les Ressources Minières

OA - Liste

Les Ressources minérales (*)

Résultats pour:
ukraine russie guerre Zaporijjia

2024

Les sept piliers de sûreté et de sécurité de la centrale nucléaire ukrainienne de Zapporijjia, définis par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), ont été compromis, a indiqué lundi le directeur général de l'agence onusienne Rafael Grossi. "La situation sur le site nucléaire de Zaporijjia demeure précaire", a affirmé le directeur général lors du conseil des gouverneurs de l'AIEA. "Les sept piliers de la sûreté et de la sécurité nucléaires ont été partiellement ou entièrement compromis", a-t-il avancé.
"Nous nous approchons dangereusement d'un accident nucléaire" à Zaporijjia, a alerté lundi le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), notant qu'il était "impossible" de savoir qui était responsable des récentes attaques contre la centrale nucléaire ukrainienne.Le site de Zaporijjia (ZNPP), occupé depuis mars 2022 par la Russie dans le sud de l'Ukraine, a subi une série d'attaques de drones à partir du 7 avril, Moscou et Kiev se rejetant mutuellement la responsabilité.
Les récentes attaques sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia peuvent "marquer le début d'un nouveau front de guerre extrêmement dangereux", s'est alarmé jeudi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).Elles "nous ont fait entrer dans une phase cruciale" du conflit, a déclaré Rafael Grossi à l'ouverture d'une réunion à Vienne des 35 membres du Conseil des gouverneurs, convoquée en urgence à l'appel de la Russie et de l'Ukraine.
L'un des dômes de la centrale de Zaporijjia a été touché par une frappe dimanche, selon les autorités prorusses qui contrôlent les lieux. Elles assurent également qu'un drone a explosé près de la cantine de la centrale, endommageant un camion garé à proximité.
Deux attaques de drones ont été signalées, les 7 et 8 avril, à Zaporijjia, la plus grande centrale nucléaire d’Europe, actuellement sous contrôle russe. Moscou et Kiev s’accusent mutuellement d’être responsables de ces incidents, qui accentuent les risques d’une catastrophe nucléaire de grande ampleur.
En Ukraine, dans les tranchées du sud du pays, des lignes de défense sont fortifiées à la hâte dans la région de Zaporijjia. Le gouvernement ukrainien a annoncé un budget de plus de 500 millions d'euros pour creuser et construire au plus vite des lignes de défense sur plus de 2 000 kilomètres de long.
Une des deux lignes électriques alimentant la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a été coupée par un bombardement, a annoncé vendredi le ministre ukrainien de l'Energie, Guerman Galouchtchenko, qui a dénoncé une attaque russe de grande ampleur contre les infrastructures ukrainiennes.
Une des deux lignes électriques alimentant la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a été coupée par un bombardement, a annoncé vendredi le ministre ukrainien de l'Énergie, Guerman Galouchtchenko, qui a dénoncé une attaque russe de grande ampleur contre les infrastructures ukrainienn
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a mis en garde mercredi la Russie contre tout redémarrage précipité de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces de Moscou dans le sud de l'Ukraine.M. Grossi est en visite en Russie, où il doit rencontrer le président Vladimir Poutine pour la première fois depuis 2022 et évoquer notamment la situation "précaire" de la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a mis en garde mercredi la Russie contre tout redémarrage précipité de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces de Moscou dans le sud de l'Ukraine.
Le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a appelé vendredi à "une retenue militaire maximale" après une série de fortes explosions survenues ces derniers jours près de la centrale nucléaire ukrainienne sous contrôle russe de Zaporijjia, la plus grande d'Europe. Ce site, pris par les forces russes en mars 2022, dans la foulée du déclenchement le 24 février de l'invasion de l'Ukraine, se trouve dans une zone de combat et Moscou et Kiev s'accusent mutuellement de compromettre sa sécurité.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a dit mardi avoir de "nombreuses questions" à poser aux Russes, qui contrôlent la centrale nucléaire de Zaporijjia, à la veille de sa visite sur place.Le responsable a également regretté que ses experts, dont certains sont présents en permanence à Zaporijjia, n'aient qu'un accès "partiel" à la centrale, même si celui-ci "s'élargit progressivement". "Il y a encore des parties de la centrale que nous n'avons pas pu visiter", a indiqué M. Grossi lors d'un point-presse à Kiev.
La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, aux mains des forces de Moscou, a décidé d'interdire l'accès à tout employé de l'opérateur ukrainien Energoatom, a indiqué jeudi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).Le directeur général de l'instance onusienne, Rafael Grossi, attendu sur place la semaine prochaine, "va soulever la question cruciale du personnel et demander des informations au sujet de cette nouvelle annonce", selon un communiqué.
Des mines ont été replacées autour de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, a assuré vendredi soir l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).Aux mains des forces de Moscou depuis mars 2022, la centrale, la plus grande d'Europe, a été touchée à plusieurs reprises par des coupures de courant liées aux combats et l'armée russe accuse régulièrement l'Ukraine de la menacer."Des mines ont été replacées le long du périmètre de la ZNPP (acronyme anglais de la centrale nucléaire de Zaporijjia, ndlr) a indiqué dans un communiqué l'AIEA, basée à Vienne.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) n'a pas eu accès récemment aux salles de réacteurs de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (Sud) pour des raisons de "sécurité", a affirmé vendredi Moscou qui occupe le site depuis près de deux ans.Aux mains des forces de Moscou depuis mars 2022, la centrale, la plus grande d'Europe, a été touchée à plusieurs reprises par des coupures de courant liées aux combats et l'armée russe accuse régulièrement l'Ukraine de la menacer.
L'AIEA a déclaré mercredi n'avoir pas eu accès aux salles de plusieurs réacteurs de la centrale nucléaire ukrainienne de ZapMRorijjia, touchée par des coupures de courant à répétition. Les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) "ne peuvent toujours pas accéder à toutes les parties du site" dans le sud de l'Ukraine, a indiqué l'agence onusienne dans un communiqué.

