Monnaies

OA - Liste

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

espace50x10

Résultats pour:
focussanté

2024

Environ un tiers de la population mondiale, soit 2,4 milliards de personnes, subit l’augmentation du nombre de nuits inconfortables pour le sommeil et la santé, notamment en ville.
Alors que 511 personnes sont mortes dans le pays depuis le début de l’année, une nouvelle souche, transmissible entre humains, notamment par des rapports sexuels, se diffuse dans les pays voisins.
Le bimensuel indien “Frontline” consacre son numéro du 8 août à la recrudescence de canicules prolongées qui touchent le pays avec des effets dévastateurs. Le magazine appelle à un sursaut de la volonté politique en la matière.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a confirmé la prochaine convocation d'une réunion de son comité d'urgence autour de l'épidémie de mpox, aussi appelé "variole du singe". Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, a confirmé l'information lors d'un point presse à Genève, en Suisse.
Le risque de schistosomiase, une maladie tropicale, augmentera fortement au cours du siècle en raison de l'émergence d'un ver plat parasite, ressort-il mardi d'une nouvelle étude de la KU Leuven.
Un collège d’experts devra décrire d’ici au 31 décembre 2025 les polluants éternels employés ou émis dans les usines de Pierre-Bénite. La métropole se félicite ce mardi 6 août de cette «décision historique».
En proie au changement climatique, le Japon est de plus en plus confronté aux températures dépassant 30 °C. Plus de 37 000 personnes ont été accueillies dans des hôpitaux du pays pour des coups de chaleur au mois de juillet.
'Klimaataarts', c’est pour cette fonction que le gouvernement flamand a officiellement publié une offre d’emploi sur...
Le séquençage de virus de la Mpox (naguère appelée variole du singe) provenant de personnes infectées en Ouganda et au Kenya a confirmé qu’il s’agissait de la même souche que celle qui circule en République démocratique du Congo. Elle est plus létale que celle qui a provoqué une épidémie mondiale en 2022.
Une étude suggère que la hausse des températures et des pluies va conduire à une augmentation de l’usage des herbicides et fongicides en 2050. Mais il n’y a «pas de fatalité», estime un de ses auteurs, l’économiste François Bareille.