les Ressources Minières

OA - Liste

Les Ressources minérales (*)

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

espace50x10

Résultats pour:
exploitation

2024

Vues du ciel, les eaux aux teintes turquoises du Balkhach s'étirent en forme de croissant au milieu des étendues désertiques du Kazakhstan. Mais leur surexploitation, la pollution et le changement climatique menacent l'existence du deuxième plus grand lac d'Asie centrale.
Emma Wilson, chargée de plaidoyer d’une coalition d’ONG, fait le bilan du sommet annuel de l’Autorité internationale des fonds marins, achevé vendredi 2 août. Et se réjouit qu’une océanographe ait été élue secrétaire générale.
Face à la résistance farouche des partisans de l'extraction minière sous-marine, les opposants à cette activité controversée ont essuyé un revers vendredi à l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM), échouant à faire un premier pas vers un éventuel moratoire.
Les images de membres de la tribu Mashco Piro, aperçus en dehors de la forêt dans laquelle ils vivent isolés, inquiètent quant à l’impact de l’exploitation forestière sur leur mode de vie et leur survie.
Selon l’Association nucléaire mondiale, le site de Jabiluka est l’un des plus grands gisements à forte teneur en uranium inexploités au monde.
Près de 5 000 espèces de vertébrés sont menacées par le secteur de l’industrie extractive, en particulier dans les zones tropicales, révèle une étude britannique.
L’Autorité internationale des fonds marins réunit ses instances annuelles à partir du 15 juillet, à la Jamaïque. Ses membres s’opposent sur l’intérêt et les risques liés à la récolte des métaux présents sur le plancher des océans.
Pour The Conversation France, la chercheuse Fanny Verrax a suivi les débats et présentations du projet d'exploitation de lithium dans l'Allier, présenté comme « une mine responsable ».
L’accord, présenté lundi, prévoit l’établissement d’une taxe carbone à partir de 2030, à laquelle échapperont les agriculteurs qui ont déjà investi dans des technologies permettant de réduire les émissions.
Le spécialiste français de l'uranium Orano fait un pas vers l'exploitation prochaine de l'important gisement d'uranium d'Imouraren au Niger, avec le lancement récent de travaux préparatoires, dans ce pays où un régime miliaire hostile à la France a pris le pouvoir en juillet 2023.La filiale d'Orano, "Imouraren SA a franchi un nouveau jalon dans la mise en exploitation du gisement d'Imouraren" avec "le lancement des travaux préparatoires" intervenu "récemment", a annoncé mercredi un porte-parole du groupe à l'AFP.
Le retour de Janco sur LIMIT après 1an d'absence, voici l'épisode 3.
Le gouvernement de Joe Biden a annoncé vendredi interdire toute nouvelle exploitation de gaz ou de pétrole dans une vaste zone du nord-ouest de l'Alaska, une région particulièrement fragile face au changement climatique.En pleine année électorale, le président américain semble chercher à solidifier son bilan environnemental, afin de convaincre notamment chez les jeunes, dont certains avaient été heurtés par la décision d'autoriser un grand projet pétrolier dans cette même zone d'Alaska l'année dernière.
Des affrontements entre forces de l’ordre et habitants ont eu lieu à Palo Quemado, une commune rurale équatorienne située à une centaine de kilomètres au sud-est de Quito. En cause, la résistance des habitants à un projet de concession minière accordé à une entreprise canadienne, et qui pourrait menacer la culture de canne à sucre, labellisée bio et rémunératrice pour les communautés locales.
L’exécutif a annoncé ce vendredi 12 avril des mesures de modernisation en faveur de la production énergétique et de l’extraction des matières premières, comme le lithium ou le cuivre.
Xavier Deleu et Marianne Kerfriden montrent les ravages causés par la sylviculture intensive et dénoncent les pratiques du géant suédois de l’ameublement, responsable de l’abattement de 1 % des forêts chaque année.
Alors que la Compagnie des pêches de Saint-Malo exploite le plus grand chalutier du monde, l'Annelies Ilena, la Bretagne s'apprête quant à elle à voter ce vendredi 16 février sa nouvelle feuille de route sur la pêche. Or, les associations de défense de l'environnement y voient la perpétuation d'une pêche toujours plus industrielle et écologiquement destructrice.
Dans la commune de Libin, la demande d'exploitation d'un puits par la société Greencap, spécialisée dans la culture de...
Le tribunal d’Oslo a donné raison à deux ONG en invalidant ce jeudi 18 janvier les permis de productions de trois gisements. «Une victoire totale pour le climat», salue Greenpeace.
Une victoire en demi-teinte. Par 80 voix contre 20, le parlement norvégien a autorisé l’exploration minière des fonds marins en mer Arctique, mardi 9 janvier. Quant à leur exploitation, ce n’est pas encore à l’ordre du jour, ce que saluent les défenseurs de l’environnement mobilisés depuis plusieurs jours.