2023

L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a vu "quelques mines" antipersonnel dans une zone tampon de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (est), occupée par les forces russes, a-t-elle indiqué lundi, mais qui ne posent selon elle pas de danger pour la sécurité des installations."Lors d'une inspection le 23 juillet, l'équipe de l'AIEA a vu quelques mines situées dans une zone tampon entre les barrières des périmètres intérieur et extérieur du site", a indiqué l'agence dans un communiqué.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a regretté jeudi de n'avoir pas pu inspecter les toits de la centrale nucléaire de Zaporijjia, où l'Ukraine soupçonne les forces russes, qui occupent le site, d'avoir placé des mines ou des explosifs.Les experts de l'instance onusienne, présents sur place, "attendent toujours d'avoir accès aux toits des bâtiments des réacteurs", a déclaré le directeur général Rafael Grossi dans un communiqué.
Le Kremlin a averti mercredi d'un possible "acte subversif" ukrainien aux "conséquences catastrophiques" à la centrale nucléaire de Zaporijjia, contrôlée par la Russie dans le sud de l'Ukraine, les deux camps s'accusant d'une provocation imminente.
Le Kremlin a averti mercredi d'un possible "acte subversif" ukrainien aux "conséquences catastrophiques" à la centrale nucléaire de Zaporijjia, contrôlée par la Russie dans le sud de l'Ukraine, les deux camps s'accusant d'une provocation imminente."La situation est très tendue, car le risque d'un acte subversif par le régime de Kiev est très élevé. Un acte subversif qui peut avoir des conséquences catastrophiques", a déclaré aux journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a réclamé mercredi d'avoir accès à l'ensemble des bâtiments de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud), occupée par les troupes russes, pour "confirmer l'absence de mines ou d'explosifs sur le site"."Alors que la tension et les activités militaires s'accentuent dans la région, nos experts doivent pouvoir vérifier les faits sur le terrain", de manière "indépendante et objective", a déclaré le directeur général Rafael Grossi dans un communiqué.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé jeudi la Russie de préparer un "attentat terroriste" impliquant une fuite "de radiations" à la centrale nucléaire de Zaporijjia occupée par les troupes russes dans le sud de l'Ukraine, une accusation immédiatement rejetée comme "mensonge" par le Kremlin.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé jeudi la Russie de préparer un "attentat terroriste" impliquant une fuite "de radiations" à la centrale nucléaire de Zaporijjia occupée par les troupes russes dans le sud de l'Ukraine, une accusation immédiatement rejetée comme "mensonge" par le Kremlin..
Le chef de l’Agence internationale pour l’énergie atomique est arrivé à Zaporijjia pour évaluer les dégâts suite à l’effondrement du barrage de Kakhovka.
L'AIEA a réitéré dimanche, face à des données divergentes, sa demande d'accès au site où est mesuré le niveau de l'eau du réservoir utilisée pour refroidir les réacteurs de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine.Les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), présents de manière permanente sur place, "ont besoin d'y accéder pour clarifier la raison de l'écart significatif observé entre diverses mesures", selon un communiqué de cette instance onusienne.
Le quotidien américain a authentifié des images de l’infrastructure endommagée par une attaque que les autorités ukrainiennes imputent à la Russie. Des évacuations sont en cours dans le sud du pays.
La centrale de Zaporijjia, occupée par l'armée russe, se retrouve en première ligne après la destruction partielle mardi d'un barrage du sud de l'Ukraine, dont l'eau est utilisée pour refroidir le combustible et éviter un accident nucléaire.L'attaque, dont s'accusent mutuellement Moscou et Kiev, a entraîné l'inondation d'une vingtaine de localités et l'évacuation de milliers de personnes, suscitant un tollé international.- "Pas de danger nucléaire immédiat" -
La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia n'a plus d'alimentation externe de secours depuis trois mois, ce qui la rend "extrêmement vulnérable", a averti samedi le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi.
