les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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poumon

2024

Le variant JN.1 du SARS-CoV-2, issu de BA.2.86, présente une infectiosité pulmonaire accrue et interroge sur l'efficacité des vaccins actuels.

2023

Le syndrome du poumon blanc a fait son retour en Belgique.
Selon des chercheurs de l’UGent, la forêt tropicale du bassin du Congo est devenue le 'premier poumon' de la planète....
La forêt du bassin du Congo est la deuxième surface forestière tropicale de la planète après l’Amazonie. Traditionnellement préservée, la déforestation s’y accélère. Elle est appelée communément le «deuxième poumon vert» de la planète. Pour sa superficie, d’abord. La forêt du bassin du Congo s’étend sur six pays en Afrique centrale (Guinée équatoriale, Cameroun, Gabon, Congo, République démocratique du Congo, République centrafricaine). Le massif s’étend sur plus de 240 millions d’hectares, ce qui en fait la deuxième forêt tropicale humide du monde, juste après l’Amazonie.
L'air pestilentiel est empoisonné mais les habitants de Zharrëz, dans la principale région pétrolière d'Albanie, n'ont d'autre choix que de vivre au milieu des réservoirs rouillés, des derricks déglingués, des sols et des eaux contaminés, héritage vétuste de l'époque communiste."Nous avons tous des problèmes de santé", résume Milita Vrapi, 49 ans, qui habite la localité de 2.000 habitants située dans Patos-Marinza, la plus grande zone pétrolière du pays des Balkans. "L'air est très lourd, j'ai souvent des vertiges, des nausées, des maux de tête et une fatigue persistante".

2022

Bien que la forêt amazonienne soit nettement plus étendue, les forêts tropicales du bassin du Congo, au cœur de l’Afrique, absorbent aujourd’hui davantage de CO2 dans l’air. Cela semble être une bonne nouvelle, mais ces forêts disparaissent également à un rythme rapide. Plusieurs pays investissent dans des projets visant à protéger ces forêts. Mais ces projets ont peu de chance de réussir s’ils n’aident pas aussi la population, en forte croissance, à progresser.
La pollution atmosphérique, surtout celle des grandes villes, a atteint des niveaux tels qu’elle constitue aujourd’hui l’une des plus grandes menaces pour la santé publique. Les populations les plus fragiles, notamment les enfants en bas âge, en sont les plus impactées. Une étude a révélé que les nanoparticules de carbone (ou suie) issues de la combustion parviennent à franchir le placenta de la mère. Plus inquiétant encore, les chercheurs ont découvert de la suie dans le foie, les poumons et le cerveau de fœtus dont les mères ont été exposées à la pollution, et ce dès le premier trimestre de leur grossesse. Cette incrustation en profondeur dès les premiers stades de la vie aurait des impacts sans précédent sur le développement in utero et devrait inciter à des mesures antipollution plus appropriées.
Des chercheurs ont confirmé le lien entre pollution aux particules fines et cancer du poumon. Mais aussi du pharynx, du larynx ou de l’intestin grêle. Ils ont en outre mis en évidence le mécanisme sous-jacent.
Selon des scientifiques anglais, des prédispositions génétiques favoriseraient la survenue de cancers du poumon.
Une équipe anglaise a annoncé, samedi, avoir découvert le mode d’action des PM2,5, responsables de centaines de milliers de morts par cancer du poumon.