2023

La hausse de la valeur de l'or dans le monde a amplifié l'exploitation minière illégale en Amazonie, où du mercure liquide est déversé dans le fleuve Amazone. Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme, affirmant que les communautés autochtones seront les premières victimes.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a ordonné mardi au géant public pétrolier PDVSA d'accorder des licences d'exploitation des ressources de la région de l'Essequibo, riche en pétrole et objet d'un litige territorial avec le Guyana voisin.M. Maduro a déclaré lors d'une réunion gouvernementale qu'il allait créer une division régionale de PDVSA, et a donné l'ordre de procéder "immédiatement" à "l'octroi de licences" pour "l'exploitation du pétrole, du gaz et des mines dans toute la région".
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a ordonné mardi la délivrance de licences d’exploitation des ressources de la région de l’Essequibo, riche en pétrole et disputée avec le Guyana voisin, qui a dit considérer ces déclarations comme "une menace directe".
Face aux risques inhérents à l'exploitation minière des fonds marins, les ONG environnementales alertent. La conférence de Nice en 2025 sera une occasion de faire pression pour un moratoire sur l'exploitation minière des fonds marins.
Les gouvernements sont appelés à cesser d’octroyer de nouveaux permis d’extraction de charbon, de pétrole et de gaz, alors que dix pays concentrent plus des trois quarts des sites les plus émetteurs de CO2.
Emmanuel Macron, qui avait été le premier président français à se rendre en Mongolie, a reçu jeudi son homologue Ukhnaa Khurelsukh lors d'une visite qui a permis de débloquer un accord d'envergure en vue de l'exploitation d'une grosse mine d'uranium par le français Orano.Tapis rouge, garde républicaine, avant un banquet à l'Elysée: c'est avec le faste d'une visite d'Etat qu'a été accueilli à Paris le chef de l'Etat mongol, à la tête d'un vaste pays enclavé entre la Chine et la Russie.
Rishi Sunak autorise l’exploitation du plus grand champ de pétrole non développé du Royaume-Uni, en mer du Nord, au mépris de l’urgence climatique.
Dans un souci de protection de l'environnement, l'administration du président américain Joe Biden a annoncé mercredi l'interdiction de toute nouvelle exploitation de gaz ou de pétrole dans une zone d'Alaska à la superficie comparable à celle du Danemark. Pourtant, le démocrate avait approuvé cette année un vaste projet pétrolier dans cette même région.
L'ONU lance une plateforme qui évalue, pour la première fois, l'ampleur de l'extraction du sable du fond des mers et des océans. L'organisation s'alarme d'une surexploitation de la ressource, préjudiciable à l'environnement.
Grande comme trois fois la France mais peuplée de 3 millions d’habitants, la Mongolie entend s’engager sur la “voie de la prospérité”. Le Premier ministre Luvsannamsrain Oyun-Erdene a lancé plusieurs réformes économiques pour convaincre les investisseurs étrangers d’exploiter les immenses ressources minières d’un pays longtemps fragilisé par la corruption, raconte l’envoyé spécial du “Financial Times”.
Outre-Rhin, la mine de charbon de Garzweiler fait de nouveau parler d'elle alors que l'énergéticien RWE a entrepris la démolition d'installations renouvelables pour notamment permettre l'extraction de lignite.
Le quotidien burkinabè “Sidwaya” est parti à la rencontre de Djenma Héma, l’heureux propriétaire d’une exploitation verdoyante, dans laquelle l’agriculture est pensée comme parfaitement intégrée aux cycles naturels et à l’environnement humain.
Capitale mondiale du cobalt, le chef-lieu de la province de Lualaba n’en finit pas d’être grignoté par l’exploitation industrielle du minerai, aux mains d’une entreprise chinoise.
