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2024

Selon un brouillon de la Commission qu’a pu lire le “Financial Times”, l’Union européenne fixe à 90 % en 2040 l’objectif de réduction des émissions de CO₂. Durant les deux prochaines décennies, les investissements pour la transition, même massifs, compenseraient largement le “coût de l’inaction”.
Charleroi, Mons et Tournai peuvent compter sur un coup de pouce européen pour viser la neutralité carbone en 2050. Jeudi, le gouvernement wallon a validé 62 projets dans ces trois arrondissements. Le Fonds pour une transition juste prévoit 197,4 millions d’euros à destination de projets publics sur ces territoires. La Wallonie dispose par ailleurs de 241,5 millions pour des projets privés à destination des grandes, moyennes et petites entreprises.
Quel est le point commun entre le casse du siècle de Marco Mouly et la compensation des émissions d'un vol en avion ? Le carbone. Mais pour le reste, les sulfureux quotas carbone et crédits carbone, souvent confondus, sont des mécanismes différents.

2023

Le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières de l’UE (CBAM) vise à étendre le marché carbone européen aux importations pour prévenir les « fuites de carbone ». Cependant, il suscite des inquiétudes dans les pays en développement en raison de son impact sur leurs exportations. Pour répondre à ces craintes, il faut octroyer un traitement spécial et différencié aux pays les moins avancés et rétrocéder les recettes du CBAM aux pays en développement pour soutenir leurs politiques climatiques.
Depuis le 1er octobre, les entreprises européennes doivent déclarer leurs importations depuis l'étranger des matières premières les plus polluantes, notamment l'acier et l'aluminium, et évaluer les émissions de CO2 que leur production a générées. Des émissions qui, à partir de 2026, seront imposées au travers de la taxe carbone aux frontières.
Dans une lettre adressée à la Commission européenne, Pretoria dénonce un « fardeau injuste » qui transfère le coût du changement climatique sur les pays les plus pauvres.
L’Union européenne (UE) émet 1,5 fois plus de gaz à effet de serre (GES) par habitant que la moyenne mondiale ; les États-Unis, près de trois fois plus. Cependant, rapportées à leur PIB, leurs émissions de GES sont inférieures à la moyenne mondiale. L’UE en particulier émet moins de GES que les autres zones géographiques pour produire un euro de biens et de services. Au sein de l’UE, la France se caractérise par un mix énergétique et, par ricochet, une production dans son ensemble moins carbonés que ses partenaires, notamment l’Allemagne.
Taxe carbone aux frontières, fin des quotas gratuits, extension du marché carbone aux particuliers mais aussi aux secteurs maritime et aérien, création d’un fonds social pour le climat... Les députés européens ont adopté mardi 18 avril cinq textes clés pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris.
Les députés européens ont voté cinq textes clefs ce mardi 18 avril pour réformer le marché carbone. Ainsi, les quotas pour le «droit à polluer» des industries devront diminuer plus rapidement.
Quand on tient compte des émissions importées, le bilan des trois régions du pays est plus lourd.
Quand on tient compte des émissions importées, le bilan des trois régions du pays est plus lourd.

