les Ressources Minières

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2024

Dans une lettre ouverte envoyée ce jeudi 11 juillet aux pays du G20, d’ex-chefs d’Etat et de gouvernement défendent l’idée d’un accord mondial visant à taxer les ultra-riches, afin de lutter contre l’évasion fiscale.
L'ancien président américain Donald Trump, futur candidat à l'élection présidentielle de novembre, a appelé les hauts dirigeants des entreprises pétrolières à financer sa campagne par des dons, rapporte jeudi le quotidien The Washington Post.

2023

Derrière les sourires de la photo de famille, sous le soleil de Dubaï, les désaccords sur le pétrole restent profonds: après des dizaines de discours de dirigeants mondiaux à la tribune de la COP28 vendredi, le succès d'un grand accord pour rompre la paralysie climatique semble loin d'être acquis.
Les dirigeants de la Ligue arabe et de la Commission de l'Union africaine craignent le pire en cas d’invasion de l’armée israélienne.
Au service de quelle économie faisons-nous produire nos entreprises ? A quoi sert sa croissance ? À quoi sert l’enrichissement du PIB ? Quel modèle notre activité économique et celle de nos collaborateurs viennent-elles nourrir ? Aujourd’hui, nous en revenons tous aux fondamentaux. Et il est désormais indéniable que les règles du jeu économique détruisent le monde vivant. Il nous en faut donc de nouvelles, avec de nouvelles institutions pour les encadrer. La radicalité est aujourd’hui essentielle, parce que nous avons besoin de modèles économiques, d’institutions et de modes d’organisation radicalement nouveaux.
À l'occasion du Sommet de Paris "pour un nouveau pacte financier" mondial, qui se tient les 22 et 23 juin, 13 dirigeants ont publié mercredi une tribune dans laquelle ils s'engagent à "avancer sur des mesures concrètes" pour une "transition écologique juste et solidaire". Parmi eux, Emmanuel Macron, Joe Biden ou encore Olaf Scholz.
D’après le collectif de journalistes d’investigation Forbidden Stories, la «Team Jorge», une entreprise sans existence légale composée d’anciens des services de sécurité israéliens, serait intervenue dans 33 campagnes électorales.
La justice japonaise a tranché en faveur des anciens dirigeants de la compagnie d’électricité Tepco. Une décision qui a suscité la colère et l’incompréhension des victimes plaignantes.

2022

Jacques Huybrechts est le fondateur de l’Université de la Terre, une vaste rencontre autour de l’écologie qui se tient à l’Unesco, à Paris, les 25 et 26 novembre prochains. À Vert, il raconte sa démarche pour en faire une Université ouverte et portée sur l’action.
La 27e conférence mondiale sur le climat de l'ONU continue lundi et mardi à Charm el-Cheikh, en Égypte, avec l'entrée en scène de 110 chefs d'État et de gouvernement. Dimanche, les délégués à la COP27 ont décidé de mettre pour la première fois à l'agenda officiel la question du financement des dommages déjà causés par le réchauffement.
Les chefs d'État et de gouvernement de quarante-quatre pays ont lancé jeudi, à Prague (Tchéquie), la première réunion de la "Communauté politique européenne" (CPE), nouveau forum de dialogue et de coopération, à l'heure de l'agression russe en Ukraine et de la crise énergétique. Malgré la diversité des points de vue et des intérêts des participants, l'objectif de la réunion est de "montrer un message d'unité de notre Europe", a déclaré, à son arrivée au Château de Prague, le président français Emmanuel Macron, qui avait donné en mai dernier le véritable élan de cette initiative.
Pour la première fois depuis mars, plusieurs centaines de jeunes activistes se sont rassemblés vendredi, notamment à Paris, pour relancer la mobilisation et rappeler le besoin de «rupture» dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Tandis que plus de 1 100 personnes ont péri dans des inondations sans précédent et que des millions d’autres sont affectées, les autorités brillent par leur absence, s’insurge l’“Express Tribune” de Karachi dans un éditorial.