Une majorité d'Equatoriens ont voté pour l'arrêt de la production pétrolière dans un gisement emblématique de la réserve amazonienne de Yasuni, dans l'est de l'Equateur, a-t-on appris lundi de source officielle.Lors d'un référendum organisé dimanche parallèlement à des élections générales anticipées, les électeurs ont dit oui à 58,99% à l'arrêt de la production du "bloc 43", selon les derniers résultats publiés lundi matin et portant sur 93% des bulletins valides.
Un tollé outre-Manche. Alors que le Royaume-Uni faisait jusqu'ici figure de leader en matière climatique, le Premier ministre britannique Rishi Sunak vient d’accorder une centaine de nouvelles licences d’exploration et d’exploitation pétrolières et gazières en mer du Nord. Des actions qui ne coïncident pas avec les promesses, provoquant la colère des militants écologistes.
Le Royaume-Uni va accorder des centaines de nouvelles licences d’exploration et d’exploitation pétrolières et gazières en mer du Nord. Les écologistes dénoncent une décision catastrophique pour le climat.
Le premier ministre, Rishi Sunak, a insisté sur l’indépendance de son pays et la sécurité des approvisionnements. Chez les conservateurs, mais aussi dans l’opposition travailliste, certaines politiques écologiques sont remises en cause.
Les négociations au sein de l'Autorité internationale des Fonds marins (AIFM) se sont achevées dans la nuit de vendredi à samedi 29 juillet. Le débat portait sur la finalisation d'un code minier pour exploiter les ressources minières qui se trouvent à 4 000 mètres de profondeur et qui ne sont aujourd’hui pas réglementées. Mais la pression est de plus en plus forte pour un moratoire en attendant d'en savoir plus sur les conséquences environnementales d'une telle pratique.
Des négociations s'achèvent à Kingston sur la potentielle exploitation des fonds marins dans les eaux internationales. La France se positionne en fer de lance de la défense du plancher océanique et de ses écosystèmes.
Alors que la réunion annuelle de l’assemblée de l’Autorité internationale des fonds marins se tient cette semaine, une coalition de pays emmenés par Paris demande un moratoire international sur cette activité industrielle.
L’exploitation minière des fonds marins, ou « Deep Sea Mining », est une industrie naissante qui menace notre plus grand puits de carbone et de biodiversité au monde : l’océan profond.
Cuivre, nickel, cobalt... L’extraction minière dans les profondeurs marines fait fuir les animaux. Des scientifiques craignent même l’extinction de certaines espèces.
Petrobras, géant du pétrole brésilien, envisage des exploitations offshore à l’embouchure de l’Amazone, qui iraient jusqu’à la limite des eaux territoriales de la Guyane. Les habitants du département français craignent des répercussions graves sur l’environnement, relate le site d’investigation brésilien “Agência Pública”.
Une nouvelle session de négociation au sein de l’Autorité internationale des fonds marins a lieu du 10 au 28 juillet. Si le front des opposants à l’exploitation s’élargit, certains Etats et entreprises veulent au contraire se lancer rapidement.
Le conseil de l’Autorité internationale des fonds marins, qui se réunit du 10 au 28 juillet en Jamaïque, pourrait attribuer les premières autorisations d’exploitation des ressources abyssales. Une grave menace pour la biodiversité et les écosystèmes, met en garde “Le Temps”, à Genève.
Depuis juin 2020, SystExt mène un projet d’étude qui souhaite mettre en exergue les réalités de l’après-mine en France métropolitaine. Dans ce cadre, une vingtaine d’anciens sites miniers dans une dizaine de départements ont été visités, afin de rencontrer des populations affectées ainsi que les autres acteurs concernés par les pollutions minières. SystExt revient sur ces territoires miniers au travers d'une seconde série de 6 reportages de terrain, étayés de recherches bibliographiques. Cinquième volet de cette nouvelle série : Planioles dans le Lot, anciennes mines de plomb-zinc.