2022

Ce week-end, un autre accord majeur a été finalisé au sein des instances européennes : celui qui concerne la réforme du marché carbone, véritable pilier de la politique climatique de l’Union européenne. Fin des "droits à polluer" gratuits des industriels, taxation des émissions liées au chauffage et aux voitures, fonds social pour la transition... À l'issue d'âpres pourparlers, les négociateurs du Parlement européen et des États membres de l'UE se sont entendus pour relever les ambitions et étendre le champ de son marché carbone.
Fin des « droits à polluer », taxation des émissions liées au chauffage et aux voitures, fonds social pour la transition… Quelles sont les principales dispositions de la vaste réforme du marché carbone de l’Union européenne approuvée dimanche ?
A travers sa réforme du marché du carbone, 'l’Europe privilégie les industries et échoue à protéger la planète et...
Le Parlement européen, la commission et les Etats membres sont parvenus à un accord pour mettre en place une « taxe carbone aux frontières ». Un mécanisme inédit destiné à verdir les importations industrielles en faisant payer les émissions carbon...
Le projet Antwerp@C s'est vu accorder un financement européen de 144,6 millions d'euros.
États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, France et Union européenne veulent stimuler la mise en place d’un plan de sortie du charbon en Afrique du Sud… Mais cette année, les exportations de charbon sud-africain vers l’Europe, et la France en particulier, explosent.
Il doit permettre de taxer les importations polluantes, pour protéger les industriels européens et limiter les délocalisations.
Un tiers environ de l’empreinte de l’UE correspond à des processus de production localisés en dehors de son territoire. Entre 2000 et 2018, les émissions mondiales de GES ont augmenté de moitié quand la population augmentait d’un quart. Les émissions produites par l’UE ont diminué mais elles ont triplé dans le même temps en Chine.
Alors qu’il les avait rejetés il y a deux semaines, le Parlement européen a finalement adopté trois textes clés du plan de lutte de l’Union européenne (UE) contre le changement climatique le 22 juin.
Les eurodéputés ont adopté mercredi leur position sur la réforme du marché du carbone, deux semaines après avoir rejeté par surprise une première version de ce texte-clé du plan climat de l’UE, avant l’ouverture de négociations avec les Etats membres. Le Parlement européen, réuni à Bruxelles, a adopté par 439 voix (157 contre, 32 abstentions) un compromis prévoyant l’élargissement du marché du CO2 et la suppression graduelle entre 2027 et 2032 des quotas d’émissions gratuits alloués aux entreprises, à mesure qu’entrera en vigueur aux frontières de l’UE une taxe carbone sur les importations venant de pays tiers.
Fin des voitures à essence en 2035, réforme du marché carbone... Ces mesures pourraient être votées par les eurodéputés, selon Neil Makaroff, du RAC. Mais l’« offensive » intense des lobbys industriels pourrait renverser la donne.
Pour assurer notre sécurité énergétique, l'Union européenne se tourne vers le gaz naturel liquéfié (GNL). La Commission européenne vient de signer un accord avec les États-Unis pour assurer un approvisionnement stable jusqu'en 2030. De nouvelles infrastructures vont ainsi voir le jour sur le continent. Mais le GNL a un impact carbone plus important que le gaz transporté par gazoduc. Cette stratégie pourrait donc mettre à mal nos objectifs climatiques.
La Commission européenne avait proposé en juillet d'établir un "mécanisme d'ajustement carbone aux frontières" de l'UE, pour taxer dès 2023 certaines importations (acier, aluminium, ciment, engrais, électricité) au prix du marché carbone européen, en fonction des émissions liées à leur production.
Les banques européennes continuent d'injecter des milliards de dollars dans des compagnies qui développent la production de pétrole et de gaz, en dépit de leurs engagements en faveur du climat, pointe lundi l'ONG britannique ShareAction. "Vingt-cinq banques européennes, affichant toutes des objectifs de neutralité carbone, ont fourni l'an dernier 55 milliards de dollars de financement à des entreprises qui développent leur production de pétrole et de gaz", a affirmé l'ONG dans un communiqué.
Attribuer un "label vert" européen au gaz naturel et au nucléaire, pour aider à flécher les investissements : cette perspective fait tiquer bien des défenseurs du climat et de l'environnement. Alors quelle place pour ces énergies sur le chemin d'un monde sans carbone?
Le marché européen du carbone (EU ETS) bat des records. Après dix années de faiblesse structurelle entre 2008 et 2018, où le prix du CO2 oscillait entre 5 et 10 euros la tonne en Europe, le prix des quotas d’émission flirte aujourd’hui avec la barre des 90 euros par tonne. À un tel niveau, le prix du carbone renchérit fortement les technologies très émettrices et pénalise beaucoup d’entreprises qui n’ont pas modifié leurs processus de production.
Bonne nouvelle pour la planète : les rejets de dioxyde de carbone dans l'atmosphère ont été divisés par deux l'année dernière dans le ciel européen. La raison ? Un nombre de vols drastiquement en baisse sous l'effet de la crise sanitaire, qui a imposé une fermeture des frontières et a engagé moins de voyageurs à plier bagages.

