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non-prolifération

2023

Au pouvoir depuis août 2022, le président de gauche Gustavo Petro veut engager son pays sur la voie d’une ambitieuse transition énergétique.
La Colombie est devenue samedi le premier pays continental et producteur majeur de pétrole à rejoindre une coalition menée par des petits pays insulaires pour demander un traité de non-prolifération des énergies fossiles, lors de la COP28 à Dubaï. "La science dit aux COP que c'est le pétrole (...) qui, dans la grande machine industrielle, se convertit en émissions de gaz à effet de serre responsables de la crise climatique", a déclaré pour justifier sa décision le président colombien Gustavo Petro.
Plus de 300 scientifiques, parmi lesquels Valérie Masson-Delmotte et Jean Jouzel, signent une tribune pour rappeler que continuer d’investir dans les énergies fossiles nous empêchera d’atteindre les objectifs fixés par l’accord de Paris d’un réchauffement de 1,5 °C ou de 2 °C.
Une centaine de personnes se sont rassemblées jeudi en face des institutions européennes à Bruxelles. Toutes réclamaient aux dirigeants européens la ratification d’un traité de non-prolifération des énergies fossiles.
Une centaine d'élus européens a demandé mardi à la Commission européenne d'interdire aux groupes énergétiques de l'UE de lancer de nouveaux projets fossiles face au "péril climatique", dans une lettre consultée par l'AFP."L'Union européenne doit passer à la vitesse supérieure en contraignant par la loi les multinationales fossiles et les acteurs financiers à renoncer à tout nouveau projet dans le charbon, le pétrole et le gaz", demandent les signataires, dont des eurodéputés, des élus français ainsi que plusieurs maires.

2022

Ce projet de traité, soutenu par le Vanuatu, Tuvalu, 100 Prix Nobel et l’OMS, vise à arrêter l’expansion du charbon, du pétrole et du gaz, puis à réduire progressivement la production existante de manière équitable.
Les députés européens se sont prononcés pour une résolution appelant «à la préparation d’un traité de non-prolifération des énergies fossiles» et à une élimination progressive de toutes les subventions en faveur des combustibles fossiles au sein de l’UE.
Le petit État insulaire du Vanuatu menacé par la montée des océans a lancé vendredi à l’ONU la bataille pour la création d’un « traité de non-prolifération des énergies fossiles », visant à débarrasser à terme la planète des principaux responsables du réchauffement.
La prochaine pandémie se nomme « changement climatique ». Plus de 1 000 professionnels de la santé et 200 organisations du monde entier ont appelé, mercredi 14 septembre, les gouvernements à élaborer « un traité de non-prolifération des combustibles fossiles ». Les signataires – dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Association internationale de pédiatrie, l’Association médicale mondiale – ont réclamé « un plan mondial juridiquement contraignant pour éliminer progressivement l’utilisation des combustibles fossiles ». Il s’agirait de contrôler très strictement la production et la consommation de charbon, pétrole et gaz, « des substances dont on sait qu’elles sont nocives pour la santé humaine ».
The World Health Organization (WHO) and almost 200 other health associations have made an unprecedented call for a global fossil fuel non-proliferation treaty. A call to action published on Wednesday, urges governments to agree a legally binding plan to phase out fossil fuel exploration and production, similar to the framework convention on tobacco, which was negotiated under the WHO’s auspices in 2003. “The modern addiction to fossil fuels is not just an act of environmental vandalism. From the health perspective, it is an act of self-sabotage,” said the WHO president, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.