Selon l'Agence internationale de l'énergie, la réalisation des objectifs de l'accord de Paris visant à réduire le réchauffement climatique pourrait quadrupler la demande de métaux tels que le lithium, le cobalt et le nickel d'ici 2040. Environ un cinquième de ces réserves essentielles se trouve en Afrique.
Ils étaient 600 selon la préfecture du département, 1 500 d'après les organisateurs.
La manifestation a été lancée à l’appel d’un collectif regroupant notamment Les Soulèvements de la terre et La tête dans le sable, une association qui lutte pour la protection de cette ressource.
L’exploitation minière des grands fonds marins pourrait être autorisée dès cette année dans les eaux internationales. Or, cette industrie risque de mettre en danger des écosystèmes dont les scientifiques commencent à peine à entrevoir la richesse et l’importance, en affectant la capacité de l’océan à stocker du carbone. Explications à l'occasion de la Journée mondiale de l'océan, le 8 juin.
Au début de l’année 2023, le géant minier suédois LKAB annonçait avoir découvert le plus grand gisement de terres...
Depuis juin 2020, SystExt mène un projet d’étude qui souhaite mettre en exergue les réalités de l’après-mine en France métropolitaine. Dans ce cadre, une vingtaine d’anciens sites miniers dans une dizaine de départements ont été visités, afin de rencontrer des populations affectées ainsi que les autres acteurs concernés par les pollutions minières. SystExt revient sur ces territoires miniers au travers d'une seconde série de 6 reportages de terrain, étayés de recherches bibliographiques. Premier volet de cette nouvelle série : Ternand dans le Rhône, ancienne mine de plomb-argent.
Les Etats-Unis ont renouvelé mardi pour six mois la licence accordée à quatre compagnies pétrolières américaines pour poursuivre leurs opérations au Venezuela, l'embargo imposé en 2019 sur le brut vénézuélien restant toujours en vigueur.
Le géant de l'énergie français Engie a annoncé jeudi une progression de son résultat d'exploitation de 29,8%, à 3,8 milliards d'euros, au premier trimestre, sur l'ensemble de ses activités hors nucléaire, malgré la baisse des prix et des volumes de gaz distribués.Bénéficiant de conditions toujours "favorables sur le marché de l'énergie", le groupe multi-énergétique a enregistré un chiffre d'affaires en hausse de 14% par rapport au premier trimestre de l'an dernier, à 29,2 milliards d'euros, a-t-il annoncé dans un communiqué.
La Cour constitutionnelle de l'Equateur a donné mardi le feu vert à la convocation d'un référendum, réclamé par les écologistes depuis dix ans, sur la poursuite de l'exploitation pétrolière de la célèbre réserve naturelle de Yasuni en Amazonie.Cette instance a annoncé, dans un communiqué, avoir "émis un avis favorable (...) à la demande de consultation populaire" visant à maintenir indéfiniment sous terre le (pétrole) brut du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), connu comme le bloc 43".
Le gouvernement équatorien risque de perdre environ 1,2 milliard de dollars par an si le "oui" l'emporte lors d'un référendum sur la suspension des forages pétroliers dans un parc naturel de l'est amazonien du pays, a affirmé mercredi le ministre de l'Energie Fernando Santos.La Cour constitutionnelle a donné mardi son feu vert à cette consultation, réclamée depuis dix ans par les écologistes afin de maintenir "indéfiniment dans le sous-sol" le pétrole du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), également connu sous le nom de bloc 43.
L’État hébreu et l’Autorité palestinienne ont repris leurs discussions sur l’exploitation du camp Gaza Marine, situé au large des côtés de l’enclave palestinienne, dont les Palestiniens pourraient profiter. L’Égypte pourrait jouer un rôle pivot.
Le 5 avril, Eustacio Alcalá Díaz, militant pour les droits des indigènes et contre l’exploitation minière, a été retrouvé mort dans le Michoacán, au Mexique, trois jours après avoir été enlevé par des hommes armés, alors qu’il voyageait avec des missionnaires catholiques. Il avait organisé et gagné une procédure judiciaire pour bloquer les sociétés minières transnationales Ternium et ArcelorMittal. Il est le neuvième défenseur assassiné ou disparu au Mexique depuis le début de l’année. D’après le quotidien (...)