2021

Le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF) proposé par l’UE est un instrument qu’il est « légitime » d’envisager, et les États-Unis « explorent » eux aussi cette voie. « Il se peut que ce soit un instrument que nous n’ayons pas d’autres choix que d’employer si d’autres États ne se montrent pas assez sérieux en matière de réduction des émissions de carbone », a expliqué John Kerry lors d’une interview accordée à EURACTIV.
Les années 2020 et 2021 sont des années charnières pour les technologies de captage, stockage (CCS) et/ou réutilisation du carbone (Carbon Capture, Utilization and Storage – CCUS) en Europe. Une deuxième vague de projets, bien différente de celle des années 2000, est en cours de développement.
Dans le scénario de neutralité climatique à l'horizon 2050 (Net Zero Emissions) présenté par l'Agence internationale de l'énergie en mai 2021, « les besoins en CCUS sont colossaux et de plus en plus de pays intègrent cette technologie dans leur politique de décarbonation »(1) : l'AIE y envisage le captage de 1,6 milliard de CO2 par an (Gt CO2/an) dans le monde en 2030 et de 7,6 Gt CO2/an à l'horizon 2050, contre seulement près de 40 millions de tonnes de CO2 par an à l'heure actuelle.
Instaurer un "ETS" pour le chauffage, qu’est-ce que ça voudrait dire ? "ETS", c’est un acronyme anglophone pour dire "Emission Trading System". C’est un système déjà imposé à plusieurs secteurs industriels fortement polluants, pour les pousser à limiter leurs émissions de gaz à effet de serre ou bien à payer, selon un prix du carbone fixé.
Malgré la baisse des émissions de dioxyde de carbone et de soufre, le secteur doit encore réduire drastiquement son empreinte écologique afin que l’UE atteigne la neutralité carbone en 2050.
Le projet de « taxonomie » européenne pourrait s’avérer être un bon instrument pour atteindre la neutralité carbone mais il cache des enjeux économiques et politiques de taille qui servent avant tout les industries. Rétrospective 2021 - Publié initialement le 12 avril 2021
La Commission européenne a présenté le 14 juillet une douzaine de propositions dans le cadre de son plan climat, ayant pour objectif de réduire les émissions de CO2 en Europe de 55% d’ici à 2030. Le renforcement du marché carbone européen est l’un des piliers de ce projet, malgré les réserves des Etats membres et des ONG.
Si le prix du carbone s’appliquait à l’ensemble des pays, sans frontières, les règles du jeu seraient identiques pour tous. À l’inverse, un prix du carbone appliqué à une seule zone peut impacter les échanges commerciaux. Il risquerait d’inciter les entreprises à délocaliser les émissions vers les régions sans tarification carbone plutôt qu’à les réduire. C’est le risque dit de « fuites de carbone », qui soulève la question du lien entre la politique climatique de l’Union européenne (UE) et sa politique commerciale.
La Commission européenne dévoile mercredi son plan de bataille pour le climat, un colossal ensemble de textes baptisé "Fit for 55" ("Paré pour 55") en référence à l'objectif de l'UE de réduire ses émissions carbone de 55% d'ici 2030.
Sur le marché carbone, la fixation du plafond est la décision la plus cruciale : elle conditionne le degré de contrainte qui pèse sur les acteurs, et, partant, la plus ou moins grande rareté qui fera monter ou baisser le prix. Pour mieux comprendre son fonctionnement, il convient d’examiner comment a été prise cette décision depuis son lancement.
Après une décennie d’échec, les quotas carbone semblent commencer à remplir leur rôle : pousser à la baisse des émissions de CO2. Le marché carbone pourrait s’élargir à de nouveaux secteurs, selon une réforme qui sera proposée le 14 juillet par la Commission européenne.
La neutralité climatique introduite à l’article 4 de l’accord de Paris s’applique à l’échelle de la planète. Elle vise à équilibrer les rejets anthropiques de gaz à effet de serre et leur élimination par les puits. Autrement dit, à atteindre une situation « ZEN » (« Zéro Emissions Nettes ») dans laquelle le flux des émissions entrant dans l’atmosphère s’équilibre avec celui qui s’en échappe.