Quatre-vingt quatre dirigeants d’entreprises français plaident pour faire de la sobriété énergétique un choix collectif.
Les dirigeants du G7 se sont accordés sur la création d’un « club climat », ont-ils déclaré dans un communiqué, à l’issue du sommet qui s’est tenu en Allemagne du dimanche 26 au mardi 28 juin.
La pandémie, la guerre en Ukraine, ou encore la crise alimentaire qui se profile font planer sur l'Europe des menaces durables de tensions et soubresauts politiques, affaiblissement industriel, vague migratoire, autant de défis pour ses dirigeants.
Un groupe indépendant d’anciens dirigeants de pays du Nord et du Sud, présidé par Pascal Lamy, recommandera une stratégie pour réduire les risques liés à une hausse supérieure à l’objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris.
Le secrétaire général de l'Otan, le Norvégien Jens Stoltenberg, a salué jeudi la volonté des dirigeants finlandais d'intégrer l'Alliance atlantique et leur a promis un processus d'adhésion "sans heurts" et rapide.
La COP15 contre la désertification s’ouvre ce lundi à Abidjan, en Côte d’Ivoire. C’est la première fois que l’Afrique, gravement touchée par la sècheresse, accueille cette rencontre onusienne sur son sol. Jusqu’au 20 mai, des dirigeants de 197 pays chercheront ainsi des pistes d’actions concrètes pour freiner la dégradation des terres et ses conséquences néfastes pour la biodiversité et les populations locales à travers le monde.
L'Inde prévoit de mettre en location des mines de charbon abandonnées auprès de compagnies minières, en vue de soutenir une production qui peine à faire face aux conséquences d'une vague de chaleur record dans le pays, a annoncé vendredi le gouvernement indien. Au total, le gouvernement prévoit de louer plus de 100 mines de charbon publiques dormantes à des sociétés minières privées sur la base d'un partage des revenus. Les dirigeants indiens se sont ainsi dits prêts à simplifier les démarches administratives pour encourager les offres de géants miniers tels que Vedanta, Adani et d'autres.
Des trolls pro-russes mènent une guerre de l'information depuis une ancienne usine de Saint-Pétersbourg, d'où ils ciblent des dirigeants occidentaux et relaient la propagande du Kremlin concernant l'Ukraine, a rapporté dimanche le gouvernement britannique qui a commandé une étude sur le sujet.
À l’instar d’Emmanuel Macron, les candidats à l’élection présidentielle ont peu à peu infléchi leurs discours vers l’écologie. En cela, ils n’ont fait que suivre la loi universelle qui veut que la virtuosité des dirigeants politiques consiste non à dominer, à faire preuve d’inventivité politique, à créer avec « art » de nouvelles institutions, mais parfois à deviner, à simplement entendre, ce que pensent, veulent, visent les citoyens dans leur majorité et à s’aligner en leur envoyant des signes, ténus ou explicites, de pure et simple allégeance.
Il est parfois surnommé le "pape cool" de l'écologie. Mais quand Rob Hopkins est invité par une alliance de dirigeants d'entreprises belges, il s'avoue "nerveux". Le cofondateur (en 2007) du Transition Network n'a pas l'habitude de se frotter au monde des affaires. De la rencontre presque improbable, nous retirons un condensé des défis business adressé aux entreprises, par Rob Hopkins.
175 pays, réunis par l'Assemblée des Nations unies pour l'environnement (ANUE) ont voté une résolution ouvrant la voie à un traité mondial de lutte contre la pollution plastique. Ce texte juridiquement contraignant est considéré comme la principale avancée en matière d'environnement depuis l'accord de Paris en 2015. Les discussions devraient durer au moins deux ans.
