les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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atmosphérique

2024

Les chiffres montrent que l’Arctique se réchauffe plus vite que le reste de la planète. Et des chercheurs viennent de mettre le doigt sur un phénomène météo connu, mais encore peu étudié, qui semble étroitement lié à la fonte accélérée des glaces dans la région.
Près de 9,7 millions d’habitants sont concernés par ces pollutions en Île-de-France. C’est le résultat d’une étude publiée ce mardi 28 mai qui croise, pour la première fois, les données d’Airparif et de Bruitparif.
La magnétite, un polluant atmosphérique courant, pourrait induire l’accumulation de protéines toxiques et la perte neuronale liées à Alzheimer.
Un incendie s’est déclaré samedi dans un site industriel dans la commune de Viviez, dans l'Aveyron qui abritait 900 tonnes de batteries au lithium. Alors que la population environnante a dû être confinée un temps, une équipe spécialisée en risque technologique a été mobilisée pour évaluer l'impact d'une éventuelle pollution atmosphérique.

2023

Nous sommes au début d’un phénomène El Niño qui provoque une augmentation des températures planétaires. Ces prochains mois, elles s’élèveront probablement de quelques dixièmes de degré, de plus en plus loin des valeurs connues de l’Humanité. James Hansen estime que le seuil de 1.5°C sera temporairement dépassé au printemps 2024. Ce seuil a déjà été momentanément franchi au cours des premiers jours de septembre. Les données ERA5 pour la période du 1er au 13 septembre, couplées aux archives du Met Office, montrent que la moyenne provisoire mensuelle est de 1.6°C sur les 13 premiers jours de septembre.
La pollution atmosphérique présente un plus grand risque pour la santé mondiale que le tabagisme ou la consommation d'alcool, et ce danger est exacerbé dans certaines régions du monde comme en Asie et en Afrique, détaille une étude publiée mardi.
La capitale, Bangkok, vit depuis plusieurs jours dans un brouillard opaque qui présente un taux de particules fines nettement supérieur au seuil de prévention.
Plus de deux milliards de tonnes de carbone sont capturées chaque année, dont seulement 0,1 % grâce aux nouvelles technologies. La revue scientifique “Nature” souligne que c’est loin d’être suffisant. Pour l’instant, seule la réduction drastique de nos émissions peut permettre d’atteindre les objectifs du Giec.
Ce phénomène, à l’origine des précipitations intenses et des inondations qui ravagent depuis fin décembre la côte ouest des États-Unis, gagnera chaque année en intensité avec le réchauffement climatique.
Des tempêtes meurtrières à répétition déferlent sur l’Etat américain depuis fin décembre. Ce phénomène climatique déjà récurrent pourrait, avec l’influence humaine, s’ancrer dans le paysage météorologique.