La Commission européenne va mettre en place un fonds destiné à aider les ménages vulnérables si leur facture de carburant augmente, et ce, à la suite d’un projet d’extension de la tarification du carbone aux transports et aux systèmes de chauffage des bâtiments. Le mois prochain, la Commission proposera un ensemble de mesures visant à réduire plus rapidement les émissions de gaz à effet de serre au cours de la présente décennie, notamment en modifiant les taxes sur les carburants et en renforçant les objectifs en matière d’énergies renouvelables.
Plus de 90 aéroports européens se sont engagés à atteindre la « neutralité carbone » dès 2030, un objectif en avance de 20 ans sur les promesses du secteur mais qui n’inclut pas les émissions de gaz à effet de serre des avions eux-mêmes, a annoncé jeudi l’instance les fédérant.
Les droits d'émission pour une tonne de CO₂ mis en place en Europe dépassent les 50 euros pour la première fois. Le prix a augmenté de 1,3 % mardi et atteint 50,05 euros. Les entreprises ne disposent que d'un nombre limité de droits d'émission et doivent en acheter davantage si elles émettent plus de CO₂ pendant la production. Ce système de quotas d'émission doit accélérer la transition vers une production verte dans l'Union européenne. En réduisant le nombre de droits en circulation chaque année, le prix doit augmenter. L'objectif est que les entreprises décident finalement d'investir pour réduire les émissions de CO₂.
Avec la participation des plus gros pollueurs de la planète, y compris la Chine, le sommet virtuel réuni par le président des Etats-Unis, Joe Biden, a relancé la dynamique mondiale sur le climat et montré que, dans ce domaine, la coopération est possible.
Comment concilier hausse des exigences climatiques et compétitivité ? Les eurodéputés ont voté, le 10 mars, en faveur d'une taxe aux frontières pour les produits issus des pays dont les normes environnementales sont moins ambitieuses. En contrepartie, les quotas de droits à polluer alloués gratuitement au sein de l'Union européenne devraient être supprimés.
L’Europe se prépare à lancer un pavé dans la mare du commerce mondial. À moins que ce ne soit un caillou: la Commission donnera le ton en juin en mettant sur la table sa proposition de mécanisme d’ajustement carbone aux frontières. En attendant, le Parlement plaide pour un outil ambitieux, qui couvrirait 94% des émissions industrielles de gaz à effet de serre.
De quoi s’agit-il? Concrètement, cinq entreprises européennes, des grands groupes mondiaux leaders dans leur secteur et des entreprises de taille moyenne ou petite, ont pris l’engagement public, et vérifiable par la Commission selon la méthode qu’elle préconise, de mesurer et de réduire les émissions de gaz à effet de serre de leurs produits ou plus généralement de leurs activités. Elles ont aussi promis – progrès tellement attendu – de faire en sorte que les consommateurs bénéficient d’une information claire et vérifiable sur l’empreinte carbone.
Le Système d’échange de quotas d’émission de l’Union européenne (SEQE-UE), le principal levier de l’UE pour lutter contre les émissions de CO2, semble ne pas avoir obtenu les résultats escomptés. Des groupes industriels de premier plan, souvent avec l’accord de leurs propres gouvernements, profitent des faiblesses du système et continuent à produire de l’énergie fossile. L’une des solutions pour réduire les émissions de CO2 - les gaz à effet de serre étant l’une des principales causes du réchauffement climatique - est de les taxer...
En termes de CO2, la production d’électricité est l’activité humaine qui a le pire impact sur l’environnement en Europe. Si les émissions de gaz à effet de serre dans l’UE tendent à diminuer, elles restent des obstacles majeurs pour atteindre la neutralité carbone. Pendant ce temps, à l’Est, des dizaines de centrales à charbon sont amenées à être construites très prochainement.