Le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a appelé mardi devant le Conseil de sécurité de l’ONU la Russie et l’Ukraine à soutenir cinq "principes concrets" pour assurer la sécurité de la centrale ukrainienne de Zaporijjia et éviter un "accident nucléaire".
Occupée par l'armée russe, la centrale nucléaire de Zaporijjia est de nouveau coupée du réseau électrique
La centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par l'armée russe dans le sud de l'Ukraine, a été à nouveau coupée du réseau électrique ukrainien, ont affirmé lundi Moscou et Kiev, un incident potentiellement dangereux et devenu fréquent avec les bombardements liés aux combats.
La centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, occupée par la Russie, était, selon les autorités ukrainiennes, de nouveau reliée au réseau électrique lundi midi, après une coupure entraînée par des frappes nocturnes russes.Ukrenergo "a rétabli l'alimentation de la centrale nucléaire à partir du système électrique ukrainien", a déclaré l'opérateur publique ukrainien dans un nouveau communiqué publié sur Telegram.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a alerté samedi sur le risque d'un "grave accident nucléaire" à la centrale de Zaporijjia, occupée par les forces russes en Ukraine, en pleine évacuation d'une ville voisine où vivent la plupart des employés, et sur la situation "potentiellement dangereuse" autour du site."La situation dans la zone proche de la centrale nucléaire de Zaporijjia devient de plus en plus imprévisible et potentiellement dangereuse", a averti le chef de l'Agence, Rafael Grossi, cité dans un communiqué de l'AIEA.
L‘Agence internationale de l’énergie atomique a alerté samedi sur le risque d’un «grave accident nucléaire» à la centrale de Zaporijjia sous contrôle russe, sur fond d’évacuations liées à la contre-offensive attendue de Kyiv dans la région.
M. Grossi assure avoir constaté en première ligne "des indications claires de préparatifs militaires" autour de la centrale, qui est la plus large d'Europe, lors de sa visite il y a trois semaines.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a estimé jeudi que l'on était "en sursis" concernant la "sûreté" de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, à proximité de laquelle deux mines ont récemment explosé."Si nous n'agissons pas pour protéger la centrale, notre chance tournera tôt ou tard, avec des conséquences potentiellement graves sur la santé humaine et l'environnement", a mis en garde M. Grossi dans un communiqué diffusé à Vienne, où se trouve le siège de l'AIEA.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a estimé jeudi que l'on était "en sursis" concernant la "sûreté" de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, à proximité de laquelle deux mines ont récemment explosé.
Le chef de l'AIEA, Rafael Grossi, a affirmé mercredi "essayer" de trouver un compromis entre Moscou et Kiev pour sécuriser la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, près de laquelle il a déploré une "hausse de l'activité militaire".M. Grossi s'est exprimé lors d'une visite mercredi sur le site de cette centrale nucléaire occupée par les troupes russes dans le Sud de l'Ukraine, et pour laquelle la Russie a invité la presse dont l'AFP.
Un compromis a minima face à un risque militaire croissant : le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique s'est rendu mercredi à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia en quête d'une solution acceptable pour Kiev et Moscou afin de sécuriser le site. L'idée d'une zone démilitarisée autour de ce site du sud-est de l'Ukraine occupé depuis mars par les Russes semble avoir vécue après des mois d'échanges infructueux.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a annoncé samedi qu'il se rendrait la semaine prochaine dans la centrale ukrainienne de Zaporijjia (sud-est) qui, selon lui, se trouve dans une situation "précaire".Il s'agit de la deuxième visite de M. Grossi dans la centrale, la plus grande d'Europe, depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, afin d'"évaluer directement la gravité de la situation en matière de sûreté et de sécurité nucléaires sur le site", a déclaré l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).