les Ressources Minières

OA - Liste

Les Ressources minérales (*)

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

espace50x10

Résultats pour:
modes

2024

GreenFlex et l’ADEME ont présenté la vingtième édition du Baromètre de la Consommation Responsable. Cette étude démontre que 70% des consommateurs déclarent aujourd’hui reconnaître le lien direct entre leurs choix de consommation et l’avenir de la planète. Un constat qui doit aussi amener les entreprises et leurs marques à revoir leurs concepts de production et de communication.
C'est un équipement du quotidien aux impacts immenses: 2,3 milliards d'humains cuisinent encore en brûlant du bois, du charbon ou d'autres combustibles dans des systèmes rudimentaires et polluants, un enjeu sanitaire, social et climatique majeur qui sera au coeur d'un rendez-vous sans précédent organisé mardi à Paris.
Les travailleurs n’ont pas tort de craindre les conséquences des politiques environnementales, il faut donc restructurer l’industrie en évitant les erreurs commises pour la sidérurgie ou le textile dans les années 1970-1980, explique la sociologue dans sa chronique.
L'Ademe publie le résultat d'une enquête sur nos habitudes de consommation, et tout ce qui fait notre quotidien y passe : déplacements, logement, achats, alimentation, etc, avec 256 pages de résultats détaillés

2023

Emmanuel Macron a lancé jeudi le leasing de voitures électriques "à 100 euros par mois" pour les plus modestes et son nouveau "bonus électrique", dans le but affiché de lutter contre le réchauffement climatique tout en favorisant la production française ou européenne.C'est à la fois une promesse de campagne et une mise en musique de cette "écologie à la française" qu'il dit porter: le chef de l'Etat a annoncé la mise en ligne d'une plateforme gouvernementale, mon-leasing-electrique.gouv.fr, pour tenir l'engagement d'un coup d'envoi avant la fin de l'année.
Si des points de bascule du climat sont envisageables, le contrôle du réchauffement climatique reste possible, explique Valérie Masson-Delmotte. À condition d’un engagement politique dans le bon sens.
Spécialiste des questions de géopolitique de l’environnement et des migrations, François Gemenne tire la sonnette d’alarme suite aux derniers événements qui secouent nos vies… même en Belgique.
Face à l’imminence du chaos social et à l’augmentation exponentielle des événements climatiques extrêmes, les luttes écologistes trouvent un regain de radicalité. Face à cette destruction du vivant par la machine capitaliste, et face à la puissante répression de l’Etat policier, comment militer, comment agir aujourd’hui ? Et demain ? Ancré·es sur le terrain, les militant·es assument de s’opposer physiquement aux infrastructures et aux symboles écocidaires, afin de lutter contre les violences systémiques du capitalisme, et de créer des initiatives concrètes et populaires pour regagner de la puissance d’agir.
RTE présente, ce mercredi 7 juin, l’étude « Comprendre et piloter l’électrification d’ici 2035 ». A cet horizon, la consommation d’électricité devrait fortement augmenter en France pour se substituer aux énergies fossiles. La France peut y faire face, à condition d’accélérer le développement des énergies renouvelables, de maximiser la production nucléaire des réacteurs existants, d’accroître l’efficacité énergétique et de développer la sobriété. RTE a confronté les hypothèses au regard des retours des parties prenantes dans le cadre d’une consultation publique, et des Français dans le cadre d’une enquête d’ampleur menée avec Ipsos. Il en ressort que les Français sont conscients du changement climatique et des évolutions de modes de vie que cela implique mais doivent être accompagnés.
En un peu plus de dix ans, la marche est devenue le mode de transport le plus utilisé par les Bruxellois, avec une part modale de 36 % (contre 32 % en 2010), indique mardi matin Bruxelles Mobilité. L’opérateur a établi ce constat sur foi d’une vaste étude sur les habitudes de déplacement des habitants. La précédente remontait à 2010.
Les émissions de gaz à effet de serre sont reparties à la baisse en France l'an dernier, avec un recul plus marqué en fin d'année, une tendance que le gouvernement attribue à sa politique climatique mais qui résulte aussi d'effets conjoncturels."D'après ces pré-estimations, les émissions de GES (gaz à effet de serre) ont repris leur trajectoire à la baisse en 2022 après le rebond observé en 2021", indique lundi le Citepa, organisme mandaté pour réaliser l'inventaire français des émissions.

2022

n 2020, Bon Pote présentait les 12 excuses de l’inaction climatique et les manières d’y répondre, sur la base d’un article scientifique qui a depuis touché une forte audience. Dans ce travail, 12 discours de délai, qui « acceptent la réalité du changement climatique mais justifient l’inaction ou des actions inadéquates », étaient identifiés et analysés.
« Surconsommation : l’impasse » (1/5). La réduction des émissions de gaz à effet de serre se heurte au maintien de nos modes de vie.
L'hypothèse qui est au cœur de cet ouvrage est que pour accélérer la transition sociale et écologique, une profonde transformation est nécessaire à la fois dans les modes d’organisation de la vie démocratique, dans l’organisation économique, et dans les modalités d’exercice de l’action collective, fondée sur la participation des citoyens. Le nouveau rôle que nous proposons pour l’État – ce que nous appelons « l’État partenaire » – cherche à soutenir l’expérimentation locale et à accélérer l’apprentissage collectif. L’État partenaire collabore avec les initiatives citoyennes, les entreprises qui viennent en appui des innovations sociales et écologiques, les initiatives des autorités publiques locales et des communautés locales. Il encourage l’autonomie et la réflexivité sociale. Cette réflexivité sociale porte autant sur la capacité des individus à remettre en question les normes sociales dominantes, que sur la co-construction sociale des critères de « progrès » et de « succès », ainsi que de la façon de défi
L’invasion de l’Ukraine nous a mis face à une conséquence dérangeante de nos modes de vie : notre dépendance aux combustibles fossiles importés. Mais, en réalité, cela fait longtemps que les crises écologiques, économiques et sociales auraient dû nous inciter à questionner notre consommation.