Le manque de contrôles a fait de notre pays une plaque tournante du commerce de bois tropicaux coupés illégalement, a révélé ce mardi l'enquête internationale Deforestation Inc,
Les présidents de 6 partis belges tirent la sonnette d’alarme sur les dangers environnementaux de l’exploitation minière des fonds marins qui s’effectuera bientôt à l’échelle industrielle. Ils appellent la Belgique à réaffirmer son statut de «Blue leader».
Au moment où de plus en plus de scientifiques nous mettent en garde contre les risques climatiques de notre dépendance aux énergies fossiles, l’Association canadienne des producteurs pétroliers (ACPP) prévoit que les investissements dans la production de pétrole et de gaz naturel atteindront 40 milliards de dollars cette année. Il s’agit de la troisième année d’affilée de croissance des investissements.
Notre folie sera-t-elle abyssale ? À nous d’en décider.
Le « prince du carbone », le « roi de l’ivoire »... Dans la série documentaire « Planet Killers », Martin Boudot part à la poursuite de criminels environnementaux. Sur France 5 à partir du 23 janvier. Trafic d’espèces sauvages ou de bois précieux, pollution criminelle, pêche et exploitation minière illégale… Selon Interpol, l’organisation internationale de coopération policière, les crimes contre l’environnement génèrent entre 100 milliards à 250 milliards d’euros par an de bénéfices. Ces écocides sont presque (...)
Le 11 janvier, sur ordre du procureur général salvadorien, la police a arrêté cinq éminents Défenseurs de l'Eau. Ils font partie des leaders de la campagne historique qui a conduit à l'interdiction de l'exploitation minière au Salvador en 2017 au nom de la protection de l'eau. Or, le gouvernement envisagerait désormais d'annuler cette interdiction. Selon les organisations de défense de l'environnement et des droits de l'Homme au Salvador, les arrestations servent un objectif politique, car elles visent à réduire au silence ces Défenseurs de l'Eau et à démobiliser l'opposition communautaire dans un moment critique pour le pays. Avec 250 autres organisations internationales, SystExt apporte aujourd'hui son soutien à une déclaration commune demandant au gouvernement salvadorien d'abandonner les charges retenues et de les libérer de prison, dans l'attente de leur procès.
Mardi 17 janvier, les députés ont adopté à la majorité absolue une résolution visant à défendre un moratoire contre l’exploitation des fonds marins dans les eaux internationales. Une activité qui n’est pas aujourd’hui réglementée et qui fait l’objet d’un vif intérêt en raison des métaux contenus dans les profondeurs. La France, qui est la deuxième puissance maritime mondiale, tente ainsi de peser dans les négociations internationales en cours.
L'Equateur a repris l'exploitation de deux gisements pétroliers dans la jungle amazonienne qui étaient depuis 1999 contrôlés par l'espagnol Repsol, dont les contrats ont pris fin samedi, a indiqué dimanche la compagnie publique Petroecuador.Elle a précisé dans un communiqué qu'elle "assume l'exploitation suite à la décision légitime et souveraine de l'Etat équatorien d'annuler les deux contrats de fourniture de services d'exploration et d'exploitation, qui arrivaient à échéance le 31 décembre 2022".
L'Équateur a repris l'exploitation de deux gisements pétroliers dans la jungle amazonienne qui étaient depuis 1999 contrôlés par l'espagnol Repsol, dont les contrats ont pris fin samedi, a indiqué dimanche la compagnie publique Petroecuador. Elle a précisé dans un communiqué qu'elle "assume l'exploitation suite à la décision légitime et souveraine de l'État équatorien d'annuler les deux contrats de fourniture de services d'exploration et d'exploitation, qui arrivaient à échéance le 31 décembre 2022".