Dans le deuxième volet de son dernier rapport, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat exhorte les dirigeants et citoyens à agir de toute urgence pour ralentir le changement climatique. Après cette publication, la presse occidentale est unanime face au danger, mais observe que “le Giec semble prêcher dans le désert”.
Le Giec a dévoilé ce lundi le deuxième volet de son sixième rapport de synthèse dans lequel il pointe notre impréparation à faire face aux dérèglements climatiques.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a dénoncé lundi l'"abdication criminelle" des dirigeants mondiaux dans la lutte contre le réchauffement, en réponse à un rapport scientifique décrivant la "souffrance" de l'humanité frappée par les catastrophes climatiques.
A la veille d’une rencontre au siège de la SNCF, vingt-quatre dirigeants d’entreprises ferroviaires européennes demandent, dans une tribune publiée par « Le Journal du dimanche », un investissement massif de l’UE pour concurrencer l’aérien et le transport routier.
Le Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) a débuté ses travaux dimanche à Doha avant un sommet mardi avec ses dirigeants pour examiner les moyens d'accroitre leur production, en pleine crise entre la Russie et l'Ukraine. Les Occidentaux redoutent une attaque d'ampleur de Moscou contre l'Ukraine, une situation qui suscite des craintes pour leur approvisionnement en gaz russe et a contribué à l'envolée les prix du gaz. Le FPEG réunit ses 11 pays membres -Qatar, Russie, Iran, Algérie, Bolivie, Egypte, Guinée équatoriale, Libye, Nigeria, Trinité-et-Tobago et Venezuela- représentant plus de 70% des réserves de gaz mondiales.
Les craintes d’une invasion russe en Ukraine sont à leur comble. En cause : la multiplication des violations du cessez-le-feu entre séparatistes prorusses et forces ukrainiennes, qui se battent depuis 2014 dans l’est de l’Ukraine, dans un conflit qui a fait plus de quatorze mille morts.
Le doyen d’une école de commerce australienne s’insurge contre le vent réactionnaire qui souffle sur son milieu. Lieux de formation des dirigeants de demain, les écoles de commerce feraient mieux de se remettre en question.
L’image est parlante : « Du plus petit plancton à la plus grosse baleine », le plastique est omniprésent dans les océans, avertit, mardi 8 février, le WWF. Le Fonds mondial pour la nature rappelle que cette invasion de plastique menace la biodiversité marine et appelle les dirigeants du monde entier à s’engager rapidement vers un traité sur le sujet.
L'édition 2022 du "Global Risks Report" du Forum économique mondial pointe la crise climatique, l'aggravation des fractures sociales, l'augmentation des cyber risques et une reprise mondiale disparate comme principaux risques globaux cette année.
L'édition 2022 du "Global Risks Report" du Forum économique mondial pointe la crise climatique, l'aggravation des fractures sociales, l'augmentation des cyber risques et une reprise mondiale disparate comme principaux risques globaux cette année. Selon le rapport publié mardi et réalisé par l'organisateur du forum de Davos, les dirigeants mondiaux doivent adopter "une réponse multipartite coordonnée" pour résoudre ces problèmes systémiques.

2021

Le bonheur se cache dans une croissance infinie. C’est avec ce concept que les dirigeants de nos pays ont pris l’habitude de mentir à la hausse. Dans cette surenchère de promesses dithyrambiques, les peuples ont fini par y croire et l’exiger. Ainsi, sans proposer monts et merveilles, les chances d’élection s’amenuisent proportionnellement.
Une vague de manifestations contre des projets industriels polluants secoue les dirigeants serbes. L’écologie s’impose comme la principale force de résistance à l’effritement de la démocratie dans le pays.
Tout ça pour ça. Quand on pense aux attentes suscitées par cette COP26, à l’énergie et aux moyens (souvent coûteux en gaz à effet de serre) déployés, on ne peut qu’être épouvantablement déçus, voire révoltés devant le résultat obtenu à Glasgow par les dirigeants de la planète. Le message envoyé aux jeunes mobilisés en masse pour tenter de sauver ce qu’il reste à sauver c’est, en gros : «On va tous dans le mur mais laissez-nous en profiter à fond d’ici là.»