2020

Un défi de taille pour l'Union européenne. Au-delà de cet objectif, l'UE souhaite aller plus loin encore en voulant doubler son trafic ferroviaire à grande vitesse. L'exécutif européen a rappelé en effet l'importance de ces objectifs : "Il est nécessaire de réduire de 90% les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur des transports d'ici 2050 pour que l'Europe devienne à cette date neutre en carbone".
La Pologne est le seul pays membre de l’Union européenne à ne pas s’être engagé à suivre l’objectif de « neutralité carbone » d’ici à 2050(1). Selon une étude de l’Institut économique polonais (PEI) publiée le 19 août(2), Varsovie pourrait envisager d'atteindre cette cible entre 2056 et 2067. En Pologne, les énergies fossiles ont compté pour 93% de la consommation d’énergie primaire en 2019 (44,6% pour le seul charbon)
Depuis la COP21 de 2015, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à s'engager dans la neutralité carbone. Mais cela implique qu'elles fassent appel à la compensation carbone, sans forcément avoir établi en parallèle une trajectoire de réduction des émissions de CO2 compatible avec le scénario 1,5°C. Or la neutralité carbone ne peut être atteinte que si ce prérequis est rempli, au risque sinon de ralentir la lutte contre le changement climatique.
La neutralité carbone en Europe d'ici 2050 : effet d’annonce ou révolution copernicienne? - La Libre /*! normalize.css v3.0.0 | MIT License | git.io/normalize */html{font-family:sans-serif;-ms-text-size-adjust:100%;-webkit-text-size-adjust:100%}body{margin:0}article,aside,details,figcaption,figure,footer,header,hgroup,main,nav,section,summary{display:block}audio,canvas,progress,video{display:inline-block;vertical-align:baseline}audio:not([controls]){display:none;height:0}[hidden],template{display:none}a{background:0 0}a:active,a:hover{outline:0}abbr[title]{border-bottom:1px dotted}b,strong{font-weight:700}dfn{font-style:italic}h1{font-size:2em;margin:.67em 0}mark{background:#ff0;color:#000}small{font-size:80%}sub,sup{font-size:75%;line-height:0;position:relative;vertical-align:baseline}sup{top:-.5em}sub{bottom:-.25em}img{border:0}svg:not(:root){overflow:hidden}figure{margin:1em 40px}hr{-moz-box-sizing:content-box;box-sizing:content-box;height:0}pre{overflow:auto}code,kbd,pre,samp{font-family:monospace,monosp
Ce projet permettrait d'alimenter pendant encore trente ans la principale centrale du pays, et principale émettrice de CO2 de l'Union européenne. A l'heure où, partout en Europe, on débat de la date de fermeture des dernières mines de charbon, le gouvernement polonais envisage d'en ouvrir une nouvelle. Une mine de lignite à ciel ouvert, particulièrement profonde, qui obligerait 3 000 personnes vivant aux alentours de Zloczew, dans le centre de la Pologne, à quitter leurs foyers.

2019

Ce n'est pas la première fois que des sociétés humaines se trouvent au pied du mur face à descrises qui appellent à un sursaut majeur. Face aux enjeux du XXIe siècle, des réponses démocratiques fortes peuvent être mises en place, comme ce fut déjà le cas après la crise de1929. Un Green New Deal social, économique et écologique peut aujourd'hui répondre à ces enjeux avec cohérence et efficacité....

2018

Dans une tribune publiée dans le Monde, ces scientifiques appellent à une réduction de l'accroissement démographique, sous peine de se diriger vers "une catastrophe pour notre planète"

2016