les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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résiliente

2024

Quelles essences d’arbres planter pour faire face aux changements climatiques ? Voilà certainement une question que de nombreux propriétaires forestiers se posent actuellement. L’appel à projets "Forêt résiliente" a été lancé en 2021 en Wallonie pour les accompagner dans cette réflexion et les aider financièrement. Celui-ci a déjà permis de reboiser quelque 2000 hectares de parcelles, comme celle de Marc Pierret qui vient de planter à Hollange des pins sylvestres, des chênes sessiles et des douglas grâce à cette prime : "L’ensemble des frais a été couvert jusqu’à présent : le gyrobroyage, les plantations et les protections autour des celles-ci."
Le Shift Project présente son rapport intermédiaire "Pour une agriculture bas carbone, résiliente et prospère"
En 4 ans, la Région Wallonne a acquis pas moins de 5042 ha de terres pour pouvoir les protéger. Confrontés à la sixième extinction de masse des espèces et au réchauffement climatique, nos territoires souffrent. Dans certaines régions, les terres s’assèchent de façon dramatique, dans beaucoup d’autres, elles s’appauvrissent. Les arbres sont décimés par le scolyte ou autres maladies qui viennent les frapper parce qu’ils sont affaiblis par les nouvelles conditions climatiques. Comment aider la nature à passer ce mauvais cap et à s’adapter plus facilement au changement climatique, c’est là tout l’enjeu.

2023

Libre Eco week-end | Le Dossier. Les économistes francophones de l'Economic Prospective Club se sont penchés sur cette question évidemment d'actualité au vu des crises, de différentes natures, vécues durant la dernière décennie.
Le groupe nucléaire français Orano a enregistré en 2022 un chiffre d'affaires et un résultat en recul, mais l'entreprise défend des performances opérationnelles "solides" portées par la "bonne dynamique" de ses activités du cycle de l'uranium.L'entreprise, contrôlée par l'Etat français, a en effet plongé dans le rouge avec une perte nette de 377 millions d'euros en 2022 (contre un bénéfice de 678 millions en 2021), selon un communiqué du groupe publié jeudi.
Il n’existe pas à ce jour de démonstration de faisabilité de la transition énergétique. Le débat sur l’affranchissement des sociétés thermo-industrielles de leur dépendance aux hydrocarbures ne s’articule qu’autour de modèles, de scénarios, d’observations sur des sous-systèmes de l’industrie mondialisée de « production » d’énergie. En 2022, le développement des énergies dites de substitution (ENS : principalement éoliennes, panneaux photovoltaïques et centrales nucléaires) ne freine toujours pas l’exploitation des énergies fossiles. La « symbiose » des énergies reste la norme, plutôt que la substitution. La tentation est grande de simplement déclarer les simulations encore imprécises, les mesures lacunaires et de conserver l’espoir que recherche et progrès finiront par réouvrir le champ des possibles. Mais le mal semble plus profond. L’hypothèse de la faisabilité d’une transition énergétique n’a jamais été posée. Ou plutôt, si la science a de longue date étudié les limites physiques au développement, en parti

2022

Les forêts vivent. Elles évoluent. C'est dans leur nature. Mais le changement climatique anthropique les affecte durement. Jusqu'à leur faire perdre leur résilience. Leur capacité à se relever après une perturbation. Ce n'est pas du tout une bonne nouvelle.

2021

Une innovation low-tech ? Quel est cet étrange oxymore ? Faut-il retourner à la bougie ou à l’âge des cavernes au lieu de miser sur le progrès technologique ? Certes, le low-tech ne fait pas rêver comme le high-tech et ses applications futuristes. Et pourtant, si c’était là que se situait la vraie modernité et le courage d’innover ?
Depuis Verviers — désignée capitale wallonne de l’eau voici plus de 30 ans — jusqu’à sa confluence avec l’Ourthe à Chênée, la Vesdre, fortement dénaturée, a été réduite à un écoulement fluide et nauséabond cantonné, en maints endroits, dans un étroit chenal bordé de murs et parsemé de seuils et de déversoirs.
La résilience est la rapidité avec laquelle un système peut reprendre ses activités après une interruption, c’est-à-dire un orage ou une pandémie. Du point de vue du climat, il faut, après chaque épisode de pluies violentes, des semaines, voire des mois aux villes du Nord pour fonctionner à nouveau quand il ne faut que quelques heures à Brazzaville ou Lomé.