La tenue de la COP sur les changements climatiques tombe vraiment mal. La priorité de l’instant n’est pas climatique, mais résolument géopolitique, économique et stratégique. A la sortie de la pandémie, aucun pays ne veut rater le wagon de la croissance et, au demeurant, perdre une place dans le classement international du pouvoir. Le réchauffement attendra et les dirigeants l’ont bien compris. Pour avoir la paix, il leur a suffi d’émettre un objectif zéro carbone assez lointain dans le temps. L’exemple de la pétrolière Arabie saoudite est particulièrement hilarant.
Après une première semaine riche en annonces plus ou moins significatives, la COP26 entre dans le dur. Les négociations sur le climat, qui doivent s’achever vendredi, deviennent plus techniques. Les dirigeants sont en train de bûcher sur «de nouveaux plans climatiques d’ici 2023 pour maintenir 1,5°C à portée de main, les flux financiers, les règles de reporting et le fonctionnement des marchés mondiaux du carbone», résume l’European Climate Foundation. Avec trois mauvais élèves qui tentent de freiner les actions ambitieuses : l’Arabie saoudite, le Brésil et l’Australie. Libération fait le point sur trois dossiers brûlants.
La Conférence COP26, à Glasgow prend la mesure du défi qui nous attend. Plusieurs dirigeants ont dit qu’il ont dit qu’il faut agir maintenant pour sauver le monde. L’ancien secrétaire-général de l’ONU Ban Ki Moon a déclaré que nous avions laissé tomber le monde, laissé tomber les communautés les plus vulnérables.
Les dirigeants des compagnies pétrolières avaient-ils été prévenus, dès les années 1970, de leur responsabilité dans les futurs changements climatiques? La comparution récente, devant les élus de Washington, de quatre de ces dirigeants, a relancé les comparaisons avec leurs homologues du tabac qui, dans les années 1980 et 1990, avaient été accusés d’avoir dissimulé de l’information sur l’impact nocif de la cigarette. La comparaison tient-elle? Le Détecteur de rumeurs a remonté le temps.
Les jeunes dans les rues pour dénoncer le « bla-bla-bla » des dirigeants, Greta Thunberg qualifie d’« échec » la COP26
Au moment où les dirigeants des différentes nations échangent sur les moyens de contrer la progression du changement climatique, les villes se mettent en action grâce à leurs propres réseaux.
Ils veulent des actes, et pas du « bla-bla-bla ». Accusant les dirigeants mondiaux de faire des promesses creuses, les jeunes sont dans la rue, vendredi 5 novembre, à Glasgow (Ecosse) pour pousser les gouvernements à agir, à la fin de la première semaine de la COP26.
La France, l’Allemagne, l’Argentine, le Canada, le Brésil, les Etats-Unis, l’Indonésie, l’Irak ou encore le Royaume-Uni se sont engagés à réduire les émissions mondiales de méthane d’au moins 30 % d’ici à 2030 par rapport aux niveaux de 2020. Il s’agit du premier engagement politique mondial en la matière.
La COP26 qui réunit actuellement les dirigeants mondiaux à Glasgow, en Écosse, pour un sommet sur le climat a été l'occasion pour le Premier ministre belge Alexander De Croo de s'exprimer sur le sujet. Son allocution a cependant déçu l’initiatrice du mouvement Youth for Climate Belgium, Anuna De Wever: "Des soupirs et des rires d'incrédulité face aux nombreux clichés."
À l’occasion de la COP26, qui s’est ouverte en début de semaine à Glasgow en Écosse et lors de laquelle les dirigeants de la planète sont censés concentrer leurs efforts pour lutter contre le réchauffement climatique, l’heure est à la coopération régionale en Méditerranée orientale et au Moyen-Orient.