2022

Les pays du Sud exigent que les nations favorisées partagent les bénéfices des ressources biologiques extraites sur leurs territoires, utilisées à des fins médicales, agricoles ou industrielles. Cette question de la biopiraterie constitue un obstacle majeur lors des négociations actuelles de la COP15 sur la biodiversité.
Les Amis de la Terre, Survie et quatre ONG ougandaises accusent le groupe pétrolier de violation de la loi sur le devoir de vigilance des grandes entreprises françaises en matière de droits humains et d’environnement.
Selon un rapport publié lors de la COP27, deux tiers des nouveaux projets développés sur le continent sont portés par des multinationales étrangères et la majorité sont tournés vers l’exportation.
Un répit pour les océans ? Riches en minerais, les fonds marins sont la cible de compagnies minières. Mais faute de cadre juridique, ces firmes ne peuvent pour le moment rien exploiter.
Dans le contexte du changement climatique, les Etats s’interrogent sur le bien-fondé d’aller puiser des ressources minières situées dans les grandes profondeurs, en haute mer.
Le président français Emmanuel Macron a plaidé lundi à la COP27 en Égypte pour une "interdiction de toute exploitation des grands fonds marins".
De l'Ouganda à l'Égypte, il permet à des millions d'Africains de survivre. Mais avec le réchauffement climatique, conjugué à son exploitation humaine, le Nil s’assèche, en fragilisant avant tout les cultivateurs qui craignent pour leurs récoltes et de manquer d'électricité.
Non à l’exploitation minière des fonds marins : ce 26 octobre, parlementaires et organisations de la société civile [1] exhortent le gouvernement français à se positionner en faveur d’un moratoire. D’une durée minimale de dix ans, ce moratoire doit être tenu « jusqu’à ce qu’il ait été démontré, grâce à des études scientifiques indépendantes, que cette activité extractive n’engendre aucune perturbation sur les écosystèmes marins ni aucune perte de biodiversité marine », estiment les ONG.
Grave menace pour les océans, la biodiversité et le climat, l’ouverture de mines au fond de l’océan pourrait débuter dans quelques mois. Alors, que fait-on ? Ensemble, nous pouvons faire pression sur la France car elle joue un rôle important dans les négociations internationales. Mais sa position n’est pas claire : E. Macron a changé d’avis d’une année à l’autre. Début novembre se tient l’assemblée de l’Autorité internationale des fonds marins. La France doit être ferme et demander un moratoire sur l’exploitation des fonds marins. Le fera-t-elle ? Suivez notre décryptage et découvrez pourquoi et comment vous pouvez agir.
Cette exploitation, qui sera l'une des plus grandes d'Europe, doit permettre de produire assez de batteries pour équiper 700 000 voitures électriques par an d'ici 2028.
Pour la première fois, une entreprise minière s’apprête à exploiter les fonds marins pour y collecter des roches riches en métaux à destination des batteries de voitures électriques. Une pratique qui promet de détruire des écosystèmes encore inexplorés et qui pourrait constituer une « bombe climatique » à retardement.
Ces universitaires spécialisés en philosophie morale et politique issus d’une quarantaine de pays, dont Estelle Ferrarese, Joëlle Proust, Philippe Reigné ou Carol Adams, condamnent « l’ensemble des pratiques qui supposent de traiter les animaux comme des choses ou des marchandises ».
Agriculture, exploitation forestière, changement climatique… Dans son dernier « Etat des populations d’oiseaux dans le monde », l’ONG Birdlife présente un classement des principales pressions qui pèsent sur les espèces en lien avec les activités humaines.
Le Parlement ougandais a qualifié "d'affront" une résolution adoptée jeudi par les eurodéputés et épinglant le mégaprojet d'exploitation pétrolière de TotalEnergies en Ouganda et Tanzanie en raison notamment de "violations des droits de l'Homme" envers des opposants au projet. TotalEnergies a annoncé en février un accord d'investissement de 10 milliards de dollars avec l'Ouganda, la Tanzanie et le géant pétrolier chinois CNOOC pour un mégaprojet pétrolier, comprenant notamment la construction d'un oléoduc de plus de 1.400 kilomètres reliant les gisements du lac Albert, dans l'ouest de l'Ouganda, à la côté tanzanienne.