les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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2024

Les Etats-Unis ont assuré mardi que leur décision d'interdire les importations d'uranium russe était un pas en avant tant pour leur sécurité que pour leurs objectifs climatiques, alors que l'industrie nucléaire russe reste l'une des principales sources de revenus de Moscou.Le président américain Joe Biden a signé lundi une loi, largement votée par le Congrès, qui vise à interdire l'importation de tout uranium russe aux Etats-Unis à compter du 12 août.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) n'a pas eu accès récemment aux salles de réacteurs de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (Sud) pour des raisons de "sécurité", a affirmé vendredi Moscou qui occupe le site depuis près de deux ans.Aux mains des forces de Moscou depuis mars 2022, la centrale, la plus grande d'Europe, a été touchée à plusieurs reprises par des coupures de courant liées aux combats et l'armée russe accuse régulièrement l'Ukraine de la menacer.

2023

L'autorité de sûreté nucléaire (ASN) a été alertée sur la présence de plusieurs soudeurs faussement qualifiés sur le chantier du réacteur expérimental international Iter, à Cadarache, dans le sud de la France, a-t-on appris mardi auprès du gendarme du nucléaire en France.Selon une lettre datée du 4 mai et publiée sur son site internet, l'ASN a été informée dès "courant mars de la détection de falsification de qualifications de soudeurs" au sein de ce site de recherche.
« L’année 2022 a été marquée par des aléas sur les installations nucléaires jamais rencontrés jusqu’alors. » Le président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) Bernard Doroszczuk n’a pas mâché ses mots, jeudi 25 mai, lors de la présentation du rapport de l’ASN sur l’état de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en France en 2022 aux députés et sénateurs de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).
La Russie a commis jeudi une "violation grave de la sécurité nucléaire" en entraînant la coupure du réseau de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia à la suite d'une frappe, a dénoncé le chef de la diplomatie européenne.
Un réacteur d'une centrale nucléaire du centre du Japon s'est automatiquement arrêté lundi après le déclenchement de ses systèmes de sécurité, ont annoncé l'opérateur de la centrale et le gendarme du nucléaire nippon, qui tentaient d'identifier l'origine du problème.C'est la mise en route d'une alarme avertissant d'une diminution soudaine de la quantité de neutrons qui a provoqué l'arrêt du réacteur numéro 4 de la centrale de Takahama vers 15H21 locales (06H21 GMT), a expliqué l'Autorité de sûreté nucléaire japonaise (NRA).
Il est extraordinaire que les discussions autour de la prolongation des deux réacteurs nucléaires en Belgique n’évoquent guère la question. On ne peut pas oublier le coût des catastrophes comme celles de Tchernobyl, de Fukushima, de Three Misle Island et des autres.

2022

Le directeur général de l'AIEA "se rendra à Kiev puis à Moscou cette semaine" afin de discuter de la mise en place d'une zone de protection autour de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, selon un communiqué publié lundi soir. Rafael Grossi va "poursuivre les consultations" pour établir un tel dispositif "dès que possible", a indiqué l'Agence internationale de l'énergie atomique, sans préciser quand il est attendu dans les deux pays belligérants.
En théorie, le démantèlement prévu du réacteur nucléaire de Doel 3 - qui sera déconnecté du réseau vendredi - pourrait être reporté de quelques années supplémentaires. Mais dans la pratique, c'est pratiquement impossible. C'est ce qu'affirme le directeur de la centrale, Peter Moens. Après 40 ans, Doel 3, le réacteur nucléaire de 1 000 MW située sur les rives de l'Escaut, sera donc bel et bien débranchée. C'est la première fois qu'une centrale nucléaire de notre pays est mise hors service. "Nous nous préparons depuis quatre ans", a commenté Peter Moens.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) s'est prononcée en faveur de la mise en place d'une "zone de sécurité" pour empêcher un accident nucléaire à la centrale ukrainienne de Zaporijjia, occupée depuis six mois par les Russes et où elle juge la situation "intenable" en raison des bombardements. "Il est urgent de prendre des mesures", a estimé l'agence onusienne dans un rapport rendu public mardi, préconisant "l'établissement d'une zone de sécurité nucléaire et de protection" de ce complexe du sud de l'Ukraine.