Les dirigeants mondiaux réunis à Glasgow pour la COP26 doivent s'engager mardi au deuxième jour du sommet sur le climat à enrayer la déforestation d'ici 2030, mais leur promesse est déjà jugée trop lointaine par les défenseurs de l'environnement.
La Chine a augmenté de plus d'un million de tonnes sa production quotidienne de charbon dans un contexte de pénurie d'électricité, au moment où les dirigeants mondiaux négocient âprement un accord à la COP26 pour épargner à la planète un réchauffement climatique "catastrophique".
La Chine a augmenté de plus d'un million de tonnes sa production quotidienne de charbon dans un contexte de pénurie d'électricité, au moment où les dirigeants mondiaux négocient âprement un accord à la COP26 pour épargner à la planète un réchauffement climatique "catastrophique".
La souveraine de 95 ans a dit espérer que cette conférence de deux semaines, à laquelle elle ne peut pas assister en raison de son état de santé, soit "l'une de ces rares occasions où chacun aura la possibilité de s'élever au-dessus de la politique du moment et de faire preuve d'un véritable sens politique".
Le monde doit agir maintenant pour "sauver l’humanité" des catastrophiques impacts du réchauffement, a exhorté lundi le secrétaire général de l’ONU lors d’un sommet climat tant attendu qui a laissé de nombreux observateurs sur leur faim.
"Il est temps de dire 'Assez'", a lancé Antonio Guterres devant environ 120 dirigeants de tous les continents et des milliers de délégués et d'observateurs. "Assez de brutaliser la biodiversité. Assez de nous tuer nous-mêmes avec le carbone. Assez de traiter la nature comme des toilettes. Assez de brûler et forer et extraire toujours plus profond. Nous creusons nos propres tombes", a-t-il martelé, dénonçant notre "addiction aux énergies fossiles".
La Conférence de la jeunesse (COY) réunit des jeunes âgés de moins de 30 ans, venus du monde entier pour s'accorder sur des demandes à transmettre aux dirigeants.
Les dirigeants des grandes économies de la planète, réunis en G20 à Rome, ont réussi à s'entendre dimanche sur des engagements pour le climat un peu plus ambitieux que ceux de l'accord de Paris, au moment où s'ouvre la COP26 en Ecosse.
Les dirigeants du G20 se sont entendus a minima, dimanche, sur un objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré au-dessus des niveaux préindustriels, avec un engagement à ne plus subventionner les centrales au charbon à l'étranger. Mais pas de date claire pour sortir du charbon ou des énergies fossiles, ni pour arriver à la neutralité carbone.
Fin des subventions aux centrales électriques au charbon à l’étranger et poursuite des efforts pour limiter le réchauffement climatique à +1,5 °C. Mais les dirigeants des vingt économies les plus puissantes du monde n’ont fixé aucune date limite pour parvenir à la neutralité carbone.
Les dirigeants du G20 se sont entendus dimanche sur un objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels, avec une formulation plus ambitieuse que dans l’accord de Paris, selon plusieurs sources proches des négociations.
C'est le rendez-vous climatique le plus important depuis la COP21. La COP26 s'est ouverte dimanche, à Glasgow, au Royaume-Uni, jusqu'au 12 novembre. Les dirigeants du monde entier doivent désormais passer des promesses aux actes pour s'inscrire dans la trajectoire fixée par l'Accord de Paris. C'est un moment de vérité qui doit permettre de relancer la dynamique. Mais les chances de succès sont mitigées dans un contexte international tendu, alors que Vladimir Poutine et Xi Jinping, qui comptent parmi les principaux pays pollueurs au monde, ne se rendront pas en Écosse.
Plusieurs centaines de personnes se sont retrouvées samedi à Glasgow pour presser les dirigeants du monde entier d'agir en faveur du climat, à la veille de la COP26, cruciale pour l'avenir de la planète.