivalisme qui l’accompagnent systématiquement sont bien éloignées des faits. L’effondrement à venir de l’État-nation, ce n’est pas la fin du monde ni l’apocalypse sur Terre, mais une opportunité rare qu’il nous faut saisir.
It doesn’t even work yet, but nuclear fusion has encountered a shortage of tritium, the key fuel source for the most prominent experimental reactors.